lundi 31 mai 2010

31 mai 2010 : Antibes . Il poignarde mortellement son ex-compagne avant de se suicider

Vendredi après-midi, cet homme s’est rendu, une nouvelle fois, au domicile de son ex-compagne, dans le centre-ville d’Antib

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PHOTOS/VID

Selon les premiers éléments de l'enquête, la séparation entre le couple se passait mal.

Une fois dans l’appartement, l’homme a mortellement poignardé son ex-compagne avant de se tuer en se donnant plusieurs coups de couteau.

Depuis quelques mois, le meurtrier présumé traversait une période particulièrement difficile, note Nice Matin.

A moment du drame de vendredi, le meurtrier présumé était vraisemblablement ivre.

C’est le fils du couple qui, vendredi, a fait la macabre découverte.

Le commissariat d’Antibes a été chargé de l’enquête.

dimanche 30 mai 2010

30 mai 2010 - Pouzauges (Vendée) : «Le père était en situation de surmenage» (6 morts)

30 mai 2010 - Pouzauges (Vendée) : «Le père était en situation de surmenage» (6 morts)

La thèse du drame familial se précise. Les enquêteurs évoquent «un professionnel en situation de surmenage» à propos du médecin généraliste de 34 ans, retrouvé pendu dimanche dans sa maison de Pouzauges en Vendée, qui a probablement tué son épouse et ses quatre enfants avant de mettre fin à ses jours.

Le corps de l’épouse du médecin, 35 ans, a été retrouvé dans son lit et a subi, selon l’autopsie, des «violences importantes» dont «une douzaine» de coups de couteau au visage, «une plaie pénétrante au poumon», «une trace de fracture du crâne avec un objet contondant» et «un égorgement assez profond», a précisé Xavier Pavageau, procureur de la République de La Roche-sur-Yon.

Les corps des quatre enfants, trois garçons de 3, 5 et 7 ans et une fillette de 9 ans, ont été retrouvés en pyjama dans leur lit. Ils ont été, selon les premières constatations, «frappés à plusieurs reprises très fortement avec un objet contondant» au visage puis retournés sur le dos. Les autopsies ont débuté lundi soir. Une bûche, retrouvée ensanglantée aux pieds du père pendu dans le salon, pourrait être à l’origine des blessures, d’autant que des éclats de bois ont été découverts dans les chambres, a précisé le procureur.
Le corps du médecin a été retrouvé pendu dans le salon avec une corde. (...) Xavier Pavageau a ajouté qu’aucune trace d’effraction au domicile, ni de vol, n’ont été constatés, ce qui mène les enquêteurs «à privilégier l’hypothèse du drame familial».
Le docteur était, selon son entourage, «un professionnel en situation de surmenage, de stress professionnel», a expliqué le procureur...

(source : http://www.20minutes.fr/article/408674/Societe-Drame-de-Pouzauges-le-pere-etait-en-situation-de-surmenage.php)

vendredi 28 mai 2010

28 mai 2010 : La réunion . Saint-Leu : une jeune femme tuée par son mari

n drame s'est joué cette nuit à 4 heures du matin à la Chaloupe Saint-Leu : un homme a poignardé sa femme après une dispute conjugale. La jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, aurait tenté de s'enfuir, en vain. Son corps sans vie aurait été retrouvé ce matin à 7 heures.

Par ailleurs, le mari auteur des coups mortels, aurait tenté de mettre fin à ses jours, avec le couteau du crime. Il a été hospitalisé, ses jours ne seraient pas en danger.

