jeudi 31 décembre 2009

31 decembre 2009 : 3 morts à Champigny (Yonne)

Drame familial dans l'Yonne: trois morts


Hier, un quadragénaire a tué sa femme et la fille de cette dernière, âgée d’une vingtaine d’années, à leur domicile de Champigny dans l’Yonne.

Puis l’homme a retourné l’arme contre lui.

Ce sont les deux enfants de sa compagne, un garçon de 12 ans et une fille de 7 ans qui on alerté les secours.

Au moment de la tuerie, les deux enfants se trouvaient dans la maison familiale, sans toutefois avoir assisté au drame.

Quand les secours son arrivés sur les lieux, ils on découvert le quadragénaire gisant une arme à la main, au milieu des photos de sa compagne.

Les deux jeunes enfants ont indiqué aux enquêteurs que le couple s’était violemment disputé avant que l’irréparable soit commis.

Source : Le Post

jeudi 24 décembre 2009

24 décembre 2009 - Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne) "Un père tue ses deux enfants et se suicide à moto à la veille de Noël"

" Un père de famille de 47 ans a tué ses deux enfants, un garçon de 14 mois et une fillette de quatre ans, jeudi à leur domicile de Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne) avant de se suicider à moto en se jetant contre un transformateur électrique, un drame probablement lié à une "séparation", selon les premiers éléments de l'enquête.

Les faits se sont déroulés jeudi dans l'après-midi, alors que la mère des enfants faisait des courses, seule, quelques heures avant le réveillon de Noël, selon les premières informations de la police.

"La thèse du double homicide ne fait aucun doute", a affirmé à l'AFP une source policière, confirmant une information du Parisien.fr."
source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5j-O7K_AZnV6rt4FKOJQRPoaIfPwA

lundi 7 décembre 2009

7 déc 2009 : Nargis (Loiret) : il entre dans la mairie, tue sa femme et tente de se tuer

Un homme de 55 ans a fait irruption dans la mairie et, armé d'un révolver, a abattu sa femme, employée municipale, d'une balle en pleine tête, devant d'autres employés et quelques élus de cette commune d'un peu plus de 1.200 habitants.

Le maire, entendant les cris et les coups de feu, est arrivé et a tenté de raisonner l'individu, mais celui-ci a braqué le premier magistrat de la commune, qui est parti donner l'alerte.

L'individu s'est alors assis dans fauteuil du maire, avant de tenter de se suicider d'une balle dans la tempe. Il a été transporté à l'hôpital d'Orléans. En fin d'après-midi, il était toujours dans un état critique.

Les témoins de ces scènes ont évidemment été très choqués. (source : http://www.larep.com/une-14192.html )

7 décembre : Bourges tuée par celui qu'elle voulait quitter

Stéphanie Cortes est morte, lundi, assassinée sur son lieu de travail par son mari, duquel elle s'apprêtait à divorcer. Ce dernier, qui a dirigé l'imprimerie Bussière de Saint-Amand durant trois ans, s'est donné la mort.

Depuis plusieurs années, on ne croisait plus guère Stéphanie à Saint-Amand. Mais, comment oublier cette jeune femme épanouie, fraîche et attachante ?

« Depuis quelques mois, elle renouait avec ses amis », raconte l'une de ses s'urs. Après son départ du Boischaut, en 2004, suivi par son mariage avec Luc Dutreuil, ancien directeur de Bussière, « elle avait moins de relations avec sa famille et ses amis », se souvient sa s'ur. « C'était une colombe enfermée dans une cage », glisse l'un de ses trois frères.

« C'était un rayon de soleil, elle était très gentille », confie une commerçante de son village d'adoption, dans le Loiret. « Généreuse, courageuse, avec de la rigueur, intelligente, sensible », énumèrent ses proches. Stéphanie était la dernière d'une famille de six enfants, trois frères et trois s'urs, née en 1975. Son père travaillait dans une scierie à Blet, avant de passer quatorze ans chez Michelin, à Bourges. Le couple Cortes a fait construire à Saint-Amand, en 2000.

Écolière à Chalivoy, puis collégienne à Dun, enfin lycéenne à Saint-Amand, Stéphanie avait stoppé ses études universitaires pour s'installer à Drevant, avec son premier époux. Mère d'une fille née en 1999, elle travaillait alors comme serveuse au Celtique, place du Marché à Saint-Amand. Par la suite salariée de la Cogep, un cabinet comptable, elle a aussi travaillé à l'hôtel-restaurant le Noirlac, où elle a rencontré Luc Dutreuil.

Au printemps dernier, elle avait quitté ce mari décrit comme « violent et jaloux » par des collègues de travail. « Elle avait déposé une plainte pour des violences à la gendarmerie, qui a été classée sans suite, raconte sa famille. Puis elle a signalé à plusieurs reprises les menaces, le harcèlement ».

Dans le cadre du divorce, une audience de conciliation était prévue début 2010. « Il lui a coupé les ailes », lâche l'un de ses frères.

Le berry républicain

7 déc. 2009 : La Baule (Loire Atlantique) : Une femme brûlée par son conjoint (décédée fin déc. de ses blessures)

"Une institutrice retraitée, grièvement brûlée hier à La Baule, a été transférée dans un hôpital parisien, en raison de la gravité extrême de ses blessures. Avant de perdre connaissance, elle avait indiqué que son compagnon l’avait aspergé d’essence et enflammé. L’homme a été placé en garde à vue. Selon le procureur-adjoint de Saint-Nazaire, le dossier sera transmis dans les heures qui viennent au parquet de Nantes qui suit les dossiers criminels. (...)

« Frappée depuis trois jours »
Le témoin se précipite pour éteindre le feu à l'aide d'une couverture. Il reconnaît alors sa voisine. Pendant ce temps-là, sa compagne prévient les secours. « Elle a eu le temps de nous dire qu'il l'avait aspergée d'essence...
source :
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-La-Baule.-Une-femme-aspergee-d%E2%80%99essence-et-enflammee-par-son-mari_39382-1184015_actu.Htm

Elle est décédée fin décembre à l'Hôpital St Antoine à Paris : http://meurtrefemmeparcompagnon.blogspot.com/2009/12/une-femme-de-61-ans-brulee-par-son.html

lundi 30 novembre 2009

30 novembre : poignardée devant ses enfants

Une femme meurt poignardée devant ses enfants

L'agression, à coups de couteau, s'est passée dans une HLM d'Hennebont. Le père des trois enfantss'est blessé en fuyant par la fenêtre. Il est en garde à vue.
Ils ont tous entendu ce cri d'enfant déchirer la nuit : « Arrête, arrête papa, non, non ! » Puis des bruits de coups et d'autres cris suppliants poussés par une femme. Il est un peu plus de 2 h, lundi, dans le quartier HLM de Kerihouais, à Hennebont (Morbihan).
L'agression dont vient d'être victime Françoise Lahcen, 39 ans, a réveillé les voisins. Beaucoup se précipitent à leur fenêtre, voient un homme sauter d'un balcon, au premier des quatre étages de l'immeuble H. Il se réceptionne mal, se brise la cheville et, malgré une main ensanglantée, tente de s'enfuir « en rampant ». Il sera interpellé, chez lui, dans un bâtiment proche de la même cité. Cet homme de 39 ans est le père des trois enfants de Françoise.

Au bâtiment H, une habitante ouvre sa porte. « J'ai vu son corps allongé sur le demi-palier, baignant dans une mare de sang. » Cette voisine a aussitôt appelé les secours.

« Frappée au niveaude la carotide »

La victime est décédée « d'un ou deux coups de couteau donnés au niveau de la carotide », précisait hier Fabienne Bonnet, procureure adjointe de la République de Lorient. « Elle est sortie blessée de son appartement, puis s'est écroulée quelques marches plus bas. »

Deux des enfants, âgés de 10 et 16 ans, auraient assisté à la scène. En état de choc, ils ont été hospitalisés.

Leur père, également. Il a été opéré de la cheville. Placé en garde à vue, il devrait être en mesure, aujourd'hui, de répondre aux enquêteurs. « Des indices graves et concordants laissent présumer sa participation » au crime, disent les enquêteurs.

Ce drame a suscité un très vif émoi. La victime n'habitait que depuis deux ans à Kerihouais. Mais elle avait servi dans un restaurant connu d'Hennebont. Son ancien employeur comme ses voisins, émus, décrivent « une femme belle, gentille et agréable ».

Yvan DUVIVIER.

Depuis le 1er janvier, dans l'Ouest, dix femmes sont mortes, victimes des violences infligées par leur mari, leur compagnon ou leur ex. Cinq d'entre elles avaient plus de 68 ans.

Ouest-France

samedi 21 novembre 2009

Kavidha, une femme brûlée vive par son mari

Lui (43 ans), il s'imbibe d'alcool, et puis elle (29 ans), il l'imbibe d'essence pour lui mettre le feu. Pourtant, ils étaient séparés depuis quelques mois, parce que leur mariage ne fonctionnait plus, vivant à Meaux chacun de leur côté.
La victime est hospitalisée dans un service pour grands brûlés, touchée à plus de 70%.

Il faut ajouter que cela arrive alors que la mère revient de l'école avec leur fille de 8 ans.

Les voisins avaient bien souvent alerté la police, car l'homme venait souvent, ivre, voir sa fille et sa femme. Celle-ci ne le laissant pas entrer, il les menaçaient et les injuriaient très violemment.

source : Libération et Le post

lundi 2 novembre 2009

2 novembre 2009 : Drame familial à Garges-lès-Gonesse, où un homme a abattu son épouse avant de retourner l’arme contre lui.

