mardi 28 juillet 2009
28 juillet : pour une carte bancaire !
lundi 27 juillet 2009
27 Juillet : il la trouvait trop belle !
Âgé également de 20 ans, son meurtrier présumé a été identifié par des témoins comme étant un de ses voisins et a été interpellé un peu plus tard dans le centre de Saint-Etienne. Déjà connu de la Justice, le jeune homme sera présenté mardi au parquet qui envisage l'ouverture d'une information judiciaire pour "assassinat", a précisé une source judiciaire sans plus de précisions.
Selon une expertise psychiatrique remise lundi au parquet, la responsabilité du suspect, qui a des antécédents psychiatriques, serait "légèrement altérée". "Le mois dernier, il avait agressé ma soeur sans raison en lui tirant les cheveux et en lui donnant des coups de poing", a affirmé à l'AFP la soeur aînée de la victime, en qualifiant le suspect de "psychopathe en liberté". "C'est injuste de laisser des fous pareils dans la rue", a ajouté pour sa part la mère de la défunte, qui rentrait au domicile familial quand elle a été frappée. La victime revenait du restaurant où elle était employée lorsque l'homme lui a porté un coup mortel avec un couteau de cuisine doté d'une "grande lame", avait précisé une source policière.
Le discernement du jeune homme au moment des faits a été jugé "légèrement altéré", lors d'une expertise médicale pratiquée dimanche soir. Ludovic, qui avait apparemment effectué un séjour au service psychiatrique du CHU de Saint-Etienne, dans le cadre d'une condamnation pénale, avait déjà agressé physiquement la jeune femme dans la rue le mois dernier.
D'après un membre de la famille de la victime, il lui avait, sans raison, tiré les cheveux et donné un coup de pied. Un jeune du quartier, qui a ramassé le corps ensanglanté de la victime, dimanche après-midi, a rapporté que l'agresseur lui aurait un jour confié : "moi, j'ai 'la rage', cette fille, elle est trop belle". Un frère de la victime a pour sa part déclaré mardi à l'AFP avoir effectué un dépôt de plainte contre X et contre le médecin en charge du suivi psychiatrique de l'agresseur.
dimanche 26 juillet 2009
26 juillet : à coups de barre à mine
Dans le petit village de Caseneuve, plus exactement, dans une maison isolée, à l'entrée du village, sur la route d'Apt.
Un drame dont a été victime une femme âgée d'une soixantaine d'années.
Ce fait divers sordide a eu lieu dans le courant de l'après-midi, dans des circonstances encore indéterminées.
"Des coups assénés par le compagnon de la victime"
Selon les premiers témoignages, recueillis sur place la malheureuse serait décédée après avoir reçu un ou plusieurs coups de barre à mine.
Des coups assénés par son compagnon, sensiblement du même âge.
L'alerte donnée, enquêteurs et sauveteurs se sont aussitôt rendus sur place.
Malheureusement, il n'a pas été possible de sauver la victime.
Tandis que les sapeurs-pompiers ne pouvaient empêcher cette issue fatale, les gendarmes de la Compagnie d'Apt procédaient aux premières constatations et aux auditions nécessaires à leurs investigations.
La police scientifique sur place
Les techniciens de police scientifique, dans la soirée, effectuaient
encore des prélèvements.
Une recherche d'indices qui devrait sans doute permettre aux militaires d'avancer dans leurs recherches et déclencher une enquête pour connaître les circonstances du décès.
Cette mort tragique a bouleversé les habitants de Caseneuve, où le couple était installé. (http://www.ledauphine.com/caseneuve-une-femme-tuee-a-coups-de-barre-a-mine-@/index.jspz?chaine=85&article=167223)
samedi 25 juillet 2009
25 juillet : CHIMILIN (NORD-ISÈRE) Il tue son ex-compagne et se donne la mort
Une jolie maison dauphinoise avec un toit à quatre pans et des tuiles écailles. Un jardin joliment arrangé, très fleuri et soigné. Un cadre enchanteur, situé au hameau des Ternes, sur les hauteurs de Chimilin, dans lequel la vie a pourtant basculé hier matin, en une fraction de seconde.
C'est en effet au 1 620 route des Ternes que s'est déroulé le drame : en début de matinée, Jean-Paul Cochard blesse mortellement Suzanne Fouillet à l'arme blanche, avant de retourner le couteau contre lui et de se donner la mort.
