Le vieil homme venait d'apprendre que son amie de 30 ans le quittait
La fureur meurtrière de Joachim Toro, 78 ans, qui a abattu jeudi un retraité de 70 ans et deux employés municipaux, à Rivesaltes, dans les Pyrénées Orientales, a été déclenchée par la déception d'apprendre que son amie âgée de 30 ans le quittait, a indiqué le procureur vendredi.
"Il avait une liaison avec une jeune femme qui monnayait un peu ses charmes. Accompagnée d'une amie, elle est venue lui signifier la rupture en début d'après-midi. Il a saisi son fusil et a tiré en direction des deux femmes qui s'enfuyaient en voiture", a déclaré à le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dreno.
L'amie du vieil homme a été légèrement blessée par un tir.
L'homme a ensuite abattu un retraité de 72 ans, puis deux employés municipaux de 36 et 42 ans, avant de tenter de se suicider.
vendredi 4 mars 2011
jeudi 10 février 2011
Récidive à Nice
HOMICIDE.
L’itinéraire d’un fils de famille alcoolique, drogué et meurtrier
Un homme de 40 ans, déjà condamné pour meurtre et connu pour d’autres faits de violence, a frappé à mort sa compagne dans son appartement de Nice.
| Réagir Damien Delseny | 30.11.2010, 07h00
Georges Nuza a renoué avec ses démons. Fils de bonne famille, il a sombré très tôt dans l’alcoolisme, la toxicomanie et la violence. Dimanche, cet homme de 40 ans déjà condamné par une cour d’assises pour un meurtre commis dans les années 1990 a tué sa compagne dans son appartement niçois. La jeune femme rouée de coups de pied et de poing avait déjà porté plainte contre lui au début de l’année pour des faits de violence.
Georges Nuza avait été incarcéré puis libéré début septembre avec un bracelet électronique. Malgré ce précédent, sa compagne, Svetlana, était semble-t-il venue se réinstaller avec lui. « C’était un couple à l’histoire très complexe », confirmait hier une source judiciaire. Georges Nuza devrait être mis en examen pour meurtre aujourd’hui.
C’est dimanche un peu après midi qu’un voisin vient frapper à la porte de l’appartement de Georges Nuza, dans le quartier de Saint-Pancrace, sur les hauteurs de Nice. Sur place, il devine une scène horrible. Le corps d’une femme gît sur un lit à moitié dénudée. Il y a du sang partout, y compris sur les murs. Ce témoin est vite éconduit par l’occupant des lieux, qui referme la porte.
Alertée, la police se rend sur place mais personne ne répond aux appels. Les policiers, qui savent que Georges Nuza est « connu » pour des faits de violence, alertent le groupement d’intervention de la police nationale (GIPN) pour sécuriser l’intervention, mais lorsqu’ils cassent la porte vers 15 heures, Georges Nuza a disparu. Reste le corps de sa compagne Svetlana, étendue sur le lit, morte d’une pluie de coups.
Les policiers apprennent vite que le suspect portait un bracelet électronique depuis sa sortie de prison début septembre. Et c’est après avoir géolocalisé son bracelet et son téléphone portable qu’une patrouille de la BAC (brigade anticriminalité) de Nice l’interpelle dans le centre-ville vers 16 heures. Il était attablé dans un bar, ivre. Placé en cellule de dégrisement, Georges Nuza a pu être entendu hier matin. « J’ai vu quelqu’un anéanti par ce qu’il a fait », précise son avocate, Me Audrey Vazzana, qui connaît bien cet homme au lourd passé judiciaire.
Fils d’un patron de discothèque qui avait réinvesti sa fortune dans l’immobilier à Nice, il aurait pu faire partie de la jeunesse dorée, mais il sombre vite dans l’alcool et les drogues, notamment la cocaïne. En 1994, alors qu’il a 24 ans, il tue le jardinier de la famille, qu’il connaît depuis l’enfance, au cours d’une beuverie. Condamné à neuf ans de prison, il est libéré à mi-peine en septembre 1998 et réincarcéré deux mois plus tard après avoir été arrêté ivre au volant de sa voiture dans les rues de Nice après une course-poursuite avec la police.