Sylvie C., 41 ans, a été abattue hier par son mari avant que celui-ci ne retourne l’arme contre lui. Le drame s’est noué vers 12 h 30, rue Bellevue, à Garges-lès-Gonesse, dans le secteur des Doucettes.
C’est au fond du jardin, dans ce pavillon familial dissimulé par de hautes grilles que les faits se sont déroulés.
L’alerte aurait été donnée par le second enfant du couple, une fillette âgée de 9 ans. Vraisemblablement présente dans la maison, c’est elle qui a découvert ses parents inanimés. « Elle est sortie de chez elle et a demandé de l’aide dans la rue en disant que son père et sa mère étaient couverts de sang », relatent des voisins.
Lorsque les pompiers arrivent sur place, ils découvrent Sylvie et son mari gravement blessés. Elle a été atteinte par un ou plusieurs coups de fusil de type 22 long rifle. Son conjoint a alors retourné l’arme contre lui, se tirant une balle au niveau du menton. Il a été évacué dans un état critique vers l’hôpital Henri Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Malgré les soins prodigués, Sylvie est décédée sur place. Leur fille ainsi que deux autres femmes, membres de la famille, ont été transportées en état de choc vers le centre hospitalier de Gonesse.

« Ils donnaient l’image d’un couple heureux et amoureux »

L’enquête a débuté dans la foulée pour tenter de comprendre ce qui a pu conduire cet homme à commettre un tel acte.
Le couple vivait à Garges depuis de longues années avec leurs deux enfants. Les voisins, présents à l’heure du drame, n’ont rien entendu. Sylvie était une femme bien connue dans le quartier, vendeuse à la boucherie Baldacchino tenue par sa famille. « Son mari d’origine portugaise travaillait comme mécanicien dans un garage automobile de Garges », raconte un habitant.
Dans le quartier, c’est l’incompréhension. « Ils donnaient l’image d’un couple heureux et amoureux, mais nous ne sommes jamais dans l’intimité des gens. Je n’arrive pas à réaliser ce qui vient de se passer. On se croirait dans un mauvais film. Je pense surtout à leurs enfants », lance une voisine qui côtoyait Sylvie.

Le Parisien

dimanche 1 novembre 2009

1 novembre 2009 : Une femme poignardée par son concubin à Gennevilliers

Une femme d'environ trente-cinq ans a été mortellement poignardée par son concubin, pour une raison inconnue, à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, aujourd'huivers midi.

Les concubins, âgés tous deux d'environ trente-cinq ans, auraient eu un premier différend. La femme serait alors sortie de l'appartement dans lequel ils vivent, puis y serait rentrée, et ressortie en titubant. Elle se serait alors effondrée au pied de l'immeuble.

Les secours ont été appelés par des témoins. La victime a été conduite à l'hôpital Bichat, à Paris, où elle est morte en début d'après-midi. Interpellé sur place, le concubin, hagard, a immédiatement reconnu les faits. Il a été placé en garde à vue. La police judiciaire des Hauts-de-Seine a été saisie de l'enquête.

Le Figaro

vendredi 30 octobre 2009

30 octobre 2009 : Oyonnax : il a tué sa femme avant de se suicider

Ce n'était pas un double meurtre, mais bien un drame conjugal. Et même un drame familial si on songe aux trois enfants du couple que cette tragédie a plongé dans un chagrin insondable.

Vendredi matin c'est l'aîné de la fratrie, un homme âgé de 27 ans, qui avait fait l'abominable découverte dans leur maison du 25 de la rue du Molard Saint-Jean. Sans nouvelles de ses parents en ce début de matinée, il les avait cherchés partout. La chambre était vide. Et c'est finalement dans une sorte de débarras, une pièce attenante au garage, au rez-de-chaussée, qu'il avait vu l'impensable. Claude Monnard, 54 ans, et son épouse Attiliane, 53 ans, gisaient à terre, victimes de plusieurs impacts de balles.

Double meurtre, double suicide, les enquêteurs de la Police judiciaire de Lyon, ne pouvaient rien exclure en arrivant sur place. Même si la thèse d'un suicide du couple paraissait improbable. Aucune lettre, aucun signe annonciateur dans leur comportement des derniers jours, avaient expliqué leurs proches.

« Il faut fermer toutes les portes, n'exclure aucune possibilité » expliquait sur place un policier rompu à ce genre d'enquête.

Le double meurtre devait forcément être envisagé. Mais c'est l'expertise d'un balisticien renommé, Jean Rochefort, qui aura permis d'envisager la troisième possibilité : un meurtre suivi d'un suicide.

La position des corps, celle des blessures, et de l'arme, un révolver plutôt ancien, avaient accrédité cette thèse.

Restait à l'étayer avec l'autopsie des corps qui a été pratiquée hier à l'Institut médico-légal (IML) de Lyon.

Et les médecins légistes l'ont confirmé. C'est Claude Monnard qui a tiré sur son épouse à trois reprises, avant de retourner l'arme contre lui. Sur sa tempe d'abord, sans parvenir à ses fins, puis au thorax, dans la région du cœur.

D'autres analyses sont attendues, toxicologiques, et celle des résidus de tir, pour appuyer ce scénario d'un drame conjugal.

Attiliane Monnard, dont le comportement avait changé ces dernières semaines, aurait eu des problèmes d'ordre strictement privé avec son époux. Jusqu'à cette dispute funeste.

Le progrès

jeudi 29 octobre 2009

29 oct 2009 : Versailles (Yvelines) : «Le sexagénaire poignarde sa compagne (qui se trouve maintenant entre la vie et la mort) avant de se défenestrer

Cette femme de 77 ans était atteinte de la maladie de Parkinson.
Ce matin, vers 9h, son compagnon, un homme de 64 ans, lui a donné deux coups de couteau à la gorge, avant de lui faire boire de l’acide, avec un entonnoir.
Puis le sexagénaire s’est jeté par la fenêtre de son appartement.
Un appartement situé au troisième étage d’un immeuble à Versailles, dans les Yvelines.
L’homme est décédé.La septuagénaire a été transportée dans un état critique à l’hôpital parisien Georges Pompidou, où elle se trouvait en fin d’après-midi entre la vie et la mort, précise Le Figaro.
source : http://www.lepost.fr/article/2009/10/29/1765870_le-sexagenaire-poignarde-sa-compagne-avant-de-se-defenestrer.html

mardi 27 octobre 2009

Roanne : Jeune mère de famille décapitée

26 Octobre 2009

Une jeune femme a été retrouvée décapitée lundi en milieu de journée dans son appartement de Roanne (). Son compagnon, principal suspect, a été interpellé puis hospitalisé.
Alertés par la famille de la victime, sans nouvelle de la jeune femme, les policiers ont forcé la porte de l'appartement en fin de matinée.

Le corps de la victime, âgée d'une vingtaine d'années et mère de plusieurs enfants, était lardé de coups de couteau dans sa chambre.
Son compagnon, âgé d'une vingtaine d'années lui aussi, a été interpellé lundi dans une rue proche de leur domicile. Il a été hospitalisé, son état psychique ayant été jugé incompatible avec un placement en garde à vue.
Sans emploi, le couple n'était pas connu des services de police et occupait un appartement dans un quartier populaire de Roanne. Les enquêteurs ont découvert trois taches de sang en contrebas d'une des fenêtres de l'appartement, situé au troisième étage. Un témoin leur a assuré avoir vu pendant la nuit la de la victime sur la chaussée.
« J'ai entendu crier vers quatre heures du matin puis plus rien », confie un voisin.

27 octobre 2009 : Bourgoin-Jallieu (Isère) : le père mis en examen pour «homicides volontaires»

L’homme interpellé mardi à Bourgoin-Jallieu (Isère) après la découverte dans sa voiture des corps de ses deux enfants, a été mis en examen pour «homicides volontaires», a-t-on appris jeudi auprès du parquet, qui n’a pas retenu la thèse d’un geste prémédité.
Il est en revanche soupçonné de «tentative d’assassinat» sur sa femme, ce qui suppose la préméditation. «Il a déclaré aux enquêteurs avoir eu l’idée de tuer sa femme après avoir étouffé ses deux enfants» au motif qu’»il ne voulait pas partir seul», a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean Philippe, lors d’une conférence de presse.

Après le meurtre de ses deux enfants dans la nuit, l’homme a déposé un rouleau de scotch au pied du lit conjugal, avant de tenter quelques heures plus tard de bâillonner sa femme, revenue de son travail de nuit, et de l’étouffer, a-t-il ajouté.
Ce père de famille de 37 ans, qui a avoué lors de sa garde à vue avoir étouffé ses deux enfants de 7 et 10 ans, n’explique toujours pas son geste.
Au chômage depuis quelques semaines, il souffrait d’une addiction aux jeux d’argent et rencontrait des problèmes de couple, selon le parquet.

source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hddn9p-3M5AbWBUMSTu85EHmSFZw

mercredi 21 octobre 2009

21 oct. 2009, Alès (Gard ) «C’était bien un drame familial»

Les corps sans vie de Jean-Luc Lafuente et de son épouse ont été retrouvés mardi en début de soirée au domicile du mari. L’hypothèse du drame familial qui a frappé le quartier de Rochebelle à Alès, mardi soir, a été confirmée hier. « Les éléments techniques relevés par la police judiciaire et le médecin légiste ne laissent planer aucun doute sur le meurtre de l’épouse, suivi du suicide du mari », indiquait hier le parquet d’Alès. (...) L’épouse avait été atteinte de deux coups de feu à la tête, l’homme étant décédé d’un coup à la tête également. L’arme utilisée : un revolver 22 long rifle.»
source : http://www.midilibre.com/articles/2009/10/21/A-LA-UNE-L-hypothese-du-drame-familial-a-ete-confirmee-967520.php5

mardi 6 octobre 2009

6 oct. 2009, La Martinique : Pascale, battue et blessée par son mari (se trouve actuellement entre la vie et la mort)

... L’agression de Pascale par son mari (qui s’est suicidé depuis), dans un parking souterrain d’une galerie commerciale le 6 octobre, laissant la victime sauvagement battue et blessée par trois balles à bout portant. La jeune femme, actuellement dans le coma, lutte contre la mort au CHU de Fort-de-France.
Avant le drame, Pascale avait porté plainte à sept reprises contre celui qui allait mettre fin à ses jours.
(...) Depuis le début de l’année 2009, 4 femmes ont été assassinées par leur conjoint en Martinique...

source : http://martinique.rfo.fr/infos/actualites/societe-la-martinique-face-a-la-violence-envers-les-femmes_11123.html

lundi 28 septembre 2009

28 sept. 2009 - Cachan (Val de Marne) : il tue sa femme à coups de marteau

Un septuagénaire a tué son épouse à coups de marteau dans la nuit de dimanche à lundi à Cachan (Val-de-Marne) peut-être lors d’une crise de démence. Vers minuit, le retraité, âgé de 73 ans, a appelé la police pour annoncer qu’il avait tué son épouse. En arrivant au domicile du couple, les policiers ont découvert la victime allongée, le crâne fracassé.

