lundi 29 juin 2009

29 juin : Corps d'une femme dans une valise : mari incarcéré

Un corps retouvé dans une valise

Une valise contenant le corps d'une femme adulte a été retrouvée lundi flottant dans une écluse du canal de l'Escaut à Trith-Saint-Léger, près de Valenciennes (Nord). «Il s'agit d'une femme, pas d'un enfant», a précisé une source judiciaire.
La valise, ouverte, flottait dans l'écluse de Folien sur une portion canalisée de l'Escaut.
Les pompiers, arrivés sur place peu après 14 heures, s'apprêtaient à remonter la valise à l'aide d'une grue. La police a établi un périmètre de sécurité pour repousser les badauds.
Valenciennes. La police judiciaire était depuis quelques jours sur la piste d'une femme disparue en Belgique dans le courant du mois. Deux personnes - dont son mari d'origine pakistanaise - sont incarcérées en Belgique à la suite de cette disparition. (Source AFP)


http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-corps-retouve-dans-une-valise-29-06-2009-564066.php

mardi 23 juin 2009

23 juin 2009 . Hauts de Seine une femme mortellement poignardée en pleine rue

Ce mardi matin, vers 9h30, une femme âgée de 48 ans a été tuée, en pleine rue à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, selon Le Parisien.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime aurait été mortellement frappée de trois coups de couteau, à la gorge, au menton et à la poitrine.

Le concubin de la victime a été interpellé par deux motards de la direction départementale de la sécurité publique des Hauts-de-Seine, qui effectuaient des contrôles à proximité du lieu du drame, précise Le Parisien.

Le décès a été constaté peu avant 9h30. Le drame s'est déroulé devant une école maternelle, dans le quartier des Grésillons. La victime, qui n'habitait pas Gennevilliers, était «venue à la rencontre d'une amie».
L'homme, âgé de 53 ans et «défavorablement connu des services de police», selon une source policière, a été placé en garde à vue. D'après les premiers éléments de l'enquête, une rupture pourrait être à l'origine de l'agression.
La mairie a indiqué avoir mis en place une cellule de veille psychologique, avec l'Education nationale, afin d'aider» d'éventuels témoins sous le choc, notamment les parents, enseignants et personnel de l'école.

Source Le Parisien

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Complément d'information (identité, action) :

Marche contre les violences faites aux femmes en hommage à Marylène

Mardi 23 juin 2009, Marylène a été mortellement poignardée par son ex-conjoint devant une mini crèche, une halte garderie, une école maternelle et l’association L’Escale à Gennevilliers.
Les associations L’Escale, Plein Grés, Femmes relais, Femmes Solidaires, Elles Ouvrent La Porte, engagées aux côtés des femmes appellent à une marche silencieuse le 1er juillet 2009 à 18 heures. Le parcours partira du parvis de la mairie de Gennevilliers en direction du lieu du drame.
En 2008 en France, 156 femmes soit 1 tous les 2,5 jours, ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon. Sans une mobilisation de tous et toutes, ces violences à l’encontre des femmes ne cesseront pas.
Les associations comptent sur la présence de tous et toutes pour rendre hommage à Marylène et dénoncer les violences conjugales.

vendredi 12 juin 2009

12 juin 2009 : un petit-fils (27 ans) tue sa grand-mère, Renée Masclef (85 ans), parce que cette