Les trois jeunes enfants du couple auraient assisté à la scène...

samedi 22 mai 2010

22 mai 2010 : Une femme tuée d’un coup de fusil à Lanrelas

Une femme de 38 ans, qui rendait visite à son ami qu’elle connaissait depuis peu, a été tuée d’un coup de fusil, samedi après-midi dans le bourg de Lanrelas. L’homme, âgé de 40 ans a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Broons. L’enquête devra déterminer la nature de cet acte, qui peut être accidentel ou volontaire. L’enfant de la victime, âgé de deux ans, se trouvait dans la maison lors du drame

vendredi 21 mai 2010

21 mai 2010 : Sulniac (56). Une femme tuée de plusieurs coups de fusil

Un meurtre a été commis, vendredi soir, dans une maison du village de Coët-Ruel, à Sulniac. Un ancien militaire, âgé de 53 ans, est soupçonné d'avoir tué son épouse de plusieurs coups de fusil. Le GIGN est intervenu.

Le drame s'est produit vendredi vers 19h, au lieu-dit Coët-Ruel, à Sulniac, au premier étage de la maison de Francis et IsabelleDochot, dans la chambre. Le mari, âgé de 53 ans, aurait tiré plusieurs coups de feu sur son épouse, avec un fusil équipé d'un silencieux. C'est lui qui a donné l'alerte en appelant sa fille pour lui dire qu'il venait de tuer sa mère. Les pompiers ont aussitôt été prévenus. Au vu de la situation qui leur est décrite, ils préviennent immédiatement les gendarmes. Un voisin, beau-frère du couple, se rend dans la maison où il trouve le mari ensanglanté. Ce dernier refusera ensuite de réapparaître et de se rendre. Ayant acquis la certitude que l'épouse, âgée de 47 ans, est décédée, les gendarmes entament, en vain, une série de négociations avec l'homme armé retranché chez lui. Un périmètre de sécurité a été mis en place autour de la maison. Le procureur de la République de Vannes était sur place, ainsi que près de 80 gendarmes.

Trois hélicoptères du GIGN au stade

Vers 22h, le colonel Coat, commandant du groupement de gendarmerie du Morbihan, prend la décision de faire intervenir le Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN). De Satory, les membres du groupement arrivent à bord de troishélicoptères. Trois gros-porteurs qui, à minuit, atterrissent sur le stade de la Vraie Croix, proche du village de Coët-Ruel. Dans la maison, l'homme reste toujours injoignable. Il ne répond pas au téléphone. Les membres du GIGN préparent alors l'assaut. Ils interviennent à 3h. L'auteur présumé du meurtre est retrouvé en sang, allongé sur son lit. À l'aide de son fusil, il aurait tenté de mettre fin à ses jours en se tirant quatre coups de feu dans l'abdomen. L'intervention des gendarmes s'est achevée à 4h.

Les enfants absents du domicile

L'ancien militaire, engagé durant 15 ans au 3e Rima, n'aurait pas supporté que sa femme veuille le quitter. Les disputes se répétaient depuis plusieurs jours chez ce couple de quatre enfants. Les enfants, deux majeurs et deux mineurs, l'aînée âgée de 27ans et le plus jeune de14 ans, étaient absents du domicile au moment des faits. Sérieusement blessé, Francis Dochot a été hospitalisé hier matin et opéré dans l'après-midi. Ses jours ne sont plus en danger. Le parquet de Lorient en charge de la procédure, doit l'entendre dès que possible. Une autopsie a été pratiquée sur la victime. Son résultat n'était pas connu hier soir. Dans le bourg de Sulniac, la nouvelle du drame s'est répandue durant la matinée d'hier. Sur la place de l'église, une femme qui vient d'apprendre la nouvelle se cache la tête dans les mains:«Alors là, c'est la totale!». «Le couple habitait la commune depuis une vingtaine d'années. Isabelle travaillait à la cantine scolaire du bourg», indique un passant.


Le télégramme

lundi 17 mai 2010

17 mai 2010 : Aude Une femme tuée de trois coups de couteau

Un homme a téléphoné ce matin aux gendarmes pour dire qu’il venait de tuer sa femme. En se rendant sur les lieux, une maison divisée en cinq appartements à Ouveillan, un village situé à 15 km de Narbonne (Aude), les militaires ont découvert le corps sans vie de la victime.