Le septuagénaire a indiqué qu’il avait porté plusieurs coups de marteau à son épouse, âgée de 62 ans. Le corps de cette dernière a été transportée à l’Institut médico-légal pour être autopsié.
Placé en garde à vue, le retraité a indiqué avoir entendu des voix pour expliquer son geste, ce qui pourrait laisser supposer une crise de démence. Mais cette hypothèse devra être confirmée par l’enquête, dont les tout premiers éléments ne font pas état de problème dans le couple.

Source : http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/cachan-il-tue-sa-femme-a-coups-de-marteau-28-09-2009-655023.php

vendredi 25 septembre 2009

25 sept. 2009 - La Ciotat (Bouches du Rhône) : une femme tuée de trois balles dans la tête, son ex-mari soupçonné.

La police a placé en garde à vue un homme soupçonné d'avoir tué son ex-femme de trois balles dans la tête vendredi soir à La Ciotat (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris samedi de source policière.

Les faits se sont déroulés chemin de Peymian, dans un quartier résidentiel de la ville, sous les yeux de leur fils de 13 ans. Le suspect, un enseignant de 53 ans, muni d'une arme de gros calibre, s'est ensuite retranché à son domicile (...)

De source proche de l'enquête, on indique que le suspect aurait tiré sur son ex-épouse, alors qu'elle prenait place dans sa voiture. Un différend conjugal lié à la garde des enfants serait à l'origine du drame, précise-t-on de même source. Cinq douilles ont été retrouvées sur le lieu du crime.

L'adolescent a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et hospitalisé en état de choc. Le tireur présumé, inconnu jusque-là des services de police, a été placé en garde à vue dans la nuit. Il devrait être déféré dimanche au parquet de Marseille pour "homicide volontaire". Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20090926.FAP5004/la_ciotat_une_femme_tuee_de_trois_balles_dans_la_tete_s.html

* * * * * * * * * *

Précisions dans le Parisien en ligne :

«Il est sorti tout seul, très abattu, tout à fait conscient de ce qu'il a fait», a déclaré Guy Patzlaff, premier adjoint de la ville. Selon lui, l'homme, enseignant à l'université de Luminy, était dans un état «dépressif».
«Il semble qu'il y ait eu un différend post-conjugal autour des enfants», a confié le procureur, précisant que l'ex-épouse, une scientifique à l'université de Luminy, venait vendredi soir récupérer un de leurs deux enfants." Source : http://www.leparisien.fr/faits-divers/il-tue-son-ex-femme-sous-les-yeux-de-leur-fils-25-09-2009-651952.php

samedi 19 septembre 2009

19 sept 2009 : Asnières (92) "femme poignardée: ami écroué"

Un homme de 61 ans, interpellé samedi pour des coups de couteaux mortels à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) sur une femme de 38 ans avec qui il entretenait une relation, a été mis en examen et écroué hier soir, a-t-on appris de source judiciaire. L’homme de nationalité portugaise a été mis en examen pour «homicide volontaire» par un juge d’instruction et placé en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention (JLD), a précisé cette source.

( source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/09/22/01011-20090922FILWWW00375-asnieresfemme-poignardee-ami-ecroue.php )

vendredi 11 septembre 2009

Un gendarme abat une amie, blesse deux autres personnes et se tue

Un gendarme de 42 ans a tué vendredi sur la commune du Péchereau (), une amie et grièvement blessé les parents de cette dernière avec une arme à feu avant de se donner la .
Laurent , père de deux enfants, était militaire de la gendarmerie, affecté à la brigade motorisée d'Argenton-sur-Creuse. Il n'aurait pas utilisé son arme de service mais une arme personnelle, a-t-on indiqué de source judiciaire.

Un contentieux d'ordre privé est à l'origine du drame. La femme, âgée de 42 ans, grièvement blessée à la tête, a été transportée dans un premier temps à l'hôpital de Châteauroux, puis conduite en hélicoptère à l'hôpital de Tours où elle est morte. Elle avait un enfant de neuf ans. Son père et sa mère, grièvement blessés, seraient hors de danger, selon la même source.
Selon les premiers éléments de l'enquête, M. Gonzales s'est rendu au domicile des parents d'une amie pour clarifier leur situation personnelle. La discussion s'est envenimée. L'homme a, semble-t-il, fait feu avec une arme personnelle sur la femme et ses parents, avant de retourner l'arme contre lui.
Une enquête a été ouverte et confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Bourges (Cher).

vendredi 4 septembre 2009

4 septembre : 25 ans de réclusion en mémoire d'Audrey Vella

Hervé Vincent-Sully a été comdamné à 25 ans de réclusion criminelle, à Meulun, parce que l'Etat n'avait pas jugé bon de protéger Audrey Vella quand elle avait demandé de l'aide.
C'est ainsi que l'on pourrait résumer cette histoire. Le magistrat a dû bien humblement reconnaitre que rien n'avais été fait pour soutenir Mme Vella qui se plaignit à la police de la violence de son ex et du harcèlement dont elle faisait l'objet. Elle avait dû déménager plusieurs fois, le harcèlement ayant duré des années. Le meurtre eut lieu sur son lieu de travail, le 23 mars 2007 au centre commercial de Claye-Souilly.

Source : Le parisien.fr

mercredi 26 août 2009

26 Août : Metz : une femme tuée par balle, son compagnon en garde à vue

Une femme de 45 ans a été tuée par balles, mercredi vers 20h30 à (). Son compagnon a été placé en garde à vue.
Il l'aurait gravement blessée au visage en tirant un coup de à la suite d'une altercation conjugale, indiquent des sources proches du dossier.
«Elle n'est pas morte sur le coup, mais dans l'ambulance qui la transportait à l'hôpital», a précisé Clarisse Taron, procureur adjoint de Metz.

L'homme a été interpellé par la police mardi soir sur les lieux du drame, puis placé en garde à vue.
Une autopsie du corps de la victime aura lieu jeudi soir, a indiqué la procureure.

Leparisien.fr

lundi 24 août 2009

24 Août : La Réunion - La Réunion : le père tue trois de ses enfants

Drame sanglant à . Un homme, séparé depuis plusieurs mois de sa concubine, avec qui il avait eu quatre enfants, a tué trois d'entre eux avant de se donner la .
Dans la nuit de dimanche à lundi à Saint-Joseph, le fonctionnaire retraité des douanes âgé de 55 ans, se rend au domicile de son ex-compagne.

Il la blesse alors grièvement, après avoir tué l'un de ses fils de 17 ans. L'homme regagne ensuite son domicile où il tue successivement ses deux autres enfants âgés de 5 et 6 ans. Il blesse son dernier enfant, un fils de 12 ans, avant de retourner l'arme contre lui.
Les voisins qui ont entendu plusieurs coups de feu et des , ont alors appelé les gendarmes. D'importants moyens ont été déployés pour investir la maison, de crainte que le forcené ait pris ses enfants en otages. Mais dès leur arrivée, l'homme s'était déjà suicidé. Les circonstances précises du drame ne sont pas encore établies, a indiqué le parquet de Saint-Pierre qui doit organiser un point-presse dans la journée. C'est le troisième drame de la séparation qui intervient en quelques semaines dans le sud de l'île. Récemment, un homme s'est immolé avec son bébé dans une voiture à Saint-Philippe. Fin juillet, une jeune femme se faisait poignarder à mort par son concubin qu'elle avait quitté. leparisien.fr

mardi 18 août 2009

18 Août 2009 - Meurtre - Ormoy La Rivière

Un sexagénaire a tué sa femme en lui assénant 37 coups de couteau hier après-midi à Ormoy-la-Rivière (), près d’Etampes. Depuis quinze jours, le couple, originaire de Corbeil-Essonnes, gardait la maison de sa fille, partie en vacances. L’homme n’a encore fait aucune déclaration.

Le Parisien

lundi 17 août 2009

17 Août 2009 - La Courneuve - Meurtre

Une femme de 67 ans a été découverte poignardée, hier après-midi dans son appartement de La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Elle a succombé peu après l’arrivée des policiers et des secours, appelés par son fils, apparemment inquiet qu’elle n’ouvre pas la porte. Les premiers éléments d’enquête ont toutefois conduit les policiers à privilégier la piste d’un drame familial et à interpeller cet homme d’une quarantaine d’années, qui est depuis en garde à vue à la PJ départementale.