Les secours, rapidement dépêchés sur place, constatent la situation et donnent les premiers soins d'urgence à Suzanne Fouillet, qui est encore en vie à leur arrivée. Un hélicoptère est également appelé sur les lieux, afin d'accélérer son évacuation. Malheureusement et malgré tous les efforts de l'équipe soignante, Suzanne Fouillet décède avant son transfert vers l'hôpital, ayant subi de trop importantes pertes sanguines.
Des gens simples, gentils et sans histoires
Dans la matinée, l'enquête commence pour la brigade des recherches de La Tour-du-Pin, la brigade de gendarmerie de Pont-de-Beauvoisin et les techniciens en identification criminelle de Grenoble. Elle se poursuivra une partie de la journée, avec la présence sur place de Madame Cuny, substitut du procureur de la République de Bourgoin-Jallieu. Dans le village où Suzanne Fouillet a passé toute sa vie, c'est la consternation. Suzanne Fouillet (78 ans) et Jean-Paul Cochard (64 ans) sont unanimement décrits comme des gens simples, gentils et sans histoires. "Nous sommes vraiment surpris et choqués par ces événements", commente Robert Arbaretaz, maire de Chimilin. "Au mois de mai, ils participaient encore à la fête des anciens du village. C'est incompréhensible."
Suzanne et Jean-Paul vivaient ensemble depuis quelques années, ayant été mariés chacun de leur côté auparavant. Parmi les habitants de Chimilin, leur histoire est qualifiée de "normale, sans remous apparents". Pourtant, Jean-Paul quitte Suzanne il y a quelques mois, pour une autre femme. "La différence d'âge avait fini par lui peser", commente un proche de Jean-Paul Cochard. Avant de préciser : "Son geste est inexplicable. Je savais qu'il devait passer voir Suzanne pour récupérer ses affaires, car il m'avait dit qu'elle aurait refusé de les lui rendre la semaine dernière. Ça s'est peut-être mal passé et ça aurait dégénéré." Qui sait ?
Il est en effet trop tôt pour conclure à un mobile ou déterminer le déroulement précis des faits. Les forces de l'ordre et le parquet ne font d'ailleurs aucun commentaire pour le moment, l'enquête étant en cours et au stade "d'hypothèses". Ce qui est sûr, c'est que ce coup de folie laisse la fille de Suzanne Fouillet et les deux enfants de Jean-Paul Cochard dans le deuil. Et une famille, des voisins, un village sous le choc.
jeudi 23 juillet 2009
23 juillet 2009 - Font Romeu (Pyrénées) : il tue son épouse de plusieurs coups de couteau
«Je viens de faire une bêtise. J'ai assassiné ta mère. Je pars avec les gendarmes. » C'est par ces mots que Jean Dutrey aurait annoncé, hier, à sa fille aînée, Marion, 17 ans, en vacances avec des jeunes de sa commune au Vieux-Boucau (40), qu'il venait de tuer son épouse Véronique. Le couple qui vivait à Lafox, au lotissement Séounes, juste en face de l'école, était depuis samedi dernier en vacances à Font-Romeu, à la résidence «les Fontanilles ».
Après un séjour d'une semaine en compagnie de leur plus jeune fille, Laura, 10 ans, les époux Dutrey devaient rentrer chez eux ce samedi. Mais hier matin, vers 9 h 30, Laura quitte brusquement l'appartement pour frapper à la porte des voisins : « Mes parents se disputent. » Lorsque le voisin arrive dans le studio, Véronique Dutrey, 44 ans depuis le 6 juin, gît, inanimée, tuée de plusieurs coups de couteaux portés par Jean, 45 ans.
(...) C'étaient des gens discrets, ils donnaient l'image d'un couple heureux qui s'entendait bien. La semaine dernière encore je les ai croisés, ils partaient se promener au bord du canal. » Jean Dutrey, connu et apprécié dans sa commune est qualifié d'affable et gentil. « Ils participaient aux manifestations organisées par la commune, n'ont jamais fait parler d'eux, jamais eu de problèmes de voisinage. Personne ne comprend », poursuit Christine Bonfanti-Dossat. évoquant Véronique Dutrey, infirmière à la clinique Saint-Hilaire à Agen, le maire de Lafox dit avoir l'image d'une « femme délicieuse » : « Elle avait toujours le sourire. » (...)