Marie-Alice Ngono-Marty avait 32 ans. Elle était en instance de divorce avec Michel Marty, un Biterrois de 39 ans.

Leur enfant commun, un petit garçon de 15 mois, n’a pas été blessé. Le mari qui s’est constitué prisonnier n’a pas fait de difficulté pour reconnaître les faits.

L’homme a expliqué qu’une dispute avait éclaté au sujet de la garde de l’enfant. Il aurait alors saisi un couteau de cuisine, avant de frapper à trois reprises la jeune femme.

L’individu a été placé en garde à vue, en attendant d’être présenté devant le parquet de Narbonne, sans doute ce mardi.

Source: MidiLibre

17 mai 2010 : Quintin (22). L'épouse tuée d'un coup de fusil

Le corps sans vie de Ginette Hillion a été retrouvé, hier matin, dans sa maison, à Quintin. Soupçonné d'être l'auteur du coup feu mortel, son mari, qui avait absorbé d'importantes quantités de médicaments, a été transporté à l'hôpital.

10h30, hier matin, à Quintin, devant le numéro3 de la ruelle du Verger. Une ambulance du Samu quitte les lieux, direction l'hôpital Yves-Le Foll, à Saint-Brieuc. À son bord, Alain Hillion, 55 ans, soupçonné du meurtre de son épouse. À cet instant, les enquêteurs ne savent pas si le quinquagénaire survivra à une absorption massive de médicaments. En revanche, ce qu'ils soupçonnent très fortement, c'est que celui-ci a tiré avec une arme à feu à bout portant sur son épouse. Alors qu'elle dormait.

Le fils donne l'alerte

Les gendarmes ont été alertés du drame par l'un des deux enfants du couple. «Il avait trouvé que son père était un peu soucieux hier soir (dimanche, NDLR) et il avait décidé de repasser ce matin», témoignait hier, en fin de matinée, un voisin. Dans la maison de ses parents, le fils a tout d'abord découvert son père, inanimé, dans la cuisine, des plaquettes de médicaments vides autour de lui. Puis, sa mère dans la chambre.

Un fusil «soigneusement rangé»

Toute la matinée, les techniciens en investigation criminelle de la gendarmerie ont ensuite balisé les lieux, examiné la maison, pris des photos et prélevé divers objets. Notamment un fusil. «Ce fusil a été retrouvé soigneusement rangé dans la salle de séjour. Nous allons maintenant vérifier s'il s'agit bien de l'arme qui a servi», expliquait, hier soir, Gérard Zaug, le procureur de la République de Saint-Brieuc.

«Un drame familial»

Selon le magistrat, le scénario ne semble pas trop faire de doute: «L'hypothèse privilégiée, c'est un drame familial où le mari a tiré sur son épouse avant d'absorber massivement des médicaments. Il était en arrêt de travail depuis plusieurs mois. Apparemment, il avait des problèmes psychologiques liés à des problèmes physiques. Il était mal dans sa peau et avait exprimé des velléités suicidaires. Ceci explique notamment pourquoi le fils est venu prendre des nouvelles ce matin».

«Un couple sans histoire»

Dans le petit lotissement paisible de Quintin, où Ginette et AlainHillion étaient installés depuis bientôt trente ans, l'un et l'autre étaient perçus comme «discrets». Lui, salarié de l'entreprise Vitalac (alimentation animale), elle, femme de ménage au lycée Jean-XXIII. «Un couple sans histoire», selon le procureur Gérard Zaug qui souhaite entendre le meurtrier présumé rapidement. «Son pronostic vital n'est pas engagé. Nous espérons l'auditionner dans les jours à venir».