Le Parisien

vendredi 14 août 2009

14 Août - Saint-Etienne - Econduit, il découpe sa compagne en morceaux

Le drame s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi au domicile d'un homme, qui fêtait son 25ème anniversaire au cours d'une soirée bien arrosée en compagnie de la victime. La jeune femme, toxicomane, aurait alors refusé les avances sexuelles de son petit ami, qui se serait montré très violent en apprenant qu'elle était atteinte du sida, selon le parquet de Saint-Etienne. Il l'aurait frappée violemment puis l'aurait étranglée, avant de découper son corps en morceaux avec une scie à métaux, qui n'a pas été retrouvée, et de répartir les morceaux enveloppés dans des sacs plastique dans des poubelles de son quartier. Le jeune homme, qui s'était confié à des proches, avait été interpellé quelques heures plus tôt et placé en garde à vue au commissariat central de Saint-Etienne.
"Pété un câble"Selon une source proche de l'enquête, le meurtrier présumé a déclaré aux enquêteurs avoir "pété un câble lorsque son amie lui a révélé avoir le sida". Il leur a également expliqué avoir découpé le corps pour le "transporter et dissimuler le cadavre plus facilement". Les enquêteurs ont toutefois pu reconstituer l'intégralité du corps de la victime, dont l'autopsie aura lieu mardi.
Selon un voisin du meurtrier présumé, interrogé par un photographe de l'AFP, le jeune homme, apparemment sans emploi était "un brave gars, qui avait l'habitude de ramener n'importe qui chez lui". Ce voisin a par ailleurs assuré n'avoir entendu aucun bruit le soir du drame.
Le meurtrier présumé, sans antécédent judiciaire, doit être présenté mardi au parquet de Saint-Etienne, qui devrait ouvrir une information judiciaire pour homicide volontaire, a déclaré le procureur de la République, Jacques Pin.
(D'après agence)

dimanche 9 août 2009

9 août 2009 - Ottrott (Bas Rhin) "Il tue sa soeur devant leur mère"

Dimanche soir, vers 20h, Sylvain Neret, de Molsheim, a tué sa soeur Brigitte Kayser au domicile de leur mère, au 91 rue Principale. Dans le village, c’est la stupeur. La famille était bien connue.
Dimanche soir, les gendarmes, sirènes hurlantes, ont déboulé à toute allure au centre d’Ottrott avec au moins quatre véhicules en provenance d’Obernai. Sylvain Neret venait de les appeler pour leur dire qu’il avait tué sa soeur à coups de couteau au domicile de leur mère. Elle avait repris l’entreprise de travaux publics Trois véhicules sont repartis avec le mis en cause aux alentours de 22h, direction la gendarmerie d’Obernai, où a débuté la garde à vue. Les sections de recherche sont restés ...(source http://www.dna.fr/une/2562377.html )

lundi 3 août 2009

3 Août - La Réunion - il tue son bébé

Les corps carbonisés d’un Hollandais de 47 ans et de son bébé âgé de 7 mois ont été découverts hier dans une voiture sur l’île de où les enquêteurs privilégient la thèse du drame familial. L’homme vivait séparé de sa compagne réunionnaise qu’il avait rencontrée à avant de venir s’installer dans l’île.

Celle-ci a déclaré aux enquêteurs qu’il la battait et avait menacé à plusieurs reprises de se suicider avec leur enfant. Il avait obtenu la garde de la petite fille pour le week-end et devait la ramener dimanche soir chez sa mère. Sans nouvelles de l’enfant et craignant le pire, elle a alerté dimanche la police de Saint-Denis et sollicité l’aide des médias. La mère se trouvait dans les locaux d’une télévision locale lorsqu’elle a appris la de son enfant. Les circonstances du drame seront éclairées par les résultats de l’autopsie prévue aujourd’hui.
Le Parisien

mardi 28 juillet 2009

28 juillet : pour une carte bancaire !

Un homme de 22 ans, soupçonné d'avoir tué sa grand-mère à l'arme blanche pour lui voler sa carte bancaire, a été mis en examen et écroué dimanche. La victime, âgée de 74 ans, est morte le 20 juillet à son domicile de Port-de-Bouc, dans les Bouches-du-Rhône. Le meurtrier présumé a été mis en examen pour "homicide volontaire par ascendant", a indiqué mardi le parquet d'Aix-en-Provence. Lors de son audition, le suspect aurait reconnu avoir utilisé la carte bancaire de sa grand-mère après son décès, mais a nié l'homicide, sans fournir d'autres pistes aux enquêteurs. Selon le quotidien La Provence, des faits de torture auraient été commis. Des informations non confirmés par le parquet.

lundi 27 juillet 2009

27 Juillet : il la trouvait trop belle !

Un jeune homme aux antécédents psychiatriques a été placé en garde à vue après le décès dimanche à Saint-Etienne d'une femme de 20 ans, poignardée en pleine rue devant le domicile familial, ont indiqué lundi des sources judiciaire et policière. La jeune femme est décédée dimanche après-midi des suites d'un coup de couteau porté à l'abdomen.
Âgé également de 20 ans, son meurtrier présumé a été identifié par des témoins comme étant un de ses voisins et a été interpellé un peu plus tard dans le centre de Saint-Etienne. Déjà connu de la Justice, le jeune homme sera présenté mardi au parquet qui envisage l'ouverture d'une information judiciaire pour "assassinat", a précisé une source judiciaire sans plus de précisions.
Selon une expertise psychiatrique remise lundi au parquet, la responsabilité du suspect, qui a des antécédents psychiatriques, serait "légèrement altérée". "Le mois dernier, il avait agressé ma soeur sans raison en lui tirant les cheveux et en lui donnant des coups de poing", a affirmé à l'AFP la soeur aînée de la victime, en qualifiant le suspect de "psychopathe en liberté". "C'est injuste de laisser des fous pareils dans la rue", a ajouté pour sa part la mère de la défunte, qui rentrait au domicile familial quand elle a été frappée. La victime revenait du restaurant où elle était employée lorsque l'homme lui a porté un coup mortel avec un couteau de cuisine doté d'une "grande lame", avait précisé une source policière.

Le discernement du jeune homme au moment des faits a été jugé "légèrement altéré", lors d'une expertise médicale pratiquée dimanche soir. Ludovic, qui avait apparemment effectué un séjour au service psychiatrique du CHU de Saint-Etienne, dans le cadre d'une condamnation pénale, avait déjà agressé physiquement la jeune femme dans la rue le mois dernier.
D'après un membre de la famille de la victime, il lui avait, sans raison, tiré les cheveux et donné un coup de pied. Un jeune du quartier, qui a ramassé le corps ensanglanté de la victime, dimanche après-midi, a rapporté que l'agresseur lui aurait un jour confié : "moi, j'ai 'la rage', cette fille, elle est trop belle". Un frère de la victime a pour sa part déclaré mardi à l'AFP avoir effectué un dépôt de plainte contre X et contre le médecin en charge du suivi psychiatrique de l'agresseur.

dimanche 26 juillet 2009

26 juillet : à coups de barre à mine

C'est un drame horrible qui s'est joué hier, dans le sud du département.
Dans le petit village de Caseneuve, plus exactement, dans une maison isolée, à l'entrée du village, sur la route d'Apt.
Un drame dont a été victime une femme âgée d'une soixantaine d'années.
Ce fait divers sordide a eu lieu dans le courant de l'après-midi, dans des circonstances encore indéterminées.
"Des coups assénés par le compagnon de la victime"
Selon les premiers témoignages, recueillis sur place la malheureuse serait décédée après avoir reçu un ou plusieurs coups de barre à mine.
Des coups assénés par son compagnon, sensiblement du même âge.
L'alerte donnée, enquêteurs et sauveteurs se sont aussitôt rendus sur place.
Malheureusement, il n'a pas été possible de sauver la victime.
Tandis que les sapeurs-pompiers ne pouvaient empêcher cette issue fatale, les gendarmes de la Compagnie d'Apt procédaient aux premières constatations et aux auditions nécessaires à leurs investigations.
La police scientifique sur place
Les techniciens de police scientifique, dans la soirée, effectuaient
encore des prélèvements.
Une recherche d'indices qui devrait sans doute permettre aux militaires d'avancer dans leurs recherches et déclencher une enquête pour connaître les circonstances du décès.
Cette mort tragique a bouleversé les habitants de Caseneuve, où le couple était installé. (http://www.ledauphine.com/caseneuve-une-femme-tuee-a-coups-de-barre-a-mine-@/index.jspz?chaine=85&article=167223)

samedi 25 juillet 2009

25 juillet : CHIMILIN (NORD-ISÈRE) Il tue son ex-compagne et se donne la mort

Une jolie maison dauphinoise avec un toit à quatre pans et des tuiles écailles. Un jardin joliment arrangé, très fleuri et soigné. Un cadre enchanteur, situé au hameau des Ternes, sur les hauteurs de Chimilin, dans lequel la vie a pourtant basculé hier matin, en une fraction de seconde.

C'est en effet au 1 620 route des Ternes que s'est déroulé le drame : en début de matinée, Jean-Paul Cochard blesse mortellement Suzanne Fouillet à l'arme blanche, avant de retourner le couteau contre lui et de se donner la mort.

Les secours, rapidement dépêchés sur place, constatent la situation et donnent les premiers soins d'urgence à Suzanne Fouillet, qui est encore en vie à leur arrivée. Un hélicoptère est également appelé sur les lieux, afin d'accélérer son évacuation. Malheureusement et malgré tous les efforts de l'équipe soignante, Suzanne Fouillet décède avant son transfert vers l'hôpital, ayant subi de trop importantes pertes sanguines.

Des gens simples, gentils et sans histoires

Dans la matinée, l'enquête commence pour la brigade des recherches de La Tour-du-Pin, la brigade de gendarmerie de Pont-de-Beauvoisin et les techniciens en identification criminelle de Grenoble. Elle se poursuivra une partie de la journée, avec la présence sur place de Madame Cuny, substitut du procureur de la République de Bourgoin-Jallieu. Dans le village où Suzanne Fouillet a passé toute sa vie, c'est la consternation. Suzanne Fouillet (78 ans) et Jean-Paul Cochard (64 ans) sont unanimement décrits comme des gens simples, gentils et sans histoires. "Nous sommes vraiment surpris et choqués par ces événements", commente Robert Arbaretaz, maire de Chimilin. "Au mois de mai, ils participaient encore à la fête des anciens du village. C'est incompréhensible."

Suzanne et Jean-Paul vivaient ensemble depuis quelques années, ayant été mariés chacun de leur côté auparavant. Parmi les habitants de Chimilin, leur histoire est qualifiée de "normale, sans remous apparents". Pourtant, Jean-Paul quitte Suzanne il y a quelques mois, pour une autre femme. "La différence d'âge avait fini par lui peser", commente un proche de Jean-Paul Cochard. Avant de préciser : "Son geste est inexplicable. Je savais qu'il devait passer voir Suzanne pour récupérer ses affaires, car il m'avait dit qu'elle aurait refusé de les lui rendre la semaine dernière. Ça s'est peut-être mal passé et ça aurait dégénéré." Qui sait ?