Interpellé hier matin par les gendarmes, Jean Dutrey a été placé en garde à vue à la gendarmerie où il était toujours hier soir. Il aurait reconnu sans difficulté les faits qui lui sont reprochés, sans toutefois donner d'explication à son geste. Une expertise psychiatrique aurait été demandée. (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/24/643856-Il-la-tue-de-plusieurs-coups-de-couteau.html)
dimanche 19 juillet 2009
19 Juillet : Asassinat d'une jeune femme
Le Parisien
vendredi 17 juillet 2009
16 Juillet - Perrine martyrisée
Il fait état de « fractures et d’arrachages de plusieurs dents avec une pince multiprise ». Avant d’enterrer la victime, le meurtrier a « répandu de l’essence sur le corps de Perrine, allumé le feu, qu’il a éteint aussitôt », a indiqué l’avocat. « Le médecin légiste a en outre relevé des ecchymoses ante mortem sur la partie fronto-temporale gauche de son visage », a poursuivi le conseil de la famille. La jeune femme avait disparu depuis le 3 juillet de son domicile d’Essey-lès-Nancy. Son corps a été retrouvé quinze jours plus tard à Courbesseaux, où réside son compagnon, Emmanuel Burtin. Il voulait la tuerInterpellé le 16 juillet à la suite d’un témoignage, ce pompier professionnel de 36 ans a avoué lors de sa garde à vue avoir étranglé sa compagne et révélé l’endroit où il l’avait cachée. Mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire, Emmanuel Burtin a motivé son geste par le fait qu’il voulait mettre un terme à sa relation avec Perrine qui, selon lui, « le harcelait ». Il aurait contacté deux personnes pour leur demander d’assassiner Perrine, mais elles auraient renoncé. Le témoin, qui a permis d’interpeller le meurtrier présumé, a affirmé à la police avoir surpris quelques jours plus tôt une conversation entre deux hommes projetant d’assassiner une jeune femme. L’avocat d’Emmanuel Burtin conteste cette version.
Le Parisien
Pas-de-Calais: il tue son épouse devant leur fille de 4 ans et tente de se suicider
Un homme d'une quarantaine d'années a abattu sa femme d'un coup de fusil de chasse devant leur fillette de 4 ans jeudi à Beaurainville, dans le Pas-de-Calais, sur un parking, avant de retourner l'arme contre lui.
L'homme, gravement atteint à la mâchoire, a été hospitalisé au CHU de Lille, a indiqué le procureur de Boulogne-sur-mer, Jean-Philippe Joubert. Une enquête a été confiée à la gendarmerie.
Les premiers éléments recueillis laissent penser à un drame passionnel. Le couple était en instance de divorce et la victime, qui travaillait comme ambulancière, avait quitté récemment le domicile familial. Son conjoint, cariste, l'attendait jeudi vers 17H30 sur le parking du médecin de Beaurainville, où la femme se rendait avec sa fille pour une consultation. Après l'avoir tuée d'un coup de feu, il a aussitôt retourné l'arme
contre lui.
Le drame est survenu devant des témoins qui ont été entendus par les gendarmes. Les deux filles du couple ont été prises en charge par la famille.
Source : Nord eclair
jeudi 16 juillet 2009
16 juillet : drame possessionnel
Après avoir vécu vingt-cinq ans ensemble, Natacha Holville, 44 ans, et Thierry Dhalleine, 43 ans, venait de se séparer il y a quinze jours. Elle avait quitté le domicile familial de Maresquel et venait de s'installer à Beaurainville, une commune toute proche.
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Deux coups de feu
Hier, vers 17 h 30, Natacha Holville, accompagnée de sa petite fille, gare sa voiture sur le parking de son médecin à Beaurainville. Son conjoint est là, qui l'attend. Le drame se joue en quelques secondes. Thierry Dhalleine braque son fusil de chasse sur son ex-compagne et tire. Puis, aussitôt, il retourne l'arme contre lui.
Le médecin et les premiers témoins, alertés par les deux coups de feu arrivent sur les lieux. Ils s'aperçoivent vite qu'ils ne peuvent plus rien faire pour la femme, tuée sur le coup. Thierry Dhalleine, lui, est gravement blessé. Les voisins prennent aussitôt soin de la fillette de quatre ans qui a assisté à la scène et qui est sous le choc. Thierry Dhalleine a d'abord été longuement soigné sur place avant d'être évacué par un hélicoptère du SAMU au CHU de Lille.