Le Telegramme

samedi 15 mai 2010

15 mai 2010 ; Une jeune femme tuée de trois coups de couteau à Jugon-les-Lacs (22)

Une jeune femme de 21 ans a été tuée de trois coups de couteau assénés au cou, samedi en fin de journée, au lieux-dits Carouet, à Jugon-Les-Lacs. L’auteur présumé de l’homicide serait son compagnon, un homme de 34 ans. Ce dernier s’est rendu à la gendarmerie pour reconnaître qu’il l’avait tué. Il sera déféré demain matin devant le procureur de la République de Saint-Brieuc.

Le couple s’était installé il y a un mois au hameau de Carouet, en Saint-Igneuc, dans une maison de location.


Maville.com

mercredi 12 mai 2010

12 mai 2010 : Une femme tuée, son compagnon passe aux aveux

Le corps d’une mère de famille, disparue depuis six jours, a été retrouvé mercredi en Gironde.

Elle avait disparu depuis six jours. Mercredi matin, le corps d’une mère de famille de 40 ans a été retrouvé, enterré aux abords d’un petit village, près de Libourne en Gironde, au bord d’une rivière. C’est l’ex-compagnon de la victime qui a conduit les enquêteurs jusque là. Il devrait être mis en examen pour homicide volontaire.

La victime et son ex-compagnon s’étaient séparés il y a quelques mois. Jeudi dernier, le nouvel ami de la mère de famille donne l’alerte : elle est partie conduire son plus jeune fils au collège et n’a pas réapparu depuis. Sa voiture est retrouvée garée sur le parking d’un magasin. La clé de contact a été abandonnée sur le siège passager.

Une double disparition ?

Quelques heures plus tard, l’ancien compagnon de la victime disparaît à son tour. Le mystère semble s’épaissir avec cette seconde disparition. Lundi, l’un des fils du couple, âgé de 21 ans, publie dans le journalSud Ouest une lettre pour demander à son père de revenir. "Papa, reviens parmi nous, et on ira chercher maman ensemble (…) Ne mène pas ton enquête tout seul !", écrit-il.

Avant que l’hypothèse d’un drame familial s’impose. Mardi, le compagnon est arrêté alors qu’il se trouve chez un ami. Placé en garde à vue, il est finalement passé aux aveux.

Tuée à l'arme blanche

Les circonstances exactes de la mort de la mère de famille doivent encore être éclaircies. Elle aurait été frappée avec une arme blanche, peut-être un couteau. "Nous avons affaire à un drame passionnel semble-t-il", a assuré le procureur de la République.


Europe 1

12 mai 2010 : Ain un homme de 47 ans a commis l'irréparable avant de prévenir lui-même les gendarmes

aint-Jean-le-Vieux. Allée des Blés d'or. Une maison ordinaire dans un lotissement comme un autre, si ce n'est le ruban jaune « Gendarmerie nationale, zone interdite » qui barre l'entrée de la cour. Seul signe tangible du drame qui s'est déroulé la nuit dernière.

Peu après 2 heures, Pascal Pernelet appelle la gendarmerie. Il déclare alors avoir tué son épouse Régine d'une balle de 22 long rifle dans la tête.

Elle serait morte sur le coup. Les trois fils, âgés de 21, 14 et 12 ans dormaient dans leurs chambres et n'ont rien entendu. Les riverains non plus. « Les gendarmes nous ont réveillés vers 6 heures pour nous poser quelques questions » explique Yann Lambert, le plus proche voisin. « Je vais vous dire la même chose qu'à eux. C'était vraiment des gens sans histoire. Non, pas de tension, pas de disputes… Lui, travaillait comme mécanicien-mouliste (NDLR : tourneur fraiseur) à Izernore. Elle, était chez Ortrans à Ambérieu. J'habite ici depuis cinq ans. Eux étaient là depuis le début, ça fait bien vingt-cinq ans. Dans ce lotissement, tout le monde se connaît ». « Mais on ne se fréquente pas particulièrement » ajoute un autre. « Bonjour, bonsoir, la pluie, le beau temps… »