Il est en effet trop tôt pour conclure à un mobile ou déterminer le déroulement précis des faits. Les forces de l'ordre et le parquet ne font d'ailleurs aucun commentaire pour le moment, l'enquête étant en cours et au stade "d'hypothèses". Ce qui est sûr, c'est que ce coup de folie laisse la fille de Suzanne Fouillet et les deux enfants de Jean-Paul Cochard dans le deuil. Et une famille, des voisins, un village sous le choc.


Le Dauphiné libéré

jeudi 23 juillet 2009

23 juillet 2009 - Font Romeu (Pyrénées) : il tue son épouse de plusieurs coups de couteau

Font-Romeu. Jean Dutrey a tué son épouse Véronique dans le studio qu'ils louaient. Cet habitant de Lafox, sans histoires, n'a pas donné d'explication à son geste fou.

«Je viens de faire une bêtise. J'ai assassiné ta mère. Je pars avec les gendarmes. » C'est par ces mots que Jean Dutrey aurait annoncé, hier, à sa fille aînée, Marion, 17 ans, en vacances avec des jeunes de sa commune au Vieux-Boucau (40), qu'il venait de tuer son épouse Véronique. Le couple qui vivait à Lafox, au lotissement Séounes, juste en face de l'école, était depuis samedi dernier en vacances à Font-Romeu, à la résidence «les Fontanilles ».

Après un séjour d'une semaine en compagnie de leur plus jeune fille, Laura, 10 ans, les époux Dutrey devaient rentrer chez eux ce samedi. Mais hier matin, vers 9 h 30, Laura quitte brusquement l'appartement pour frapper à la porte des voisins : « Mes parents se disputent. » Lorsque le voisin arrive dans le studio, Véronique Dutrey, 44 ans depuis le 6 juin, gît, inanimée, tuée de plusieurs coups de couteaux portés par Jean, 45 ans.

(...) C'étaient des gens discrets, ils donnaient l'image d'un couple heureux qui s'entendait bien. La semaine dernière encore je les ai croisés, ils partaient se promener au bord du canal. » Jean Dutrey, connu et apprécié dans sa commune est qualifié d'affable et gentil. « Ils participaient aux manifestations organisées par la commune, n'ont jamais fait parler d'eux, jamais eu de problèmes de voisinage. Personne ne comprend », poursuit Christine Bonfanti-Dossat. évoquant Véronique Dutrey, infirmière à la clinique Saint-Hilaire à Agen, le maire de Lafox dit avoir l'image d'une « femme délicieuse » : « Elle avait toujours le sourire. » (...)

Interpellé hier matin par les gendarmes, Jean Dutrey a été placé en garde à vue à la gendarmerie où il était toujours hier soir. Il aurait reconnu sans difficulté les faits qui lui sont reprochés, sans toutefois donner d'explication à son geste. Une expertise psychiatrique aurait été demandée. (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/24/643856-Il-la-tue-de-plusieurs-coups-de-couteau.html)

dimanche 19 juillet 2009

19 Juillet : Asassinat d'une jeune femme

Le corps d’une jeune femme de 32 ans , disparue depuis le début du mois de son domicile des environs de , a été retrouvé enterré dans un champ, près de Courbesseaux (Meurthe-et-). La victime aurait été assassinée par un de ses amis. Cet homme de 32 ans a avoué, mais le mobile reste inconnu. Une information judiciaire a été ouverte hier.

Le Parisien

vendredi 17 juillet 2009

16 Juillet - Perrine martyrisée

Le rapport d’autopsie confine à l’horreur. Perrine Wolff, 32 ans, dont le corps a été retrouvé dans un champ entre Lunéville et (Meurthe-et-) le 18 juillet sur les indications de son compagnon, a été martyrisée avant d’être assassinée. C’est ce qui ressort du rapport d’autopsie, dont Me François Robinet, l’avocat de la famille, partie civile, a rendu publics quelques passages hier.

Il fait état de « fractures et d’arrachages de plusieurs dents avec une pince multiprise ». Avant d’enterrer la victime, le a « répandu de l’essence sur le corps de Perrine, allumé le feu, qu’il a éteint aussitôt », a indiqué l’avocat. « Le médecin légiste a en outre relevé des ecchymoses ante mortem sur la partie fronto-temporale gauche de son visage », a poursuivi le conseil de la famille. La jeune femme avait disparu depuis le 3 juillet de son domicile d’Essey-lès-Nancy. Son corps a été retrouvé quinze jours plus tard à Courbesseaux, où réside son compagnon, Emmanuel Burtin. Il voulait la tuerInterpellé le 16 juillet à la suite d’un témoignage, ce pompier professionnel de 36 ans a avoué lors de sa garde à vue avoir étranglé sa compagne et révélé l’endroit où il l’avait cachée. Mis en examen pour assassinat et placé en détention provisoire, Emmanuel Burtin a motivé son geste par le fait qu’il voulait mettre un terme à sa relation avec Perrine qui, selon lui, « le harcelait ». Il aurait contacté deux personnes pour leur demander d’assassiner Perrine, mais elles auraient renoncé. Le témoin, qui a permis d’interpeller le meurtrier présumé, a affirmé à la police avoir surpris quelques jours plus tôt une conversation entre deux hommes projetant d’assassiner une jeune femme. L’avocat d’Emmanuel Burtin conteste cette version.


Le Parisien

Pas-de-Calais: il tue son épouse devant leur fille de 4 ans et tente de se suicider

Un homme d'une quarantaine d'années a abattu sa femme d'un coup de fusil de chasse devant leur fillette de 4 ans jeudi à Beaurainville, dans le Pas-de-Calais, sur un parking, avant de retourner l'arme contre lui.


L'homme, gravement atteint à la mâchoire, a été hospitalisé au CHU de Lille, a indiqué le procureur de Boulogne-sur-mer, Jean-Philippe Joubert. Une enquête a été confiée à la gendarmerie.

Les premiers éléments recueillis laissent penser à un drame passionnel. Le couple était en instance de divorce et la victime, qui travaillait comme ambulancière, avait quitté récemment le domicile familial. Son conjoint, cariste, l'attendait jeudi vers 17H30 sur le parking du médecin de Beaurainville, où la femme se rendait avec sa fille pour une consultation. Après l'avoir tuée d'un coup de feu, il a aussitôt retourné l'arme
contre lui.

Le drame est survenu devant des témoins qui ont été entendus par les gendarmes. Les deux filles du couple ont été prises en charge par la famille.

Source : Nord eclair


jeudi 16 juillet 2009

16 juillet : drame possessionnel

Hier, une femme a trouvé la mort à Beaurainville, sur le parking du médecin qu'elle allait consulter. Son conjoint qui l'attendait l'a abattue d'une décharge de fusil de chasse. L'homme a ensuite retourné l'arme contre lui. Hier, son état était jugé très grave.
Après avoir vécu vingt-cinq ans ensemble, Natacha Holville, 44 ans, et Thierry Dhalleine, 43 ans, venait de se séparer il y a quinze jours. Elle avait quitté le domicile familial de Maresquel et venait de s'installer à Beaurainville, une commune toute proche.
OAS_AD('Position1');

Deux coups de feu
Hier, vers 17 h 30, Natacha Holville, accompagnée de sa petite fille, gare sa voiture sur le parking de son médecin à Beaurainville. Son conjoint est là, qui l'attend. Le drame se joue en quelques secondes. Thierry Dhalleine braque son fusil de chasse sur son ex-compagne et tire. Puis, aussitôt, il retourne l'arme contre lui.
Le médecin et les premiers témoins, alertés par les deux coups de feu arrivent sur les lieux. Ils s'aperçoivent vite qu'ils ne peuvent plus rien faire pour la femme, tuée sur le coup. Thierry Dhalleine, lui, est gravement blessé. Les voisins prennent aussitôt soin de la fillette de quatre ans qui a assisté à la scène et qui est sous le choc. Thierry Dhalleine a d'abord été longuement soigné sur place avant d'être évacué par un hélicoptère du SAMU au CHU de Lille.
Natacha Holville travaillait comme ambulancière aux ambulances du Val-de-Canche à Beaurainville. Lui est cariste à Valéo Étaples. Le couple avait deux enfants qui ont été pris en charge par la famille. La gendarmerie, chargée de l'enquête, doit maintenant tenter de cerner les circonstances de ce qui apparaît être un drame passionnel.

vendredi 10 juillet 2009

10 juillet : il tue sa femme et se suicide

Un septuagénaire atteint d'un cancer avancé a tué sa femme vendredi avant de se suicider à Cournon d'Auvergne (Puy-de-Dôme), dans la banlieue de Clermont-Ferrand.
L'homme, âgé de 74 ans et atteint d'un «cancer très avancé», a tué sa femme, âgée de 79 ans, avec une arme de poing, avant de retourner l'arme contre lui.

Leur fille, qui les avait vus jeudi soir pour la dernière fois, les a découverts inanimés vendredi à midi et a alerté les secours.
Les premiers éléments de l'enquête laissent supposer que cette action était concertée entre les époux. Le parquet de Clermont-Ferrand a précisé qu'un écrit de la femme avait été retrouvé sur place.
Son mari devait être hospitalisé pour un cancer métastasé, a-t-il ajouté.
L'enquête a été confiée à la brigade de la sûreté urbaine de Cournon et à la sûreté départementale et une autopsie doit être pratiquée. (http://www.leparisien.fr/faits-divers/malade-il-tue-sa-femme-et-se-suicide-10-07-2009-576562.php)

dimanche 5 juillet 2009

5 juillet 2009 - Montaut (Pyrénées-Atlantiques) "Il abat sa femme et se suicide"

Drame conjugal à Montaut sur fond de séparation.

... C’est à l’extérieur du village, sur la route de Gaudiès, que les faits se sont déroulés, au lieu dit Carrière, une maison située en bord de route, entourée d’arbres et de prairies, une vieille ferme restaurée. C’était là que vivaient et qu’ont vécu Robert Oliveras et son épouse Voahanguy, dans ce village de Montaut où ils s’étaient mariés, mais où ils étaient particulièrement discrets et peu impliqués dans la vie de la commune. Et c’est là que s’est déroulé le drame.
Il est difficile pour l’heure de cerner toutes les raisons de ce malheureux dénouement d’une vie conjugale, mais il semblerait que le crime passionnel lié à un déchirement du couple, en soit à l’origine.