Natacha Holville travaillait comme ambulancière aux ambulances du Val-de-Canche à Beaurainville. Lui est cariste à Valéo Étaples. Le couple avait deux enfants qui ont été pris en charge par la famille. La gendarmerie, chargée de l'enquête, doit maintenant tenter de cerner les circonstances de ce qui apparaît être un drame passionnel.
vendredi 10 juillet 2009
10 juillet : il tue sa femme et se suicide
L'homme, âgé de 74 ans et atteint d'un «cancer très avancé», a tué sa femme, âgée de 79 ans, avec une arme de poing, avant de retourner l'arme contre lui.
Leur fille, qui les avait vus jeudi soir pour la dernière fois, les a découverts inanimés vendredi à midi et a alerté les secours.
Les premiers éléments de l'enquête laissent supposer que cette action était concertée entre les époux. Le parquet de Clermont-Ferrand a précisé qu'un écrit de la femme avait été retrouvé sur place.
Son mari devait être hospitalisé pour un cancer métastasé, a-t-il ajouté.
L'enquête a été confiée à la brigade de la sûreté urbaine de Cournon et à la sûreté départementale et une autopsie doit être pratiquée. (http://www.leparisien.fr/faits-divers/malade-il-tue-sa-femme-et-se-suicide-10-07-2009-576562.php)
dimanche 5 juillet 2009
5 juillet 2009 - Montaut (Pyrénées-Atlantiques) "Il abat sa femme et se suicide"
... C’est à l’extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d’arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C’était là que vivaient et qu’ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s’étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c’est là que s’est déroulé le drame.
Il est difficile pour l’heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d’une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l’origine.
Dimanche, entre 20 et 21 heures, l’homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d’une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.
C’est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d’un coup de fusil de chasse. Et a retourné l’arme contre lui. (...)
Concernant la scène du drame, les faits se sont passés à l’extérieur de la maison. Le corps de l’épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue, sur son siège, d’un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.(...)
Robert Oliveras venait de prendre sa retraite depuis quelques mois, après de longues années passées au sein du Foyer intergénération de Loumet à Pamiers, où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy, était employée comme assistante sociale au sein de l’ADAPEI à Saint-Jean-du-Falga... (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/07/635665-Montaut-Il-abat-sa-femme-et-se-suicide.html#xtor=EPR-1 )
5 juillet : Montpellier (Hérault) : Un policier maquille la mort de sa femme
Le corps de son épouse avait été retrouvé, carbonisé, à l’intérieur d’une voiture dans laquelle le couple circulait, sur l’autoroute A75. Selon les premières déclarations du mari, la voiture aurait eu une panne et aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule.
Mais une première autopsie du corps a montré que la femme était décédée avant l’incendie, suite à l’absorption de produits médicamenteux, avait révélé le quotidien Midi Libre. Confronté aux résultats de cette autopsie, le policier a par la suite assuré que sa femme s’était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu’il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle.
Ce sont ces déclarations contradictoires qui ont motivé la prolongation de la garde à vue du policier, prononcée hier soir. Selon cette autre source, une autre zone d’ombre subsiste avec une trace de coup à la tête. Une seconde autopsie a été pratiquée...
source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/09/01011-20090709FILWWW00367-un-policier-maquille-la-mort-de-sa-femme.php
[complément d'info]
"Policière carbonisée : le mari en prison pour assassinat" :
Egalement policier, il voulait percevoir la prime d'assurance-vie. Il entretenait une liaison extra-conjugale avec une policière.
Un brigadier-chef âgé de 37 ans, Jacques P. en poste au commissariat central de Montpellier est placé en garde à vue mardi 7 juillet à 22h45 à l'hôtel de police de Sète dans l'enquête sur la mort suspecte de sa femme, brigadier au commissariat de Lattes. À l'issue de sa garde à vue, jeudi 9 juillet à 19h, il est mis en examen pour assassinat (meurtre avec préméditation), par un juge d'instruction. (...)