De nouveau libre, Georges Nuza reste à Nice et rencontre Svetlana, une jeune femme d’origine moldave, à l’été 2009. La relation est tumultueuse jusqu’aux violences du mois de février, où déjà la jeune femme est très violemment frappée et Nuza de nouveau conduit en prison. Libéré depuis septembre avec interdiction d’entrer en contact avec sa compagne, il continuait à se droguer et à boire. Il semblerait que Svetlana soit revenue s’installer chez lui il y a quelques semaines. « Il y avait un contexte particulier, une relation destructrice entre eux », avance Me Vazzana.
L’itinéraire d’un fils de famille alcoolique, drogué et meurtrier
Un homme de 40 ans, déjà condamné pour meurtre et connu pour d’autres faits de violence, a frappé à mort sa compagne dans son appartement de Nice.
| Réagir Damien Delseny | 30.11.2010, 07h00
Georges Nuza a renoué avec ses démons. Fils de bonne famille, il a sombré très tôt dans l’alcoolisme, la toxicomanie et la violence. Dimanche, cet homme de 40 ans déjà condamné par une cour d’assises pour un meurtre commis dans les années 1990 a tué sa compagne dans son appartement niçois. La jeune femme rouée de coups de pied et de poing avait déjà porté plainte contre lui au début de l’année pour des faits de violence.
Georges Nuza avait été incarcéré puis libéré début septembre avec un bracelet électronique. Malgré ce précédent, sa compagne, Svetlana, était semble-t-il venue se réinstaller avec lui. « C’était un couple à l’histoire très complexe », confirmait hier une source judiciaire. Georges Nuza devrait être mis en examen pour meurtre aujourd’hui.
C’est dimanche un peu après midi qu’un voisin vient frapper à la porte de l’appartement de Georges Nuza, dans le quartier de Saint-Pancrace, sur les hauteurs de Nice. Sur place, il devine une scène horrible. Le corps d’une femme gît sur un lit à moitié dénudée. Il y a du sang partout, y compris sur les murs. Ce témoin est vite éconduit par l’occupant des lieux, qui referme la porte.
Alertée, la police se rend sur place mais personne ne répond aux appels. Les policiers, qui savent que Georges Nuza est « connu » pour des faits de violence, alertent le groupement d’intervention de la police nationale (GIPN) pour sécuriser l’intervention, mais lorsqu’ils cassent la porte vers 15 heures, Georges Nuza a disparu. Reste le corps de sa compagne Svetlana, étendue sur le lit, morte d’une pluie de coups.
Les policiers apprennent vite que le suspect portait un bracelet électronique depuis sa sortie de prison début septembre. Et c’est après avoir géolocalisé son bracelet et son téléphone portable qu’une patrouille de la BAC (brigade anticriminalité) de Nice l’interpelle dans le centre-ville vers 16 heures. Il était attablé dans un bar, ivre. Placé en cellule de dégrisement, Georges Nuza a pu être entendu hier matin. « J’ai vu quelqu’un anéanti par ce qu’il a fait », précise son avocate, Me Audrey Vazzana, qui connaît bien cet homme au lourd passé judiciaire.
Fils d’un patron de discothèque qui avait réinvesti sa fortune dans l’immobilier à Nice, il aurait pu faire partie de la jeunesse dorée, mais il sombre vite dans l’alcool et les drogues, notamment la cocaïne. En 1994, alors qu’il a 24 ans, il tue le jardinier de la famille, qu’il connaît depuis l’enfance, au cours d’une beuverie. Condamné à neuf ans de prison, il est libéré à mi-peine en septembre 1998 et réincarcéré deux mois plus tard après avoir été arrêté ivre au volant de sa voiture dans les rues de Nice après une course-poursuite avec la police.