Dimanche, entre 20 et 21 heures, l’homme et la femme ont une nouvelle altercation, certainement au sujet d’une prochaine et définitive séparation, venant mettre un terme à de long mois de hauts et de bas entre les deux membres du couple.

C’est là que Robert Oliveras, 58 ans, a abattu son épouse, âgée de 45 ans, d’un coup de fusil de chasse. Et a retourné l’arme contre lui. (...)

Concernant la scène du drame, les faits se sont passés à l’extérieur de la maison. Le corps de l’épouse a été découvert dans la voiture, où elle a de toute évidence été abattue, sur son siège, d’un coup de fusil tiré à travers le pare-brise. Le corps de son mari a été trouvé gisant à proximité du véhicule.(...)

Robert Oliveras venait de prendre sa retraite depuis quelques mois, après de longues années passées au sein du Foyer intergénération de Loumet à Pamiers, où il avait exercé les fonctions de chef du service enfance. Son épouse, Voahanguy, était employée comme assistante sociale au sein de l’ADAPEI à Saint-Jean-du-Falga... (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/07/635665-Montaut-Il-abat-sa-femme-et-se-suicide.html#xtor=EPR-1 )

5 juillet : Montpellier (Hérault) : Un policier maquille la mort de sa femme

Un policier du commissariat de Montpellier a avoué avoir maquillé en mort accidentelle le décès de sa femme, elle aussi policière, dont le cadavre avait été retrouvé calciné dans sa voiture dimanche soir, selon une source proche de l’enquête. (...)

Le corps de son épouse avait été retrouvé, carbonisé, à l’intérieur d’une voiture dans laquelle le couple circulait, sur l’autoroute A75. Selon les premières déclarations du mari, la voiture aurait eu une panne et aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule.

Mais une première autopsie du corps a montré que la femme était décédée avant l’incendie, suite à l’absorption de produits médicamenteux, avait révélé le quotidien Midi Libre. Confronté aux résultats de cette autopsie, le policier a par la suite assuré que sa femme s’était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu’il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle.

Ce sont ces déclarations contradictoires qui ont motivé la prolongation de la garde à vue du policier, prononcée hier soir. Selon cette autre source, une autre zone d’ombre subsiste avec une trace de coup à la tête. Une seconde autopsie a été pratiquée...

source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/09/01011-20090709FILWWW00367-un-policier-maquille-la-mort-de-sa-femme.php

* * *
[complément d'info]

"Policière carbonisée : le mari en prison pour assassinat" :

Egalement policier, il voulait percevoir la prime d'assurance-vie. Il entretenait une liaison extra-conjugale avec une policière.

Un brigadier-chef âgé de 37 ans, Jacques P. en poste au commissariat central de Montpellier est placé en garde à vue mardi 7 juillet à 22h45 à l'hôtel de police de Sète dans l'enquête sur la mort suspecte de sa femme, brigadier au commissariat de Lattes. À l'issue de sa garde à vue, jeudi 9 juillet à 19h, il est mis en examen pour assassinat (meurtre avec préméditation), par un juge d'instruction. (...)

Suicide écarté

Durant sa garde à vue, mercredi 8 juillet, le policier avoue finalement avoir volontairement incendié la voiture avec le corps de sa femme à l'intérieur. Il a utilisé un liquide pour allumer des barbecues. Dans un premier temps, il a expliqué qu'elle s'était suicidée par pendaison, au terme d'une énième dispute conjugale dimanche soir, dans le pavillon du couple à Saint-Pargoire, alors que les deux enfants âgés de 7 et 8 ans étaient présents. Cette version est totalement exclue par les preuves scientifiques attestant que la victime a ingurgité à son insu une douzaine de puissants cachets de somnolence. Le mari reconnaît être à l'origine de ce geste, en révélant que la dispute dominicale portait sur la liaison extra-conjugale qu'il entretient depuis un an et demi avec une policière qui fait partie de son groupe au commissariat central. Il reconnaît avoir maquillé l'assassinat en accident, afin de percevoir la coquette prime d'assurance-vie, qui n'est pas versée en cas de décès volontaire et de crime.

Source : http://www.lagazettedemontpellier.fr/actualite/Policiere-carbonisee-:-le-mari-mis-en-examen-pour-assassinat-735.html

* * *
[complément d'info sur l'identité du mari - également niveau de texte avec meurtre qualifié de "rocambolesque" dans le titre ("Un policier avoue le meurtre rocambolesque de sa femme") et l'article du journal le Figaro]

C'est un crime pour le moins rocambolesque que Jacques Prevosto, un brigadier-chef de l'unité de nuit du commissariat de Montpellier, est accusé d'avoir commis sur son épouse, également policière dans l'Hérault.
source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/10/01016-20090710ARTFIG00388-un-policier-avoue-le-meurtre-rocambolesque-de-sa-femme-.php

samedi 4 juillet 2009

Nuit du 4 au 5 juillet 2009 - Bellegarde (Gard). Il a tué sa femme d'une balle dans la tête

Jacques Jannet a tué son épouse, Florence, qui était aussi la mère de leurs deux garçons. Cette réalité atroce bouleverse le petit village de Bellegarde où le drame s'est produit, dans la nuit de samedi à dimanche. L'auteur présumé du meurtre a été déféré au parquet d'Albi hier après-midi avant d'être transféré sur le pôle de l'instruction criminelle de Toulouse où il a été mis en examen pour « meurtre par conjoint ». (...)

« Le mari de la victime, après s'être disputé verbalement avec son épouse, s'est emparé d'une carabine 22 long rifle. Il aurait, semble-t-il, menacé de se suicider. Mais il a ensuite tiré un seul coup, à très faible distance, en direction de son épouse. » Florence Jannet, 43 ans, atteinte d'une balle en pleine tête, « est décédée immédiatement », précise le procureur. Le fils cadet du couple, âgé de 12 ans et demi, était présent dans la maison à ce moment-là. « L'enfant n'a pas assisté directement aux faits » mais c'est lui qui a retiré l'arme des mains de son père. Celui-ci n'a opposé aucune résistance aux gendarmes d'Albi venus l'interpeller. Ils l'ont trouvé prostré, aux abords de la maison. Le dépistage d'alcoolémie s'est révélé positif mais le taux relevé (0,50 milligramme par litre d'air expiré) ne suffit pas à affirmer que son discernement aurait pu être altéré.

Sur les raisons de son geste, Jacques Jannet aurait donné « des explications confuses » desquelles il ressortirait néanmoins « des velléités de suicide » et « des difficultés relationnelles avec son épouse ».

Ce couple discret, apprécié au village, n'avait jamais fait parler de lui jusqu'ici. (source : http://www.ladepeche.fr/article/2009/07/07/635345-Il-a-tue-sa-femme-d-une-balle-dans-la-tete.html)


mercredi 1 juillet 2009

1er juillet : Femme brûlée à Lyon (Rhône) : le frère soupçonné

Un jeune homme de 17 ans, soupçonné d’avoir tué sa soeur pour des raisons «d’ordre familial», avant de brûler son corps dans la cave d’une cité d’Oullins, dans la banlieue de Lyon, a été mis en examen jeudi pour «homicide volontaire», a-t-on appris de source judiciaire.

Le parquet de Lyon a requis le mandat de dépôt à l’encontre du jeune Mohammed, interpellé en début de semaine parce qu’il présentait lui-même de «sérieuses brûlures» aux jambes, pour lesquelles il avait des «explications farfelues», selon la même source. «Le mobile est pour l’instant assez obscur, mais il s’agit d’une famille avec des valeurs religieuses», a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête.

Selon cette source, le jeune Mohammed, décrit comme un garçon «violent» et «religieux», n’aurait «pas accepté le mode de vie de sa soeur aînée». Le corps calciné de la jeune femme de 22 ans d’origine maghrébine, avait été découvert le 1er juillet par des pompiers qui intervenaient sur un incendie volontaire dans une cave d’une cité d’Oullins.

La tête de la victime était recouverte d’un sac en plastique et un tuyau d’arrosage était enroulé autour de son corps, accréditant la thèse d’un homicide.

L’autopsie du corps avait notamment révélé que la victime avait eu un récent rapport sexuel avec son petit ami, selon la même source. Entendu par les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon, ce dernier avait toutefois été écarté de tout soupçon.

source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/09/01011-20090709FILWWW00313-lyon-femme-bruleeson-frere-soupconne.php

lundi 29 juin 2009

29 juin : Corps d'une femme dans une valise : mari incarcéré

Un corps retouvé dans une valise

Une valise contenant le corps d'une femme adulte a été retrouvée lundi flottant dans une écluse du canal de l'Escaut à Trith-Saint-Léger, près de Valenciennes (Nord). «Il s'agit d'une femme, pas d'un enfant», a précisé une source judiciaire.
La valise, ouverte, flottait dans l'écluse de Folien sur une portion canalisée de l'Escaut.
Les pompiers, arrivés sur place peu après 14 heures, s'apprêtaient à remonter la valise à l'aide d'une grue. La police a établi un périmètre de sécurité pour repousser les badauds.
Valenciennes. La police judiciaire était depuis quelques jours sur la piste d'une femme disparue en Belgique dans le courant du mois. Deux personnes - dont son mari d'origine pakistanaise - sont incarcérées en Belgique à la suite de cette disparition. (Source AFP)


http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-corps-retouve-dans-une-valise-29-06-2009-564066.php

mardi 23 juin 2009

23 juin 2009 . Hauts de Seine une femme mortellement poignardée en pleine rue

Ce mardi matin, vers 9h30, une femme âgée de 48 ans a été tuée, en pleine rue à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, selon Le Parisien.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime aurait été mortellement frappée de trois coups de couteau, à la gorge, au menton et à la poitrine.

Le concubin de la victime a été interpellé par deux motards de la direction départementale de la sécurité publique des Hauts-de-Seine, qui effectuaient des contrôles à proximité du lieu du drame, précise Le Parisien.

