samedi 30 octobre 2010

Un octogénaire a tué dimanche son épouse avant de retourner l'arme contre lui

Un homme de 88 ans a tué sa femme de 83 ans dimanche soir en Haute-Vienne. Il semblerait que les deux personnes âgées n'étaient pas en bonne santé.

Dans la soirée de dimanche, vers 20 heures, les pompiers ont reçu l’appel d’un homme, réclamant leur présence à son domicile de Pierre-Buffière (Haute-Vienne).

Louis Lascaux, âgé de 86 ans, vient d’appeler les secours avant de tirer un coup de fusil sur son épouse, Henriette, 83 ans, puis de retourner l’arme contre lui. Tous deux sont morts.

Il semblerait que les deux personnes âgées n’étaient pas en bonne santé.

D’ailleurs, et même si les raisons qui ont poussé l’octogénaire à se donner la mort après avoir tué son épouse restent encore à éclaircir, les circonstances en elles-mêmes ne font guère de doute pour les gendarmes.

C’est pourquoi, hier matin, les corps ont été rendus à la famille sans autopsie préalable.

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jeudi 28 octobre 2010

Pensant être atteint d'une leucémie, il tue sa femme

Antony dans les Hauts-de-Seine

Antony dans les Hauts-de-Seine
Antony dans les Hauts-de-Seine
Nicolas D., un père de famille de 43 ans résidant à Antony (Hauts-de-Seine), a tué sa femme à coups de marteau, ne supportant pas que celle-ci puisse refaire sa vie.
Tout commence lorsque ce cadre supérieur se plaint de violentes au dos et à l'abdomen, à la suite d'une opération de la clavicule. Les analyses radiologiques ne révèlent rien d'anormal mais l'homme effectue une prise de sang. Celle-ci indique un taux trop élevé de leucocytes (globules blancs). Nicolas D., qui a peu confiance en la médecine, se renseigne sur internet et s'auto-diagnstique une leucémie incurable. "Ça me faisait peur. J’ai toujours été fou amoureux de Nathalie. Je ne pouvais concevoir qu’elle vive avec un autre", aurait-il déclaré à la police judiciaire.
C'est à ce moment qu'un matin, il assène trois coups de marteau à son épouse. C'est leur fils de 15 ans qui effectuera la macabre découverte. A côté du corps de sa mère, le père avait laissé une lettre sur laquelle il était écrit : "Maman est morte et moi aussi je vais mourir". Cependant, Nicolas D. n'a "pas eu le courage" de se jeter dans la Seine.
La femme est décédée deux jours plus tard à l'hôpital et l'homme est mis en examen pour "meurtre par conjoint" et écroué.

mardi 19 octobre 2010

Caussade. Il tue sa femme et se suicide

René Pédron et son épouse ont été retrouvés morts hier soir dans leur maison de l'avenue Jean-Jaurès à Caussade. Selon les tous premiers éléments recueillis sur les lieux, il s'agirait d'un meurtre familial commis par un mari en détresse qui aurait ensuite retourné l'arme à feu contre lui pour se suicider.

L'alerte a été donnée vers 19 heures 50 par un membre de la famille inquiet de ne pas avoir de nouvelles de ce couple d'octogénaires se débattant dans des problèmes de santé. Les corps ont été découverts à l'arrivée des premiers secours. Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie de Montauban, ainsi que les enquêteurs de la brigade de recherches de Montauban et de la communauté de brigade de Caussade ont pris alors en charge toutes les investigations sous la houlette du capitaine Vergne, adjoint au commandant de compagnie de Montauban. Jacques Prunes et Bernard Pajot, deux des plus proches voisins ont été stupéfiés en apprenant la tragédie. L'un d'eux s'est pourtant souvenu avoir entendu dimanche matin deux détonations, mais sans penser qu'elles pouvaient provenir de la maison des Pédron. Les enquêteurs s'appliquaient hier soir à déterminer le jour exact et l'heure du drame.