Scène d'horreur hier matin, dans un pavillon de Couffouleux, près de Rabastens dans le Tarn. Le corps sans vie d'une femme a été découvert à son domicile de la rue de Paradis. Renée Masclef, 85 ans, y vivait seule depuis le décès de son mari. Seule mais pas isolée, car dans ce quartier tranquille, tous les voisins la connaissaient. L'une de ses voisines discutait encore avec elle vendredi soir, vers 21 h 30.C'est la dernière fois qu'on a vu Renée Masclef vivante.
L'un de ses deux fils, domicilié dans le village voisin deTécou, avait l'habitude de passer deux fois par jour pour ouvrir et fermer les volets, car sa mère avait du mal à se déplacer.
C'est lui qui a découvert son corps, peu avant 8 h 30. La maison avait été entièrement fouillée.....
Hier soir, lors d'une conférence de presse organisée à la brigade de Rabastens, la substitut du procureur de la République d'Albi, Sylvie Parisot, a donné les premiers éléments sur cette enquête. « La mort est d'origine violente. Il n'y a pas eu d'utilisation d'arme à feu ni d'arme blanche mais il y a eu des violences. »
La magistrate n'a pas souhaité apporter des précisions, mais on peut supposer que la retraitée a succombé à plusieurs coups. Renée Masclef aurait subi un déchaînement de violence inouï. « Là, on a vraiment touché le fond », confiait un enquêteur, encore sous le choc.... Le ou les meurtriers sont entrés par la porte de derrière, côté jardin. Renée Masclef connaissait peut-être celui qui s'est introduit chez elle, en fin de soirée ou en début de nuit.

15 juin : Le meurtrier est le petit fils

Oui, il s'était rendu vendredi soir au domicile de sa grand-mère, pour lui réclamer de l'argent. Une habitude que le jeune homme, sans profession, avait prise semble-t-il. Généreuse, l'octogénaire avait accédé à ses demandes les fois précédentes… mais pas vendredi soir. Devant ce refus, le petit-fils aurait perdu les pédales. Le drame se serait produit entre 21 h 30 et 22 h 30. 21 h 30, c'est l'heure à laquelle Renée Masclef a été vue vivante pour la dernière fois par sa voisine et amie. Après avoir commis l'irréparable, et avoir pris une somme d'argent, le jeune homme a raconté qu'il avait roulé vers la Haute-Garonne. Il dit avoir stationné sa Seat un instant sur le pont suspendu de Saint-Sulpice pour jeter un sac dans l'Agout. « Ce sac pourrait contenir des effets personnels qu'il portait au moment des faits », indiquait hier la substitut du procureur de la République d'Albi, Sylvie Parisot. Avisée dimanche soir, la brigade subaquatique d'Arcachon a envoyé trois de ses plongeurs hier, à Saint-Sulpice.
Source : LA DEPÊCHE.FR (16 juin 2009).

jeudi 11 juin 2009

11 juin 2009 Elle avait 21 ans

A Gisors, dans l'Eure, une femme de 21 ans a été retrouvée étranglée dans la baignoire de son appartement. Le drame a été découvert jeudi, en fin d'après-midi, par le compagnon de la victime, mais n'a été révélé que lundi par une source proche de l'enquête.
La jeune femme était coiffeuse à Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise, à quelques kilomètres de Gisors. Les premiers résultats de l'autopsie ont montré qu'elle avait été étranglée. Son corps portait également des traces de coups aux jambes. D'autres examens doivent être pratiqués, pour déterminer notamment si la jeune femme a été victime de violences sexuelles avant d'être tuée. Elle a été retrouvée partiellement habillée.
L'enquête a été confiée aux gendarmes de la Section de recherches (SR) de Rouen. Une quinzaine d'enquêteurs participent depuis jeudi aux investigations pour élucider cette affaire, interrogeant tant la famille de la victime que ses relations professionnelles et son voisinage.

L'assassin était un amoureux éconduit !

La jeune femme a été retrouvée jeudi dernier, gisant dans la baignoire de son appartement de Gisors dans l'Eure. Un homme de 25 ans a été mis en examen mardi pour homicide volontaire et agressions sexuelles, a-t-on appris auprès du parquet d'Evreux. Selon la procureure, le jeune homme interpellé lundi a reconnu les faits pendant sa garde à vue. Il s'agirait d'un amoureux éconduit par la jeune femme. Il a précisé l'avoir étranglée après lui avoir fait subir des attouchements sexuels.
Une enquête rapide
Les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Rouen chargée de l'enquête avait interrogé juste après le drame la famille de la victime, ses relations professionnelles et son voisinage. Rapidement leurs investigations se sont orientées en direction de ce jeune homme, qui lors d'un premier interrogatoire avait reconnu être passé chez la victime le jour du meurtre.Le drame a été découvert jeudi en fin d'après-midi par le compagnon de la victime, qui était coiffeuse à Chaumont-en-Vexin dans l'Oise, à quelques kilomètres de Gisors. L'autopsie pratiquée peu après avait montré que la jeune femme, qui était partiellement habillée, avait été étranglée et que son corps portait des traces de coups aux jambes.

