mercredi 27 janvier 2010

27 janvier 2010 à Aubervilliers (Seine St Denis) Adriana F. était étranglée par son conjoint

Une marche silencieuse pour Adriana F.Le 27 janvier, à Aubervilliers, Adriana F. était étranglée par son conjoint. Ce crime a suscité une vive émotion dans notre ville. L’Observatoire départemental des violences envers les femmes du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, l’association SOS femmes 93 et la municipalité organisent une marche silencieuse en hommage à Adriana F. Jeudi 11 février à partir de 18 h.

http://www.aubervilliers.fr/actu5530.html

jeudi 21 janvier 2010

21 janv. 2010 : Femme enceinte tuée à Saint-Nazaire (Loire Atlantique) : un homicide volontaire

L'Angevin qui s'accuse d'avoir tué son ex-amie, à Saint-Nazaire, a été mis en examen pour homicide volontaire.
Yassine Khaloir, 24 ans, a été présenté hier à un juge d'instruction nantais, et mis en examen pour homicide volontaire aggravé. La thèse de l'assassinat, dans l'état actuel de l'enquête, n'a pas été retenue. En clair, le jeune Angevin n'aurait pas prémédité son passage à l'acte. Néanmoins, la qualification pourrait évoluer au cours des investigations menées pendant l'instruction.Devant le procureur, hier, ce jeune homme qui n'avait jamais eu maille à partir avec la justice, a reconnu, une nouvelle fois, être l'auteur des coups qui ont coûté la vie à Marina Lebeau. Il confirme avoir agi seul. Cette jeune femme de 29 ans était enceinte de presque sept mois. Il était le père supposé de l'enfant qu'elle portait. Des disputes récurrentes éclataient entre eux. Le suspect parle de conflits sur fond de séparation, à propos du nom du bébé, etc. Mais ses déclarations sont encore confuses. Le jour du drame, Yassine Khaloir a expliqué aux enquêteurs : « J'ai eu un coup de colère et je l'ai frappée ! » A coups de poings, et avec un couteau trouvé sur place. Un véritable déchaînement de violence, à tel point que l'autopsie ne parvient pas encore à déterminer quel a été le coup fatal.
source : http://www.labaule.maville.com/actu/actudet_-Femme-enceinte-tuee-a-Saint-Nazaire-un-homicide-volontaire_dep-1238424_actu.Htm

lundi 18 janvier 2010

18 janv. 2010 : Orléans (Loiret) "assassinat par jalousie sur fond de repères ancestraux"

Coups de couteau à Orléans : un assassinat par jalousie sur fond de repères ancestraux
«L’ex-mari, auteur présumé des coups de couteau lundi, a laissé une lettre expliquant son geste et l’impossibilité d’accepter le divorce.

Alors que l’homme de 52 ans, d’origine laotienne, auteur présumé du meurtre de son ex-femme, lundi matin, dans le quartier orléanais de l’Argonne, a été mis en examen mercredi pour « assassinat », la question du poids des repères ancestraux se pose inévitablement sur fond de divorce mal vécu, et encore moins, accepté.

Dans une lettre rédigée avant le passage à l’acte, et écrite à l’adresse de ses proches restés nombreux dans l’agglomération orléanaise, l’auteur des coups de couteau mortel aurait justifié cette « mise à mort » préméditée par le caractère inenvisageable, sinon impossible, de cette séparation pourtant officielle depuis 2006. Soit après vingt-trois ans de mariage avec une femme qui avait les mêmes origines asiatiques que lui, et la naissance de sept enfants.

« Quinze plaies dont certaines d’une extrême profondeur »
« Il y a, dans ce drame, un réflexe clanique. Pour lui, elle devait continuer à l’aimer et rester avec lui. Il voulait sinon qu’elle lui rembourse une dot qui était de 6.000 francs (moins de 1.000 euros). Elle avait refusé », explique Isabelle Toulemonde, procureur de la République d’Orléans. Depuis plusieurs semaines déjà régnait « un climat de violence » distillé par l’ex-mari à base de « menaces de mort » sur son ex-femme de 49 ans, sans profession. Les deux enfants restés dans le giron maternel, à Orléans, dont un âgé de 17 ans, auraient été mêlés, plus ou moins directement, à cette escalade verbale.

(...)