De nouveau libre, Georges Nuza reste à Nice et rencontre Svetlana, une jeune femme d’origine moldave, à l’été 2009. La relation est tumultueuse jusqu’aux violences du mois de février, où déjà la jeune femme est très violemment frappée et Nuza de nouveau conduit en prison. Libéré depuis septembre avec interdiction d’entrer en contact avec sa compagne, il continuait à se droguer et à boire. Il semblerait que Svetlana soit revenue s’installer chez lui il y a quelques semaines. « Il y avait un contexte particulier, une relation destructrice entre eux », avance Me Vazzana.
vendredi 3 décembre 2010
Egorgée et brûlée !
n Constant | 03.12.2010, 12h53 | Mise à jour : 13h34
Le corps d'une femme de 52 ans a été retrouvé carbonisé mercredi soir à Reims (Marne). L'autopsie a révélé qu'elle avait été auparavant égorgée.
L'affaire s'est déroulée mercredi dans l'après-midi, dans la capitale champenoise. A 15 h 20, des témoins signalent un feu dans un parking souterrain.
Les pompiers arrivent rapidement à maîtriser l'incendie mais trouvent sous le véhicule un corps, visiblement celui d'une femme.
Très vite, des éléments permettent d'identifier cette femme de 52 ans, originaire de la Marne. L'autopsie révèle que des coups lui ont été portés au visage et sur le corps et qu'elle a été égorgée. Son compagnon, prénommé Hacene, et âgé de 34 ans, est interpellé dans la foulée. Il n'explique pas sa présence dans le quartier.
Il a été placé en garde-à-vue et sera déféré au parquet de Reims en début d'après-midi en vue de sa mise en examen pour homicide.
Le corps d'une femme de 52 ans a été retrouvé carbonisé mercredi soir à Reims (Marne). L'autopsie a révélé qu'elle avait été auparavant égorgée.
L'affaire s'est déroulée mercredi dans l'après-midi, dans la capitale champenoise. A 15 h 20, des témoins signalent un feu dans un parking souterrain.
Les pompiers arrivent rapidement à maîtriser l'incendie mais trouvent sous le véhicule un corps, visiblement celui d'une femme.
Très vite, des éléments permettent d'identifier cette femme de 52 ans, originaire de la Marne. L'autopsie révèle que des coups lui ont été portés au visage et sur le corps et qu'elle a été égorgée. Son compagnon, prénommé Hacene, et âgé de 34 ans, est interpellé dans la foulée. Il n'explique pas sa présence dans le quartier.
Il a été placé en garde-à-vue et sera déféré au parquet de Reims en début d'après-midi en vue de sa mise en examen pour homicide.
mercredi 1 décembre 2010
Il tue sa femme et se suicide
Eure : il tue sa femme et se suicide
Un homme de 56 ans a tué lundi soir, à coups de fusil de chasse, son épouse âgée de 40 ans qui réclamait le divorce, avant de se suicider, à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure).
Le drame s'est produit vers 22 heures alors que cette femme appelait la gendarmerie en expliquant qu'elle avait des problèmes avec son mari. La communication a brusquement été coupée et les gendarmes ont envoyé aussitôt une patrouille dans cette commune.
Sur place, les voisins leur ont dit que tout était «terminé». Ils ont entendu des détonations et retrouvé les deux corps, sans vie, dans le pavillon du couple.
Les quatre enfants de cette famille, âgés de quinze, onze, neuf et six ans, qui étaient présents lors du drame, ont été transportés dans un service médico-psychologique de l'hôpital d'Evreux.
Selon les premiers éléments de l'enquête confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Pont-Audemer (Eure), l'épouse voulait se séparer de son mari et lui en avait fait part.
Un homme de 56 ans a tué lundi soir, à coups de fusil de chasse, son épouse âgée de 40 ans qui réclamait le divorce, avant de se suicider, à Saint-Georges-du-Vièvre (Eure).
Le drame s'est produit vers 22 heures alors que cette femme appelait la gendarmerie en expliquant qu'elle avait des problèmes avec son mari. La communication a brusquement été coupée et les gendarmes ont envoyé aussitôt une patrouille dans cette commune.
Sur place, les voisins leur ont dit que tout était «terminé». Ils ont entendu des détonations et retrouvé les deux corps, sans vie, dans le pavillon du couple.
Les quatre enfants de cette famille, âgés de quinze, onze, neuf et six ans, qui étaient présents lors du drame, ont été transportés dans un service médico-psychologique de l'hôpital d'Evreux.