« Ce n'était pas des gens qui faisaient du bruit » confirme la patronne du bar-restaurant. Elle se souvient de Pascal, « un grand costaud, barbu, avec une queue-de-cheval. Il donnait la main au Sou des écoles et au basket ». La buraliste le voyait tous les jours. « Il venait chercher son paquet de cigarettes et faire son petit jeu. Je lui préparais dès qu'il entrait. Il nous arrivait de discuter. Il faisait des travaux dans sa maison. Je lui demandais souvent des nouvelles. Les enfants venaient aussi. Ils étaient souvent dehors… Parfois je donnais des chocolats au petit. Le deuxième venait chercher ses vers pour la pêche, le plus grand ses cigarettes ».

Du même âge que son mari (47 ans), Régine Pernelet était plus discrète. « On ne la voyait pas… Elle ne sortait jamais… Je serais incapable de la reconnaître ». Une fille de Saint-Jean pourtant, née Vieudrin, que Pascal avait épousée au village où ce Bugiste bon teint s'était installé. Comme son frère, président de la société de chasse de Saint-Jean-le-Vieux. Pourquoi le drame dans une famille si « normale » ? « Nous sommes retournés à la maison cet après-midi. Nous avons entendu le meurtrier présumé toute la journée. Il est encore en cours d'audition et n'arrive toujours pas à expliquer son geste » dit le parquet.

La brigade de recherches de Bourg et la communauté de brigades de Pont-d'Ain mènent l'enquête. Les résultats de l'autopsie et de l'analyse balistique seront connus dans les prochains jours. D'après les premières observations, Pascal Pernelet n'aurait tiré qu'une seule balle. L'a-t-elle été à la suite « d'une dispute qui aurait mal tourné », comme il l'aurait indiqué au début ? Ou a t-il tué sa femme dans d'autres circonstances ? Depuis quand possédait-il la carabine ? Y avait-il alcoolémie ? « Aucune idée pour l'instant. C'est vraiment flou » conclut la subsitut du procureur. Actuellement en garde à vue, Pascal Pernelet devrait être déféré au parquet aujourd'hui pour être mis en examen.


Le Progrès

12 mai 2010 : Saint-Louis Jeune femme tuée à l’arme blanche : le concubin arrêté

L’homme suspecté d’avoir tué son ancienne compagne jeudi à Saint-Louis, dans le Haut-Rhin (notre édition de vendredi), a été arrêté ce week-end et une instruction judiciaire pour assassinat a été ouverte à son encontre.

Le suspect, âgé de 32 ans, avait été interpellé samedi soir, vers 23 h 20 à Saint-Louis, alors qu’il s’apprêtait semble-t-il à passer la frontière suisse.

L’ex-concubin, qui présentait des traces de griffures, n’a pas opposé de résistance lors de son interpellation.

Il nie fermement être l’auteur du crime, mais « un certain nombre d’indices pèsent à son encontre et il passe pour avoir harcelé la victime », a néanmoins déclaré le procureur de la République.

Il avait notamment été condamné en première instance en octobre dernier par le tribunal correctionnel de Mulhouse à trois mois de prison avec sursis pour des violences et des menaces de mort à l’encontre de la jeune femme.

La victime, une jeune femme de 31 ans mère de deux enfants de 5 et 8 ans, vivait dans un foyer d’accueil pour femmes battues depuis l’automne dernier. Le suspect n’est pas le père de ses deux enfants.

Elle avait été retrouvée morte jeudi sur son lieu de travail. Elle s’occupait de l’entretien des HLM à Saint-Louis.

L’autopsie a révélé qu’elle était morte d’une plaie au niveau du cœur provoquée par une arme blanche.

Le corps présentait au moins une autre plaie à la gorge, ainsi que diverses ecchymoses. L’arme du crime n’a pas encore été retrouvée.


Le Pays