Un rassemblement prévu vendredi (22 janvier 2010)

Le collectif droits des femmes, qui oeuvre pour dénoncer les violences faites aux femmes, a l’intention d’organiser un rassemblement, ce vendredi à 17 heures, devant la mairie de quartier de l’Argonne, à Orléans, secteur de la ville où était domiciliée cette femme de 49 ans, mère de sept enfants, victime des coups mortels de son ex-mari, lundi matin, sur un parking jouxtant son immeuble. Un rassemblement destiné à « rendre visible cette banalisation de la violence envers les femmes », selon Monique Lemoine, présidente de ladite association locale.

source : http://www.larep.com/temps_forts-15040.html

dimanche 17 janvier 2010

Une femme tuée devant ses deux enfants

Une jeune femme de 26 ans, Sérifé Topal, est tuée dans le Loir-et-Cher par le père de ses deux jeunes enfants et devant eux, alors que le couple était séparé. La garde partagée fournissait encore au père régulièrement l'occasion de se montrer menaçant envers la jeune femme et le divorce devait bientôt aboutir.

La Nouvelle République :
La victime, Sérifé Topal, s'était mariée il y a environ quatre ans. Selon plusieurs témoignages, il s'agissait d'un mariage arrangé et la vie conjugale s'est rapidement transformée en épreuve pour la jeune femme. Cette dernière ne supportant plus la violence de son époux, a décidé de le quitter courant 2008 et de revenir s'installer à Chémery avec ses deux jeunes enfants. [...] Cette jeune femme est unanimement décrite comme gaie et dynamique, participant volontiers aux animations de la commune. Elle a quitté le domicile familial peu après l'âge de 20 ans pour aller vivre à Blois avec son époux avant de le quitter courant 2008. [...]
Une procédure de divorce était en cours et devait bientôt s'achever lorsque le drame est survenu ce dimanche. Selon certaines personnes qui connaissaient la victime, la jeune femme vivait cette période de séparation avec beaucoup d'appréhension, craignant des représailles de la part son ex-mari qui semble-t-il n'acceptait pas cette situation. Dans le cadre de cette séparation, le père avait la garde de ses enfants certains week-ends. Il les avait avec lui samedi et dimanche et c'est en les ramenant à leur mère, au rendez-vous habituel c'est-à-dire non loin du stade et du domicile de Sérifé Topal, que tout a basculé dans l'horreur.

Voir aussi le Nouvel Obs

jeudi 14 janvier 2010

14 janvier 2010 : Marseille : il tue sa femme à coups de marteau

Une femme de 40 ans est morte jeudi sous les coups de marteau de son mari à Marseille, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Les faits se sont déroulés peu avant 15H30 au domicile familial dans le 14e arrondissement (nord) de la ville. Cette mère de famille nombreuse s'y trouvait quand une vive dispute l'a opposée à son conjoint, selon la même source. Ce dernier a utilisé un marteau pour frapper sa femme à la tête.

Les marins-pompiers n'ont pas réussi à réanimer la victime décédée devant plusieurs des sept enfants du couple. Les investigations ont été confiées à la Sûreté départementale qui a placé en garde à vue le meurtrier qui n'a opposé aucune résistance.

DNA

mercredi 13 janvier 2010

13 janvier 2010 Provins : tuée par son mari parce qu'elle voulait divorcer

Drame de la séparation en Seine-et-Marne. Une femme, âgée d'une quarantaine d'années, est décédée cet après-midi à l'hôpital après avoir reçu une balle en pleine tête. Les faits se sont déroulés mardi soir, peu avant 21 heures, à Provins. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime avait annoncé depuis des semaines son intention de quitter son époux, âgé de 52 ans.
Mardi soir, l'homme est rentré chez lui et sans un mot, il a décroché sa carabine 22 long rifle et a tiré sur son épouse. Grièvement blessée, elle a été évacuée vers l'hôpital Beaujon à Clichy-la -Garenne (Hauts-de-Seine), où elle a donc finalement succombé à ses blessures. Le mari est actuellement en garde à vue au commissariat de Provins

Le Parisien

samedi 2 janvier 2010

2 janvier 2010 : Drame d'Haguenau (Bas-Rhin) : trois fillettes égorgées

Les trois fillettes égorgées ont aussi reçu une balle de revolver dans la tête

(...) Des prélèvements d'ADN ont par ailleurs été réalisés lundi sur le corps calciné d'un homme adulte retrouvé samedi dans la maison en flammes, qui pourrait être le père des enfants, Cyril Mesbah. «On ne saura que mardi soir s'ils sont exploitables. Sinon, on a des techniques à partir de prélèvements d'ossements qui sont plus longs à traiter», a-t-il confié.

La piste d'un drame familial est largement privilégiée, les parents des fillettes étant en instance de divorce. «Nous avons quelques raisons de croire que c'est le papa, mais des analyses ADN doivent être pratiquées», avait déclaré samedi Claude Palpacuer.