Selon les premiers éléments de l'enquête confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Pont-Audemer (Eure), l'épouse voulait se séparer de son mari et lui en avait fait part.
jeudi 25 novembre 2010
Toulouse : Surendetté, il tue sa femme et son fils
Toulouse : un retraité surendetté abat sa femme et son fils
Un septuagénaire a tué son épouse et son fils au fusil de chasse avant de mettre fin à ses jours dans un pavillon du Vernet, au sud de Toulouse.
Rongé par les dettes et la dépression, Jean Roques, 77 ans, a abattu hier au petit matin son épouse Doubije, 77 ans aussi, et leur fils Alain, 55 ans, dans leur maison basse de la rue de la Guadeloupe au Vernet (Haute-Garonne). Juste avant ou après avoir tué sa famille, l’ancien retraité de Radio Saint-Lys, le service de liaison radio maritime fermé depuis quelques années, avait envoyé trois SMS à des proches pour faire part de son intention d’en finir avec la vie.
Alain, le fils, lui aussi employé de France Télécom comme son père dans un centre à Toulouse, a été tué dans sa chambre et était encore en pyjama. Le corps était derrière la porte et portait la trace de coups tirés au thorax et au bas-ventre. L’épouse a été abattue d’une décharge en plein cœur dans le lit conjugal et portait encore sa chemise de nuit. Le mari, après avoir rechargé son arme, s’est donné la mort en plaçant le fusil sous la gorge. Il gisait sur le sol de la chambre à côté de sa femme, le fusil de chasse à portée de main. Hier soir, les gendarmes ont refermé le portail métallique blanc avant de poser les scellés. Dans le lotissement battu par la tempête et une pluie glaciale, les volets se refermaient les uns après les autres.
Un septuagénaire a tué son épouse et son fils au fusil de chasse avant de mettre fin à ses jours dans un pavillon du Vernet, au sud de Toulouse.
Rongé par les dettes et la dépression, Jean Roques, 77 ans, a abattu hier au petit matin son épouse Doubije, 77 ans aussi, et leur fils Alain, 55 ans, dans leur maison basse de la rue de la Guadeloupe au Vernet (Haute-Garonne). Juste avant ou après avoir tué sa famille, l’ancien retraité de Radio Saint-Lys, le service de liaison radio maritime fermé depuis quelques années, avait envoyé trois SMS à des proches pour faire part de son intention d’en finir avec la vie.
Alain, le fils, lui aussi employé de France Télécom comme son père dans un centre à Toulouse, a été tué dans sa chambre et était encore en pyjama. Le corps était derrière la porte et portait la trace de coups tirés au thorax et au bas-ventre. L’épouse a été abattue d’une décharge en plein cœur dans le lit conjugal et portait encore sa chemise de nuit. Le mari, après avoir rechargé son arme, s’est donné la mort en plaçant le fusil sous la gorge. Il gisait sur le sol de la chambre à côté de sa femme, le fusil de chasse à portée de main. Hier soir, les gendarmes ont refermé le portail métallique blanc avant de poser les scellés. Dans le lotissement battu par la tempête et une pluie glaciale, les volets se refermaient les uns après les autres.
mercredi 17 novembre 2010
Laval: arrestation du conjoint de la jeune femme tuée
Le corps d’une jeune femme a été retrouvé sans vie, le samedi 20 novembre, dans un appartement du boulevard de la Concorde, à Laval-des-Rapides.
Un appel à l’aide logé à Auteuil a mis les policiers sur la piste du drame. L’auteur de l’appel, un homme de 26 ans, confus, a invité les agents à se rendre au 605, de la Concorde, appartement 8.
C’est là que les policiers ont découvert la dépouille de la jeune victime, qui portait des blessures infligées à l’aide d’un objet contondant.
Fait étonnant: le colocataire de la jeune femme, un homme de 25 ans, était présent dans l’appartement. Il dormait dans sa chambre, à l’arrivée des agents. Il a été relâché après avoir été interrogé.