mercredi 10 juin 2009

10 juin 2009 - Montataire (Oise) "écroué après le meurtre de sa femme"

El Miloud Latrach, un Montatairien de 27 ans, a été incarcéré « pour meurtre sur conjoint », hier en fin de matinée, après sa présentation devant un juge des libertés et de la détention du tribunal de Senlis. Il est soupçonné d’avoir tué sa femme, Laetitia, 24 ans, mercredi matin, dans la chambre de leur appartement situé au rez-de-chaussée du 40, rue du Colonel-Fabien, au sein du quartier des Martinets.

Après une vraisemblable dispute conjugale, El Miloud Latrach se serait emparé d’un couteau de cuisine avant de porter deux coups mortels à sa femme, au thorax et au cou. L’autopsie du corps de la victime a eu lieu hier, selon le parquet de Senlis. Les circonstances du drame restent toujours un mystère pour les enquêteurs, car El Miloud Latrach n’a pas donné d’explication cohérente à son geste lors de ses quarante-huit heures de garde à vue au commissariat : « Il ne dit pas grand-chose et ses déclarations sont très confuses, explique Viviane Brethenoux, substitute du procureur de la République de Senlis. Nous avons ouvert une information judiciaire pour meurtre sur conjoint. C’est désormais à l’instruction de faire toute la lumière sur cette affaire. »
Dans l’immeuble où vivait El Miloud Latrach, sa femme Laetitia et leurs trois enfants, des jumeaux de 4 mois et un troisième fils de 2 ans, c’est la consternation la plus totale : « On ne connaissait pas vraiment ce couple puisqu’ils avaient emménagé depuis trois semaines seulement, commente une voisine. Mais, malgré tout, ils avaient l’air plutôt heureux. »
Un bonheur visiblement très fragile, au regard du contexte social dans lequel baignait le couple. El Miloud Latrach et sa famille étaient d’ailleurs accompagnés depuis plusieurs mois par les services sociaux de la ville. « On avait effectivement apporté notre aide à cette famille pour le récent relogement au 40, rue du Colonel-Fabien, déclare Jean-Pierre Bosino, le maire de la commune. Ce qui est arrivé est très malheureux. Sur place, mercredi, je me suis occupé de contacter les services du conseil général pour prendre en charge et placer les trois enfants de ce couple. Ce meurtre est totalement incompréhensible. »

source : http://www.leparisien.fr/montataire-60160/ecroue-apres-le-meurtre-de-sa-femme-20-06-2009-554020.php

mardi 9 juin 2009

9 juin 2009 : un homme (44 ans) tente de tuer son ex-compagne (26 ans) à coups de pic à brochette

09 juin 2009
Moselle : Il tente de tuer son ex à coup de pic à brochette et d’un économe.
Où et quand : Domicile de la victime à Sarreguemines (Moselle).
Suspect : Un homme de 44 ans.
Victime : Son ex-concubine âgée de 26 ans.
Mode opératoire : Le suspect et son ex-concubine, qui s'étaient séparés quelques semaines auparavant, passent le weekend end ensemble. Une dispute éclate .Le suspect sous l'emprise de l’alcool frappe la jeune femme de plusieurs coups à l'aide d'un pic à brochette et d'un couteau économiseur, lui infligeant de graves blessures aux poumons.
Résultat : Hospitalisée et plongée dans un coma artificiel, celle-ci n'a pu être entendue par les enquêteurs. Son pronostic vital n'était cependant pas engagé.
Motif : Rupture, alcool… ?
Informations complémentaires : Il été mis en examen et placé hier en détention provisoire pour tentative d'homicide.
Sources : AFP 09/06/2009

lundi 8 juin 2009

7 juin 2009 : un homme tue de deux coups de feu sa compagne qui avait décidé de le quitter