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dimanche 17 octobre 2010

Femme assassinée à Paris: l’ex-petit ami de sa fille en garde à vue

Un homme qui avait eu une liaison amoureuse avec la fille de la femme de 49 ans poignardée à mort dimanche matin à Paris (XIXème arrondissement) a été placé en garde à vue, a-t-on appris lundi de source proche de l’enquête. La piste d’une vengeance liée à un différend d’ordre sentimental est étudiée par les enquêteurs de la Brigade Criminelle.

Mère de trois enfants, la victime avait été agressée à coups de couteau vers 9h30 alors qu’elle sortait de chez elle, rue de Colmar, par un homme qui avait pris la fuite. Elle était décédée rapidement après sa prise en charge par les secours.

Peu après, les enquêteurs étaient avisés qu’un homme gravement blessé à la main avait été admis dans un hôpital parisien. Agé de 27 ans, il a été placé en garde à vue. Il devait être interrogé à l’issue de son opération. Selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait eu une liaison avec la fille de la victime, âgée de 21 ans, qui a été entendue par les enquêteurs.

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jeudi 14 octobre 2010

Un pompier du Doubs tue sa femme et se suicide

Le corps d'un sapeur pompier originaire de Frasne, dans le Doubs, a été découvert cette semaine à son domicile de Lyon, à côté du cadavre de sa compagne.

L'homme, âgé de 29 ans, gisait un couteau planté dans le ventre, des traces de strangulation autour du cou et les poignets tailladés.
Sa femme avait quant à elle été égorgée.

Tous deux étaient déjà morts depuis quelques jours lorsque les secours les ont découverts.

Les enquêteurs supposent que l'homme a tué sa femme, avant de se suicider.

Source : Plein Air, l'Est Républicain

jeudi 7 octobre 2010

Un homme de 74 ans tue sa femme et se suicide

Les corps d'un homme de 74 ans et de son épouse de 76 ans qu'il a tuée avec arme à feu avant de se suicider ont été découverts mercredi à leur domicile de Chatou (Yvelines). L'arme a été retrouvée sur les lieux.

La police a découvert les deux corps dans la salle de bains vers 16 h 30.

La femme, qui se trouvait dans la baignoire, présentait une plaie par balle au niveau de la tempe, tandis que le mari gisait sur le sol, la recouverte d'un sac plastique, selon une première source policière.

Pour mettre fin à ses jours, l'homme s'est injecté de l'air comprimé par les narines avec une bonbonne, a précisé une seconde source.

Les faits remonteraient à «deux ou trois jours», la police ayant été alertée par la soeur du vieil homme, qui a reçu un courrier de son frère lui faisant part de ses intentions suicidaires. Une autopsie doit être pratiquée vendredi sur les deux corps.
L' a été confiée au commissariat du Vésinet.

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Violences conjugales. 140 femmes tuées en 2009

Trois décès par semaine. 140femmes ont succombé sous les coups de leur conjoint en 2009.

Le chiffre est certes en baisse mais il reste élevé. 140femmes ont été tuées en 2009 sous les coups de leur conjoint, contre 156 l'année précédente. «Ces chiffres sont un petit vent d'encouragement mais on ne peut pas encore parler de satisfaction», a réagi, hier, Nadine Morano. La secrétaire d'Etat à la Famille qui visitait le Centre national d'information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) a également rappelé que 25 hommes avaient perdu la vie l'année dernière sous les coups de leur conjointe. Dix enfants ont également succombé dans ces circonstances.

