vendredi 30 octobre 2009

30 octobre 2009 : Oyonnax : il a tué sa femme avant de se suicider

Ce n'était pas un double meurtre, mais bien un drame conjugal. Et même un drame familial si on songe aux trois enfants du couple que cette tragédie a plongé dans un chagrin insondable.

Vendredi matin c'est l'aîné de la fratrie, un homme âgé de 27 ans, qui avait fait l'abominable découverte dans leur maison du 25 de la rue du Molard Saint-Jean. Sans nouvelles de ses parents en ce début de matinée, il les avait cherchés partout. La chambre était vide. Et c'est finalement dans une sorte de débarras, une pièce attenante au garage, au rez-de-chaussée, qu'il avait vu l'impensable. Claude Monnard, 54 ans, et son épouse Attiliane, 53 ans, gisaient à terre, victimes de plusieurs impacts de balles.

Double meurtre, double suicide, les enquêteurs de la Police judiciaire de Lyon, ne pouvaient rien exclure en arrivant sur place. Même si la thèse d'un suicide du couple paraissait improbable. Aucune lettre, aucun signe annonciateur dans leur comportement des derniers jours, avaient expliqué leurs proches.

« Il faut fermer toutes les portes, n'exclure aucune possibilité » expliquait sur place un policier rompu à ce genre d'enquête.

Le double meurtre devait forcément être envisagé. Mais c'est l'expertise d'un balisticien renommé, Jean Rochefort, qui aura permis d'envisager la troisième possibilité : un meurtre suivi d'un suicide.

La position des corps, celle des blessures, et de l'arme, un révolver plutôt ancien, avaient accrédité cette thèse.

Restait à l'étayer avec l'autopsie des corps qui a été pratiquée hier à l'Institut médico-légal (IML) de Lyon.

Et les médecins légistes l'ont confirmé. C'est Claude Monnard qui a tiré sur son épouse à trois reprises, avant de retourner l'arme contre lui. Sur sa tempe d'abord, sans parvenir à ses fins, puis au thorax, dans la région du cœur.

D'autres analyses sont attendues, toxicologiques, et celle des résidus de tir, pour appuyer ce scénario d'un drame conjugal.

Attiliane Monnard, dont le comportement avait changé ces dernières semaines, aurait eu des problèmes d'ordre strictement privé avec son époux. Jusqu'à cette dispute funeste.

Le progrès

jeudi 29 octobre 2009

29 oct 2009 : Versailles (Yvelines) : «Le sexagénaire poignarde sa compagne (qui se trouve maintenant entre la vie et la mort) avant de se défenestrer

Cette femme de 77 ans était atteinte de la maladie de Parkinson.
Ce matin, vers 9h, son compagnon, un homme de 64 ans, lui a donné deux coups de couteau à la gorge, avant de lui faire boire de l’acide, avec un entonnoir.
Puis le sexagénaire s’est jeté par la fenêtre de son appartement.
Un appartement situé au troisième étage d’un immeuble à Versailles, dans les Yvelines.
L’homme est décédé.La septuagénaire a été transportée dans un état critique à l’hôpital parisien Georges Pompidou, où elle se trouvait en fin d’après-midi entre la vie et la mort, précise Le Figaro.
source : http://www.lepost.fr/article/2009/10/29/1765870_le-sexagenaire-poignarde-sa-compagne-avant-de-se-defenestrer.html

mardi 27 octobre 2009

Roanne : Jeune mère de famille décapitée

26 Octobre 2009

Une jeune femme a été retrouvée décapitée lundi en milieu de journée dans son appartement de Roanne (). Son compagnon, principal suspect, a été interpellé puis hospitalisé.
Alertés par la famille de la victime, sans nouvelle de la jeune femme, les policiers ont forcé la porte de l'appartement en fin de matinée.

Le corps de la victime, âgée d'une vingtaine d'années et mère de plusieurs enfants, était lardé de coups de couteau dans sa chambre.
Son compagnon, âgé d'une vingtaine d'années lui aussi, a été interpellé lundi dans une rue proche de leur domicile. Il a été hospitalisé, son état psychique ayant été jugé incompatible avec un placement en garde à vue.
Sans emploi, le couple n'était pas connu des services de police et occupait un appartement dans un quartier populaire de Roanne. Les enquêteurs ont découvert trois taches de sang en contrebas d'une des fenêtres de l'appartement, situé au troisième étage. Un témoin leur a assuré avoir vu pendant la nuit la de la victime sur la chaussée.
« J'ai entendu crier vers quatre heures du matin puis plus rien », confie un voisin.

27 octobre 2009 : Bourgoin-Jallieu (Isère) : le père mis en examen pour «homicides volontaires»

L’homme interpellé mardi à Bourgoin-Jallieu (Isère) après la découverte dans sa voiture des corps de ses deux enfants, a été mis en examen pour «homicides volontaires», a-t-on appris jeudi auprès du parquet, qui n’a pas retenu la thèse d’un geste prémédité.
Il est en revanche soupçonné de «tentative d’assassinat» sur sa femme, ce qui suppose la préméditation. «Il a déclaré aux enquêteurs avoir eu l’idée de tuer sa femme après avoir étouffé ses deux enfants» au motif qu’»il ne voulait pas partir seul», a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean Philippe, lors d’une conférence de presse.

Après le meurtre de ses deux enfants dans la nuit, l’homme a déposé un rouleau de scotch au pied du lit conjugal, avant de tenter quelques heures plus tard de bâillonner sa femme, revenue de son travail de nuit, et de l’étouffer, a-t-il ajouté.
Ce père de famille de 37 ans, qui a avoué lors de sa garde à vue avoir étouffé ses deux enfants de 7 et 10 ans, n’explique toujours pas son geste.
Au chômage depuis quelques semaines, il souffrait d’une addiction aux jeux d’argent et rencontrait des problèmes de couple, selon le parquet.

source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hddn9p-3M5AbWBUMSTu85EHmSFZw

mercredi 21 octobre 2009

21 oct. 2009, Alès (Gard ) «C’était bien un drame familial»

Les corps sans vie de Jean-Luc Lafuente et de son épouse ont été retrouvés mardi en début de soirée au domicile du mari. L’hypothèse du drame familial qui a frappé le quartier de Rochebelle à Alès, mardi soir, a été confirmée hier. « Les éléments techniques relevés par la police judiciaire et le médecin légiste ne laissent planer aucun doute sur le meurtre de l’épouse, suivi du suicide du mari », indiquait hier le parquet d’Alès. (...) L’épouse avait été atteinte de deux coups de feu à la tête, l’homme étant décédé d’un coup à la tête également. L’arme utilisée : un revolver 22 long rifle.»
source : http://www.midilibre.com/articles/2009/10/21/A-LA-UNE-L-hypothese-du-drame-familial-a-ete-confirmee-967520.php5

mardi 6 octobre 2009

6 oct. 2009, La Martinique : Pascale, battue et blessée par son mari (se trouve actuellement entre la vie et la mort)

... L’agression de Pascale par son mari (qui s’est suicidé depuis), dans un parking souterrain d’une galerie commerciale le 6 octobre, laissant la victime sauvagement battue et blessée par trois balles à bout portant. La jeune femme, actuellement dans le coma, lutte contre la mort au CHU de Fort-de-France.
Avant le drame, Pascale avait porté plainte à sept reprises contre celui qui allait mettre fin à ses jours.
(...) Depuis le début de l’année 2009, 4 femmes ont été assassinées par leur conjoint en Martinique...

source : http://martinique.rfo.fr/infos/actualites/societe-la-martinique-face-a-la-violence-envers-les-femmes_11123.html