Vosges : Sa femme le quitte : il la tue puis se suicide.
Où et quand : Début d’après-midi au premier étage du domicile familial à Remicourt (Vosges).
Suspect : Un homme âgé de 40 ans.
Victime : Sa compagne.
Mode opératoire : Il tire sur sa femme puis retourne l’arme contre lui.
Résultat : Ils sont décédés tous les deux.
Motif : La compagne avait décidé de quitter le domicile.
Informations complémentaires : Le couple avait deux enfants, des jumeaux âgés de huit ans qui étaient absents lors du drame.
Sources : lalsace.fr 08/06/2009

dimanche 7 juin 2009

7 juin 2009, Colmar (Haut-Rhin) Il asperge sa mère d’alcool et met le feu

["Hier en fin d’après-midi, elle se trouvait toujours entre la vie et la mort."]

"Un drame familial s’est produit dimanche vers 21 h, rue de Belfort à Colmar, dans le quartier Schweitzer (ex-Socozup).

Les faits se sont déroulés dans un immeuble collectif, au domicile d’un couple et de ses enfants. L’un d’eux, âgé de 17 ans, a aspergé sa mère d’alcool à brûler et a allumé le produit hautement inflammable avec un briquet. Le père de l’adolescent a tenté de s’interposer et a éteint les flammes avec des couvertures.

Grièvement brûlée sur le corps, mais aussi au visage, la maman a dû être transférée par hélicoptère au centre des grands brûlés de Metz. Hier en fin d’après-midi, elle se trouvait toujours entre la vie et la mort. Présentant également de profondes brûlures, mais sur une zone nettement moins étendue, le père de famille a été pris en charge à l’hôpital Pasteur voisin. Son pronostic vital n’est pas engagé.

L’adolescent a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de Colmar. Ce jeune homme d’une certaine carrure a agi dans un contexte de dispute avec sa mère, vraisemblablement en réaction à des brimades verbales. Il n’avait pas consommé d’alcool.(....) Les habitants du pâté d’immeubles étaient évidemment sous le choc, hier. Même si d’après eux, les interventions policières à la suite de disputes entre le fils et ses parents n’étaient pas rares." (source : http://www.lalsace.fr/fr/region/alsace/article/1672687,208/Colmar-Il-asperge-sa-mere-d-alcool-et-met-le-feu.html)

mardi 2 juin 2009

2 juin 2009 (Loire Atlantique) : L’homme s’est pendu. Le corps de l’enfant de 9 ans ne présentait pas de trace de coup.

"Des volets restés clos. Une voiture étrangement immobile. Mardi soir, déjà, un voisin s’était étonné de ces signes inhabituels dans cette avenue calme de Saint-Herblain (Loire Atlantique). Hier, l’étonnement s’est transformé en stupeur. Les corps sans vie de Christian Dufour, 71 ans, et de son fils Quentin, 9 ans, ont été découverts en début d’après-midi à l’intérieur du pavillon qu’ils occupaient depuis août 2007.

Les policiers avaient été alertés un peu plus tôt par le fils aîné de Christian Dufour, né d’un précédent mariage. Le demi-frère de Quentin venait de recevoir un courrier dans lequel son père faisait part de sa détresse. Il annonçait son intention de mettre fin à ses jours et à ceux de Quentin. L’homme a été retrouvé pendu. Le corps de l’enfant, lui, ne présentait aucune trace de coup. (...)

L’homme était séparé d’avec sa femme depuis de longues années. Les ex-conjoints se partageaient la garde de Quentin. Une semaine sur deux. « Ce fonctionnement mécontentait le père, confie un proche... (extrait de Presse Océan en ligne le 4 juin 2009) source : http://www.presseocean.fr/actu/actu_detail_-Un-fils-et-son-pere-retrouves-morts-_9179-957198_actu.Htm