Suicide écarté
Durant sa garde à vue, mercredi 8 juillet, le policier avoue finalement avoir volontairement incendié la voiture avec le corps de sa femme à l'intérieur. Il a utilisé un liquide pour allumer des barbecues. Dans un premier temps, il a expliqué qu'elle s'était suicidée par pendaison, au terme d'une énième dispute conjugale dimanche soir, dans le pavillon du couple à Saint-Pargoire, alors que les deux enfants âgés de 7 et 8 ans étaient présents. Cette version est totalement exclue par les preuves scientifiques attestant que la victime a ingurgité à son insu une douzaine de puissants cachets de somnolence. Le mari reconnaît être à l'origine de ce geste, en révélant que la dispute dominicale portait sur la liaison extra-conjugale qu'il entretient depuis un an et demi avec une policière qui fait partie de son groupe au commissariat central. Il reconnaît avoir maquillé l'assassinat en accident, afin de percevoir la coquette prime d'assurance-vie, qui n'est pas versée en cas de décès volontaire et de crime.
Source : http://www.lagazettedemontpellier.fr/actualite/Policiere-carbonisee-:-le-mari-mis-en-examen-pour-assassinat-735.html
C'est un crime pour le moins rocambolesque que Jacques Prevosto, un brigadier-chef de l'unité de nuit du commissariat de Montpellier, est accusé d'avoir commis sur son épouse, également policière dans l'Hérault.
source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/10/01016-20090710ARTFIG00388-un-policier-avoue-le-meurtre-rocambolesque-de-sa-femme-.php
samedi 4 juillet 2009
Nuit du 4 au 5 juillet 2009 - Bellegarde (Gard). Il a tué sa femme d'une balle dans la tête
Jacques Jannet a tué son épouse, Florence, qui était aussi la mère de leurs deux garçons. Cette réalité atroce bouleverse le petit village de Bellegarde où le drame s'est produit, dans la nuit de samedi à dimanche. L'auteur présumé du meurtre a été déféré au parquet d'Albi hier après-midi avant d'être transféré sur le pôle de l'instruction criminelle de Toulouse où il a été mis en examen pour « meurtre par conjoint ». (...)
« Le mari de la victime, après s'être disputé verbalement avec son épouse, s'est emparé d'une carabine 22 long rifle. Il aurait, semble-t-il, menacé de se suicider. Mais il a ensuite tiré un seul coup, à très faible distance, en direction de son épouse. » Florence Jannet, 43 ans, atteinte d'une balle en pleine tête, « est décédée immédiatement », précise le procureur. Le fils cadet du couple, âgé de 12 ans et demi, était présent dans la maison à ce moment-là. « L'enfant n'a pas assisté directement aux faits » mais c'est lui qui a retiré l'arme des mains de son père. Celui-ci n'a opposé aucune résistance aux gendarmes d'Albi venus l'interpeller. Ils l'ont trouvé prostré, aux abords de la maison. Le dépistage d'alcoolémie s'est révélé positif mais le taux relevé (0,50 milligramme par litre d'air expiré) ne suffit pas à affirmer que son discernement aurait pu être altéré. Sur les raisons de son geste, Jacques Jannet aurait donné « des explications confuses » desquelles il ressortirait néanmoins « des velléités de suicide » et « des difficultés relationnelles avec son épouse ».
Ce couple discret, apprécié au village, n'avait jamais fait parler de lui jusqu'ici. (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/07/635345-Il-a-tue-sa-femme-d-une-balle-dans-la-tete.html)
mercredi 1 juillet 2009
1er juillet : Femme brûlée à Lyon (Rhône) : le frère soupçonné
Le parquet de Lyon a requis le mandat de dépôt à l’encontre du jeune Mohammed, interpellé en début de semaine parce qu’il présentait lui-même de «sérieuses brûlures» aux jambes, pour lesquelles il avait des «explications farfelues», selon la même source. «Le mobile est pour l’instant assez obscur, mais il s’agit d’une famille avec des valeurs religieuses», a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête.
Selon cette source, le jeune Mohammed, décrit comme un garçon «violent» et «religieux», n’aurait «pas accepté le mode de vie de sa soeur aînée». Le corps calciné de la jeune femme de 22 ans d’origine maghrébine, avait été découvert le 1er juillet par des pompiers qui intervenaient sur un incendie volontaire dans une cave d’une cité d’Oullins.
La tête de la victime était recouverte d’un sac en plastique et un tuyau d’arrosage était enroulé autour de son corps, accréditant la thèse d’un homicide.
L’autopsie du corps avait notamment révélé que la victime avait eu un récent rapport sexuel avec son petit ami, selon la même source. Entendu par les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon, ce dernier avait toutefois été écarté de tout soupçon.
source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/09/01011-20090709FILWWW00313-lyon-femme-bruleeson-frere-soupconne.php