Le décès a été constaté peu avant 9h30. Le drame s'est déroulé devant une école maternelle, dans le quartier des Grésillons. La victime, qui n'habitait pas Gennevilliers, était «venue à la rencontre d'une amie».
L'homme, âgé de 53 ans et «défavorablement connu des services de police», selon une source policière, a été placé en garde à vue. D'après les premiers éléments de l'enquête, une rupture pourrait être à l'origine de l'agression.
La mairie a indiqué avoir mis en place une cellule de veille psychologique, avec l'Education nationale, afin d'aider» d'éventuels témoins sous le choc, notamment les parents, enseignants et personnel de l'école.

Source Le Parisien

* * *

Complément d'information (identité, action) :

Marche contre les violences faites aux femmes en hommage à Marylène

Mardi 23 juin 2009, Marylène a été mortellement poignardée par son ex-conjoint devant une mini crèche, une halte garderie, une école maternelle et l’association L’Escale à Gennevilliers.
Les associations L’Escale, Plein Grés, Femmes relais, Femmes Solidaires, Elles Ouvrent La Porte, engagées aux côtés des femmes appellent à une marche silencieuse le 1er juillet 2009 à 18 heures. Le parcours partira du parvis de la mairie de Gennevilliers en direction du lieu du drame.
En 2008 en France, 156 femmes soit 1 tous les 2,5 jours, ont été tuées par leur compagnon ou ex-compagnon. Sans une mobilisation de tous et toutes, ces violences à l’encontre des femmes ne cesseront pas.
Les associations comptent sur la présence de tous et toutes pour rendre hommage à Marylène et dénoncer les violences conjugales.

vendredi 12 juin 2009

12 juin 2009 : un petit-fils (27 ans) tue sa grand-mère, Renée Masclef (85 ans), parce que cette

Scène d'horreur hier matin, dans un pavillon de Couffouleux, près de Rabastens dans le Tarn. Le corps sans vie d'une femme a été découvert à son domicile de la rue de Paradis. Renée Masclef, 85 ans, y vivait seule depuis le décès de son mari. Seule mais pas isolée, car dans ce quartier tranquille, tous les voisins la connaissaient. L'une de ses voisines discutait encore avec elle vendredi soir, vers 21 h 30.C'est la dernière fois qu'on a vu Renée Masclef vivante.
L'un de ses deux fils, domicilié dans le village voisin deTécou, avait l'habitude de passer deux fois par jour pour ouvrir et fermer les volets, car sa mère avait du mal à se déplacer.
C'est lui qui a découvert son corps, peu avant 8 h 30. La maison avait été entièrement fouillée.....
Hier soir, lors d'une conférence de presse organisée à la brigade de Rabastens, la substitut du procureur de la République d'Albi, Sylvie Parisot, a donné les premiers éléments sur cette enquête. « La mort est d'origine violente. Il n'y a pas eu d'utilisation d'arme à feu ni d'arme blanche mais il y a eu des violences. »
La magistrate n'a pas souhaité apporter des précisions, mais on peut supposer que la retraitée a succombé à plusieurs coups. Renée Masclef aurait subi un déchaînement de violence inouï. « Là, on a vraiment touché le fond », confiait un enquêteur, encore sous le choc.... Le ou les meurtriers sont entrés par la porte de derrière, côté jardin. Renée Masclef connaissait peut-être celui qui s'est introduit chez elle, en fin de soirée ou en début de nuit.

15 juin : Le meurtrier est le petit fils

Oui, il s'était rendu vendredi soir au domicile de sa grand-mère, pour lui réclamer de l'argent. Une habitude que le jeune homme, sans profession, avait prise semble-t-il. Généreuse, l'octogénaire avait accédé à ses demandes les fois précédentes… mais pas vendredi soir. Devant ce refus, le petit-fils aurait perdu les pédales. Le drame se serait produit entre 21 h 30 et 22 h 30. 21 h 30, c'est l'heure à laquelle Renée Masclef a été vue vivante pour la dernière fois par sa voisine et amie. Après avoir commis l'irréparable, et avoir pris une somme d'argent, le jeune homme a raconté qu'il avait roulé vers la Haute-Garonne. Il dit avoir stationné sa Seat un instant sur le pont suspendu de Saint-Sulpice pour jeter un sac dans l'Agout. « Ce sac pourrait contenir des effets personnels qu'il portait au moment des faits », indiquait hier la substitut du procureur de la République d'Albi, Sylvie Parisot. Avisée dimanche soir, la brigade subaquatique d'Arcachon a envoyé trois de ses plongeurs hier, à Saint-Sulpice.
Source : LA DEPÊCHE.FR (16 juin 2009).

jeudi 11 juin 2009

11 juin 2009 Elle avait 21 ans

A Gisors, dans l'Eure, une femme de 21 ans a été retrouvée étranglée dans la baignoire de son appartement. Le drame a été découvert jeudi, en fin d'après-midi, par le compagnon de la victime, mais n'a été révélé que lundi par une source proche de l'enquête.
La jeune femme était coiffeuse à Chaumont-en-Vexin, dans l'Oise, à quelques kilomètres de Gisors. Les premiers résultats de l'autopsie ont montré qu'elle avait été étranglée. Son corps portait également des traces de coups aux jambes. D'autres examens doivent être pratiqués, pour déterminer notamment si la jeune femme a été victime de violences sexuelles avant d'être tuée. Elle a été retrouvée partiellement habillée.
L'enquête a été confiée aux gendarmes de la Section de recherches (SR) de Rouen. Une quinzaine d'enquêteurs participent depuis jeudi aux investigations pour élucider cette affaire, interrogeant tant la famille de la victime que ses relations professionnelles et son voisinage.

L'assassin était un amoureux éconduit !

La jeune femme a été retrouvée jeudi dernier, gisant dans la baignoire de son appartement de Gisors dans l'Eure. Un homme de 25 ans a été mis en examen mardi pour homicide volontaire et agressions sexuelles, a-t-on appris auprès du parquet d'Evreux. Selon la procureure, le jeune homme interpellé lundi a reconnu les faits pendant sa garde à vue. Il s'agirait d'un amoureux éconduit par la jeune femme. Il a précisé l'avoir étranglée après lui avoir fait subir des attouchements sexuels.
Une enquête rapide
Les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Rouen chargée de l'enquête avait interrogé juste après le drame la famille de la victime, ses relations professionnelles et son voisinage. Rapidement leurs investigations se sont orientées en direction de ce jeune homme, qui lors d'un premier interrogatoire avait reconnu être passé chez la victime le jour du meurtre.Le drame a été découvert jeudi en fin d'après-midi par le compagnon de la victime, qui était coiffeuse à Chaumont-en-Vexin dans l'Oise, à quelques kilomètres de Gisors. L'autopsie pratiquée peu après avait montré que la jeune femme, qui était partiellement habillée, avait été étranglée et que son corps portait des traces de coups aux jambes.

mercredi 10 juin 2009

10 juin 2009 - Montataire (Oise) "écroué après le meurtre de sa femme"

El Miloud Latrach, un Montatairien de 27 ans, a été incarcéré « pour meurtre sur conjoint », hier en fin de matinée, après sa présentation devant un juge des libertés et de la détention du tribunal de Senlis. Il est soupçonné d’avoir tué sa femme, Laetitia, 24 ans, mercredi matin, dans la chambre de leur appartement situé au rez-de-chaussée du 40, rue du Colonel-Fabien, au sein du quartier des Martinets.

Après une vraisemblable dispute conjugale, El Miloud Latrach se serait emparé d’un couteau de cuisine avant de porter deux coups mortels à sa femme, au thorax et au cou. L’autopsie du corps de la victime a eu lieu hier, selon le parquet de Senlis. Les circonstances du drame restent toujours un mystère pour les enquêteurs, car El Miloud Latrach n’a pas donné d’explication cohérente à son geste lors de ses quarante-huit heures de garde à vue au commissariat : « Il ne dit pas grand-chose et ses déclarations sont très confuses, explique Viviane Brethenoux, substitute du procureur de la République de Senlis. Nous avons ouvert une information judiciaire pour meurtre sur conjoint. C’est désormais à l’instruction de faire toute la lumière sur cette affaire. »
Dans l’immeuble où vivait El Miloud Latrach, sa femme Laetitia et leurs trois enfants, des jumeaux de 4 mois et un troisième fils de 2 ans, c’est la consternation la plus totale : « On ne connaissait pas vraiment ce couple puisqu’ils avaient emménagé depuis trois semaines seulement, commente une voisine. Mais, malgré tout, ils avaient l’air plutôt heureux. »
Un bonheur visiblement très fragile, au regard du contexte social dans lequel baignait le couple. El Miloud Latrach et sa famille étaient d’ailleurs accompagnés depuis plusieurs mois par les services sociaux de la ville. « On avait effectivement apporté notre aide à cette famille pour le récent relogement au 40, rue du Colonel-Fabien, déclare Jean-Pierre Bosino, le maire de la commune. Ce qui est arrivé est très malheureux. Sur place, mercredi, je me suis occupé de contacter les services du conseil général pour prendre en charge et placer les trois enfants de ce couple. Ce meurtre est totalement incompréhensible. »

source : http://www.leparisien.fr/montataire-60160/ecroue-apres-le-meurtre-de-sa-femme-20-06-2009-554020.php

mardi 9 juin 2009

9 juin 2009 : un homme (44 ans) tente de tuer son ex-compagne (26 ans) à coups de pic à brochette

09 juin 2009
Moselle : Il tente de tuer son ex à coup de pic à brochette et d’un économe.
Où et quand : Domicile de la victime à Sarreguemines (Moselle).
Suspect : Un homme de 44 ans.
Victime : Son ex-concubine âgée de 26 ans.
Mode opératoire : Le suspect et son ex-concubine, qui s'étaient séparés quelques semaines auparavant, passent le weekend end ensemble. Une dispute éclate .Le suspect sous l'emprise de l’alcool frappe la jeune femme de plusieurs coups à l'aide d'un pic à brochette et d'un couteau économiseur, lui infligeant de graves blessures aux poumons.
Résultat : Hospitalisée et plongée dans un coma artificiel, celle-ci n'a pu être entendue par les enquêteurs. Son pronostic vital n'était cependant pas engagé.
Motif : Rupture, alcool… ?
Informations complémentaires : Il été mis en examen et placé hier en détention provisoire pour tentative d'homicide.
Sources : AFP 09/06/2009

lundi 8 juin 2009

7 juin 2009 : un homme tue de deux coups de feu sa compagne qui avait décidé de le quitter

Vosges : Sa femme le quitte : il la tue puis se suicide.
Où et quand : Début d’après-midi au premier étage du domicile familial à Remicourt (Vosges).
Suspect : Un homme âgé de 40 ans.
Victime : Sa compagne.
Mode opératoire : Il tire sur sa femme puis retourne l’arme contre lui.
Résultat : Ils sont décédés tous les deux.
Motif : La compagne avait décidé de quitter le domicile.
Informations complémentaires : Le couple avait deux enfants, des jumeaux âgés de huit ans qui étaient absents lors du drame.
Sources : lalsace.fr 08/06/2009

dimanche 7 juin 2009

7 juin 2009, Colmar (Haut-Rhin) Il asperge sa mère d’alcool et met le feu

["Hier en fin d’après-midi, elle se trouvait toujours entre la vie et la mort."]