Le suspect principal, dans cette affaire, est l’homme qui a appelé la police. Il était possiblement l’ami de cœur de la victime, dit Franco Di Genova, des Affaires publiques du Département de police de la Ville de Laval. Détenu depuis le 20 novembre, il devait comparaître au palais de justice de Laval, le 22 novembre.Le petit ami de la jeune femme qui aurait été victime d'un homicide dans le quartier Chomedey, à Laval, a été arrêté par les policiers et pourrait faire face à une accusation de meurtre.
«On a toutes les raisons de croire qu'il s'agit d'un meurtre», a déclaré Franco di Genova, de la police de Laval.
Les policiers ont ainsi arrêté le conjoint de la victime, âgé de 26 ans, dans l'appartement où le corps de celle-ci a été retrouvé sans vie samedi matin. Il va être vraisemblablement accusé de meurtre.
Les autorités refusent pour l'instant de donner des détails sur les circonstances de la mort et la nature des blessures subies par la victime
Un appel à l’aide logé à Auteuil a mis les policiers sur la piste du drame. L’auteur de l’appel, un homme de 26 ans, confus, a invité les agents à se rendre au 605, de la Concorde, appartement 8.
C’est là que les policiers ont découvert la dépouille de la jeune victime, qui portait des blessures infligées à l’aide d’un objet contondant.
Fait étonnant: le colocataire de la jeune femme, un homme de 25 ans, était présent dans l’appartement. Il dormait dans sa chambre, à l’arrivée des agents. Il a été relâché après avoir été interrogé.
Le suspect principal, dans cette affaire, est l’homme qui a appelé la police. Il était possiblement l’ami de cœur de la victime, dit Franco Di Genova, des Affaires publiques du Département de police de la Ville de Laval. Détenu depuis le 20 novembre, il devait comparaître au palais de justice de Laval, le 22 novembre.Le petit ami de la jeune femme qui aurait été victime d'un homicide dans le quartier Chomedey, à Laval, a été arrêté par les policiers et pourrait faire face à une accusation de meurtre.
«On a toutes les raisons de croire qu'il s'agit d'un meurtre», a déclaré Franco di Genova, de la police de Laval.
Les policiers ont ainsi arrêté le conjoint de la victime, âgé de 26 ans, dans l'appartement où le corps de celle-ci a été retrouvé sans vie samedi matin. Il va être vraisemblablement accusé de meurtre.
Les autorités refusent pour l'instant de donner des détails sur les circonstances de la mort et la nature des blessures subies par la victime
Eure-et-Loir : il tue un couple et sa femme avant de se suicider
Un homme a tué sa femme et un autre couple avant de se donner la mort.
Drame familial tragique. Un homme d'une trentaine d'années s’est donné la mort, après avoir tué par balles sa femme et un autre couple, mercredi, en Eure-et-Loir. Cinq enfants, âgés de 2 à 12 ans, ont perdu leurs parents.
Selon les premiers éléments, un drame familial serait à l’origine de cette tuerie. Il aurait d’abord tué le coupe vivant à Amilly (Eure-et-Loir), avant de tuer son épouse de se donner la mort, à son domicile de Rouvray-les-Florentin (Eure-et-Loir), près de Chartres.
Le mari du couple et l’épouse du tueur étaient tous les deux professeurs de musique à l'école intercommunale de Voves.
Une enquête a été ouverte par la Brigade de recherches de Lucé pour déterminer les raisons qui ont provoqué cette tuerie. Des autopsies des corps seront rapidement pratiquées.
source
Drame familial tragique. Un homme d'une trentaine d'années s’est donné la mort, après avoir tué par balles sa femme et un autre couple, mercredi, en Eure-et-Loir. Cinq enfants, âgés de 2 à 12 ans, ont perdu leurs parents.
Selon les premiers éléments, un drame familial serait à l’origine de cette tuerie. Il aurait d’abord tué le coupe vivant à Amilly (Eure-et-Loir), avant de tuer son épouse de se donner la mort, à son domicile de Rouvray-les-Florentin (Eure-et-Loir), près de Chartres.
Le mari du couple et l’épouse du tueur étaient tous les deux professeurs de musique à l'école intercommunale de Voves.
Une enquête a été ouverte par la Brigade de recherches de Lucé pour déterminer les raisons qui ont provoqué cette tuerie. Des autopsies des corps seront rapidement pratiquées.
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