232 suicides

Ce bilan ne prend pas en compte les suicides liés aux violences conjugales. Selon une étude publiée par un cabinet spécialisé dans la prévention de ce type de violences, 232 victimes ont mis à leur jour en 2009 ainsi que 46agresseurs. Les décès liés aux violences conjugales dépassent alors largement le cap des 400. Même s'ils ne sont pas eux-mêmes victimes des coups, les enfants sont très fréquemment des «victimes collatérales». 60% des enfants témoins de violences conjugales souffrent de stress post-traumatiques. Avec le risque pour certains d'entre eux de reproduire de telles scènes dans leur couple. C'est d'ailleurs le thème de la dernière campagne officielle de prévention. Après un clip télé diffusé en septembre, mettant en scène un petit garçon et une petite fille qui jouent à la dînette et se mettent à reproduire une violente dispute parentale, une nouvelle affiche va être diffusée sur internet et placardée dans les centres d'information. Pour lutter contre les violences conjugales, un délit de violences psychologiques a été créé cet été. Les juges peuvent également désormais rendre une ordonnance de protection avant même que la victime ne porte plainte. Dans ses démarches, la victime peut être aidée d'une association, qui doit être «qualifiée», selon la loi. Mais des juristes s'inquiètent de savoir qui va désigner ces associations. «Nous n'avons pas eu de réponse» de Nadine Morano sur ce point, a estimé, déçue, Marie Petot, directrice du CIDFF de Nanterre, qui aurait aimé en savoir plus.www.stop-violences- femmes.gouv.fr

lundi 4 octobre 2010

Noyarey: Une femme de 38 ans tuée de trois coups de fusil

L'info sera en "une" du Dauphiné Libéré de ce mardi.

Une secrétaire âgée de 38 ans a été tuée de trois coups de fusil de chasse lundi matin sur son lieu de travail, en Isère, par un homme qui pourrait être "son compagnon ou son ex-compagnon" et qui a été interpellé quelques heures après, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Cette femme venait de stationner son véhicule sur le parking de son entreprise à Noyarey, un village au pied du Vercors, lorsqu'un homme qui l'attendait a fait usage de son fusil à trois reprises, la tuant sur le coup, a-t-on précisé de même source.

De rapides investigations ont permis d'interpeller lundi en fin de matinée, près de son domicile dans une banlieue de Grenoble, un homme de 52 ans présenté comme "l'auteur présumé" du crime, a-t-on ajouté. L'homme, qui était toujours auditionné lundi soir par les gendarmes de la brigade de recherches de Grenoble, aurait commencé à "reconnaître les faits". Aucun élément n'a pour l'heure été avancé concernant les motifs de ce meurtre.

dimanche 3 octobre 2010

Deux corps retrouvés dans l'Orne

Les corps de deux amants ou ex-amants, un homme de 43 ans qui s'est a priori suicidé et celui d'une femme de 49 ans qui a vraisemblablement été assassinée, ont été retrouvés dans l'Orne, laissant penser à un drame passionnel, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet d'Argentan.

"Nous ne savons pas" si l'homme et la femme, qui ont eu une relation amoureuse, "avaient toujours" cette relation, a déclaré David Pamart, procureur de la République à Argentan. "Le scénario de l'homme qui tue la femme et se suicide à la suite d'une rupture est le premier qui vient à l'esprit mais il faut attendre le résultat des autopsies", a-t-il indiqué. L'autopsie de la femme doit avoir lieu demain et celle de l'homme mercredi, selon la même source.

Le corps de la femme, qui portait des traces de strangulation, a été retrouvé vendredi dans le 4x4 de l'homme, dans un champ à La Coulonche, à une centaine de km au sud de Caen, a précisé David Pamart. Le corps de l'homme, pendu, se trouvait à quelques mètres de là, selon David Pamart.

Les scénarios de double suicide ou du double meurtre par un tiers ne peuvent ête exclus avant les résultats de l'autopsie, a souligné David Pamart. L'homme, qui avait des enfants, était magasinier, la femme travaillait dans la même entreprise, selon le parquet.

Un couple tué à la carabine : la thèse du drame passionnel progresse

L'enquête sur la mort violente d'un couple âgé d'une vingtaine d'années, découvert gisant dans sa maison à Croix-Caluyau dimanche soir, s'oriente vers un drame de la rupture. Des traces écrites indiquent que le couple vivait une situation désespérée.