Les enquêteurs du SRPJ s'emploient toujours à reconstituer les activités de Cyril Mesbah qui avait célébré la veille du drame, le jour du Nouvel An, son 49e anniversaire chez ses parents, avec ses trois filles. L'ancien soudeur avait conservé le droit de voir ses filles, après une condamnation en août à 15 mois de prison, dont 3 ferme pour «violences aggravées» contre son épouse. Agée d'une trentaine d'années et salariée dans un hôpital, son épouse avait alors quitté avec ses filles la maison familiale.

source : http://www.20minutes.fr/article/373664/Strasbourg-Drame-d-Haguenau-Les-trois-fillettes-egorgees-ont-aussi-recu-une-balle-de-revolver-dans-la-tete.php

* * *

complément : DRAME À HAGUENAU : LE 4ÈME CORPS EST BIEN CELUI DU PÈRE

L’information a été confirmée il y a quelques minutes, par le procureur-adjoint de Strasbourg, Claude Palpacuer. C’est bien le corps du père des trois fillettes retrouvées mortes, à Haguenau, dans le Bas-Rhin, qui a été identifié. Samedi, la ville de Haguenau se réveillait en apprenant qu’un homme avait égorgé et tiré une balle dans la tête de ses trois filles âgées de 13, 11 et 5 ans, avant de mettre le feu à la maison familial et de se suicider. Selon les enquêteurs, il s’agirait d’un drame familial. Le père aurait mal vécu la demande de divorce exigée par son épouse. Condamné pour violences envers elle, l’homme, un serrurier de 49 ans, venait de sortir de prison.

source : http://www.elle.fr/elle/Societe/News/Drame-a-Haguenau-le-4eme-corps-est-bien-celui-du-pere/(gid)/1113112

Finistère: Il tue une femme et se suicide

Un quinquagénaire père de trois enfants, et une femme de 38 ans, également mère de trois enfants, ont été découverts morts dans la voiture de la femme, à Pont-Croix (Finistère), mercredi. Ils ont tous les deux péri par balles, rapporte Ouest-France. La carabine 22 long rifle ayant servi à la tragédie était à l'intérieur du véhicule, aux côtés d'une lettre écrite par l'homme. Il y fait part de ses intentions suicidaires, ainsi que celles de la femme. L'autopsie a confirmé que l'homme a tiré deux balles à bout touchant sur sa voisine avant de retourner l'arme contre lui. Les enquêteurs cherchent à déterminer les raisons du drame.
Source

vendredi 1 janvier 2010

1 janver 2010 : Mulhouse : il tue sa femme et se suicide ensuite

Vendredi, en début d’après-midi, les corps de deux sexagénaires ont été découverts dans un petit cabanon, rue de la Pépinière à Mulhouse. C’est un membre de la famille qui, venant présenter ses vœux, a trouvé les deux cadavres et alerté immédiatement la police.
La femme gisait dans un recoin de l’unique pièce de cet abri et son mari se trouvait à quelques centimètres d’elle. Selon les premiers éléments de l’enquête menée par le commissariat central de Mulhouse, l’homme aurait tiré au fusil à pompe à bout portant sur sa femme, avant de retourner l’arme contre lui et de se suicider. L’arme a d’ailleurs été retrouvée entre ses jambes.
Ses deux sexagénaires vivaient quotidiennement dans cette petite cabane. Il semblerait qu’ils avaient de gros problème de santé. Une autopsie devrait être prochainement réalisée sur les deux corps. L’enquête se poursuit pour déterminer les raisons exactes de ce drame.

Source : l'Alsace

Yvelines: il viole et tue sa femme

Un homme d'une soixantaine d'années a été mis en examen aujourd'hui par un juge d'instruction du tribunal de grande instance de Versailles pour le meurtre et le viol de sa concubine à Rambouillet (Yvelines), avant d'être écroué, a-t-on appris de source judiciaire. L'homme a été mis en examen pour "homicide et viol par concubin", la qualification "par concubin" étant une circonstance aggravante.

L'autopsie du corps de la victime, âgée d'une cinquantaine d'années, pratiquée hier, a permis de déterminer que cette dernière était morte des suites d'un violent coup au visage et qu'elle avait été violée à l'aide d'une bouteille. Le suspect, récemment retraité, qui n'a pas avoué les faits, encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Un ami du couple, qui avait été placé en garde à vue pour les mêmes faits, a été remis en liberté.

Le principal suspect avait été interpellé jeudi dans son appartement, en même temps que cet ami qui avait prévenu la police. A leur arrivée, les forces de l'ordre avaient découvert le cadavre de la victime, portant des traces de coups au niveau du visage et de la poitrine. Un médecin légiste a déterminé que la mort remontait à mercredi soir.

Les deux hommes, fortement alcoolisés, avaient été placés en cellule de dégrisement. La victime avait déjà été hospitalisée le 23 décembre pour des violences exercées par son concubin, mais sans porter plainte. Le suspect avait été condamné en 2001 pour des violences sur cette dernière.
Source