À Croix-Caluyau, village de 213 habitants situé près de Landrecies et du Cateau-Cambrésis, dimanche était jour de chasse, et une habitante de la chaussée Brunehaut confie qu'elle n'a pas prêté attention aux coups de feu tirés dans les environs. À un jet de pierre de sa maison, pourtant, ce sont deux coups de carabine 22 long rifle qui auraient ôté la vie, dimanche en début de soirée, à un couple installé depuis peu dans une fermette en location. Une femme de 25 ans, Valérie Brasselet, et un homme de 19 ans, Dimitri Lefèvre, dont la relation était dans l'impasse.

Une lettre, retrouvée par les gendarmes près des corps découverts dans le salon de la fermette, a permis à l'enquête de s'orienter vers la thèse du drame de la séparation. Écrite par Valérie, elle demande à Dimitri de quitter la maison où le couple s'était installé au printemps. La jeune femme avait apparemment laissé la missive à son compagnon avant de s'absenter une partie de la journée de dimanche. « Entre le moment où elle est rentrée chez elle et celui où les corps ont été découverts vers 20 heures, on ne sait pas ce qu'il s'est passé », confiait hier le parquet d'Avesnes-sur-Helpe, qui reconnaissait cependant « qu'aucun élément ne laisse supposer l'intervention d'un tiers ».

« Ne va pas là-bas »

On sait que vers 16 heures, Dimitri avait posté un message sur le site Internet communautaire Facebook. À côté de son message d'accueil habituel, « j'aime ma chérie Valérie », une phrase lapidaire insultait un homme habitant une autre commune du Quercitain et s'achevait par « T mort ».

Crise de jalousie meurtrière ? Les gendarmes ont identifié un « rapprochement » entre l'homme concerné et Valérie, la jeune femme elle-même ayant par le passé reproché au jeune homme son infidélité. Les corps doivent être autopsiés pour déterminer qui a tiré les coups de feu, la carabine n'ayant pas été retrouvée tenue par l'une des victimes, mais à proximité. À 2 h, dans la nuit de dimanche à lundi, les enquêteurs de l'identité criminelle étaient toujours sur place à Croix-Caluyau. Rappelons que c'est une amie de Valérie qui a découvert dimanche les jeunes gens et appelé le père de Valérie qui habite Bousies, une commune toute proche. Les membres des familles du couple ont accouru les uns après les autres. Le père de Valérie n'avait notamment plus de nouvelles de sa fille depuis un coup de téléphone alarmant en début d'après-midi, où la jeune femme décrivait son compagnon pris d'une rage folle. « Je lui ai dit : "ne va pas là-bas, attends que je rentre" », se souvient le père

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vendredi 1 octobre 2010

Le nonagénaire tue sa femme et se suicide


Les gendarmes de la brigade de recherches de la compagnie d’Orange et les techniciens en investigation criminelle privilégient la thèse du drame familial pour ce fait divers qui s’est passé vendredi dans le quartier du Plan, route de Roaix à Vaison-la-Romaine.

Tout laisse à penser que Raymond Rivoire, âgé de 97 ans a tué son épouse Hélène âgée de 10 ans de moins que lui en déchargeant une cartouche de fusil de chasse, avant de retourner l’arme contre lui. Son arme a été retrouvée à ses pieds. L’accident se serait produit aux alentours de midi. Les deux corps ont été retrouvés par leur fille qui rendait une visite quotidienne à ses parents. Il était alors 14 h 30.

Une famille de viticulteurs et d’agriculteur sans histoire. Des examens médicaux récents l’avaient informé d’une affection maligne.

Lui qui parcourait régulièrement ses douze kilomètres par jour à vélo ne voulait pas être happé par la maladie. On peut imaginer qu’il ne voulait pas laisser sa femme seule.

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