"Un drame familial s’est produit dimanche vers 21 h, rue de Belfort à Colmar, dans le quartier Schweitzer (ex-Socozup).

Les faits se sont déroulés dans un immeuble collectif, au domicile d’un couple et de ses enfants. L’un d’eux, âgé de 17 ans, a aspergé sa mère d’alcool à brûler et a allumé le produit hautement inflammable avec un briquet. Le père de l’adolescent a tenté de s’interposer et a éteint les flammes avec des couvertures.

Grièvement brûlée sur le corps, mais aussi au visage, la maman a dû être transférée par hélicoptère au centre des grands brûlés de Metz. Hier en fin d’après-midi, elle se trouvait toujours entre la vie et la mort. Présentant également de profondes brûlures, mais sur une zone nettement moins étendue, le père de famille a été pris en charge à l’hôpital Pasteur voisin. Son pronostic vital n’est pas engagé.

L’adolescent a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de Colmar. Ce jeune homme d’une certaine carrure a agi dans un contexte de dispute avec sa mère, vraisemblablement en réaction à des brimades verbales. Il n’avait pas consommé d’alcool.(....) Les habitants du pâté d’immeubles étaient évidemment sous le choc, hier. Même si d’après eux, les interventions policières à la suite de disputes entre le fils et ses parents n’étaient pas rares." (source : http://www.lalsace.fr/fr/region/alsace/article/1672687,208/Colmar-Il-asperge-sa-mere-d-alcool-et-met-le-feu.html)

mardi 2 juin 2009

2 juin 2009 (Loire Atlantique) : L’homme s’est pendu. Le corps de l’enfant de 9 ans ne présentait pas de trace de coup.

"Des volets restés clos. Une voiture étrangement immobile. Mardi soir, déjà, un voisin s’était étonné de ces signes inhabituels dans cette avenue calme de Saint-Herblain (Loire Atlantique). Hier, l’étonnement s’est transformé en stupeur. Les corps sans vie de Christian Dufour, 71 ans, et de son fils Quentin, 9 ans, ont été découverts en début d’après-midi à l’intérieur du pavillon qu’ils occupaient depuis août 2007.

Les policiers avaient été alertés un peu plus tôt par le fils aîné de Christian Dufour, né d’un précédent mariage. Le demi-frère de Quentin venait de recevoir un courrier dans lequel son père faisait part de sa détresse. Il annonçait son intention de mettre fin à ses jours et à ceux de Quentin. L’homme a été retrouvé pendu. Le corps de l’enfant, lui, ne présentait aucune trace de coup. (...)

L’homme était séparé d’avec sa femme depuis de longues années. Les ex-conjoints se partageaient la garde de Quentin. Une semaine sur deux. « Ce fonctionnement mécontentait le père, confie un proche... (extrait de Presse Océan en ligne le 4 juin 2009) source : http://www.presseocean.fr/actu/actu_detail_-Un-fils-et-son-pere-retrouves-morts-_9179-957198_actu.Htm

mercredi 27 mai 2009

27 mai Paris, un cadavre dans la baignoire du Bristol

Situé à proximité de l'Elysée et du ministère de l'Intérieur, dans le VIIIe arrondissement de Paris, l'Hôtel Bristol accueille une clientèle aisée et internationale. C'est précisément dans une chambre de ce palace que le cadavre d'une femme a été découvert mardi soir.
Il s'agissait d'une cliente de l'hôtel : cette Française née en Pologne, âgée de 36 ans, occupait depuis plusieurs jours une suite. Elle s'y trouvait en compagnie d'un homme, son ex-concubin, âgé d'une quarantaine d'années.
Le concubin recherché par la police
Lors de la découverte du corps, faite par un employé de l'hôtel, la jeune femme gisait apparemment dans une baignoire. Elle était, semble-t-il, couverte d'ecchymoses. Plusieurs objets de la chambre avaient également été endommagés. Cependant, il faudra attendre les résultats de l'autopsie pour pouvoir établir les causes et la date du décès.
Selon une source proche de l'enquête, le drame se serait produit lundi soir au cours d'une dispute entre l'homme et la femme en instance de séparation. Les deux avaient beaucoup bu. La victime aurait succombé aux coups portés par son ex-concubin. Depuis la découverte du corps, ce dernier semble en tout cas introuvable. Il est actuellement recherché par la police.

* * *

(des informations complémentaires : l'identité des protagonistes)


"Où est passé Ian Griffin ? Depuis mardi soir, les enquêteurs de la brigade criminelle sont lancés aux trousses de ce Britannique de 40 ans. L'homme avait, quelques heures plus tôt, quitté précipitamment l'hôtel Bristol au volant de sa Porsche 911 grise immatriculée au Royaume-Uni. Il est aujourd'hui suspecté d'avoir tabassé sa compagne, Kinga Legg, une chef d'entreprise polonaise de 36 ans retrouvée morte dans une suite de ce palace parisien, un cinq-étoiles au style 18e siècle à deux pas de l'Elysée." Source : leJDD.fr du 31 mai 2009 http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200922/tuee-au-bristol-suite-503_213269.html

mardi 26 mai 2009

26 mai : 19 ans son assassinat est camouflé par un incendie


L’autopsie a révélé que la victime n’avait subi aucune agression sexuelle. La jeune fille de 19 ans est morte de plusieurs coups portés par une arme blanche, a indiqué mardi le parquet de Besançon. Le corps de la victime, une animatrice scolaire, avait été découvert par les pompiers dimanche vers 8h30 dans son appartement de Luxeuil-les-Bains, en Haute-Saône. Les secours étaient initialement intervenus pour maîtriser un début d'incendie qui s'était déclaré au domicile de la victime.

L'autopsie a révélé par ailleurs que la victime, apparemment sans histoire, n’avait subi aucune agression sexuelle."Il s'agit très clairement d'un acte criminel et un important travail technique et scientifique, compliqué par l'incendie de l'appartement, doit être réalisé", a précisé le procureur de la République de Besançon.

L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Besançon. (www.europe1.fr)

Haute-Saône
Un suspect a été arrêté dans l’affaire du meurtre de Luxeuil les Bains. Le petit ami de la victime, un homme de 25 ans, a été mis en examen et placé en détention à la maison d’arrêt de Besançon. Rappelons que Laura juif a été tuée chez elle, le 24 mai dernier.

26 mai : tuée par son frère à coups de fer à repasser

26 mai 2009 : Jeannine Piccardi (65 ans) est tuée à coups de fer à repasser par son frère, Jean-
Pierre (47 ans). (Saint-Gaudens, Haute-Garonne)

« Cela fait des années que l'on se bat pour faire comprendre qu'il y avait un danger. Jean-Pierre a toujours eu des problèmes. Il a été surprotégé par notre mère. C'est quelqu'un qui n'avait pas de lien social, qui pouvait être violent. Ma mère disait qu'il ne fallait pas contrarier Jean-Pierre car, sinon, il aurait une crise. »
Au lendemain du drame, dans le quartier du Pouech, où vivaient Jeanine et Jean-Pierre les voisins gardent en mémoire ces soirées difficiles. Un proche confiait ce jour-là : « À l'époque où la maman était vivante, il la tabassait. » La mère est morte il y a sept ans. Avant de mourir elle a fait promettre à Jeanine de s'occuper de son cadet.
Josette déverse les mots en un flot ininterrompu car trop longtemps retenu, sans doute. « Depuis 1980, ni les directeurs des hôpitaux psychiatriques, ni les assistantes sociales n'ont voulu nous entendre. En 1998, nous avons écrit au maire de Saint-Gaudens (N.D.L.R. : Pierre Ortet) pour alerter sur la violence de notre frère. » Mais que peut un maire quand le monde médical trouve raisonnable de laisser un patient dehors ?
Josette en convient. « On nous disait qu'il n'était pas dangereux. Dès lors qu'on s'occupe de lui, Jean-Pierre est toujours calme. C'est ce qui s'est produit après qu'il ait tué notre sœur. C'est quelqu'un qui ne peut vivre tout seul. Il faut qu'il soit encadré. Depuis qu'il est en prison, qu'on s'occupe de lui, il est bien. »
Et maintenant ? Josette attendait la question. « Il faut qu'il soit protégé. J'espère un procès d'assises. Jean-Pierre sera mieux en prison qu'en hôpital psychiatrique. Plus tard, mieux vaudra un CAT que des cachets ».

jeudi 21 mai 2009

21 mai 2009 Gironde : "Il tue son amie à coups de couteau"

"Véronique Soubiran est morte jeudi en milieu d'après-midi, dans son appartement de la résidence Le Dorat à Bègles. Son ami, Claude Paparelli, un Bordelais de 59 ans qu'elle fréquentait depuis le mois de février dernier, l'a tuée de sept coups de couteau assénés au thorax et au visage.

L'arme du crime, un couteau de cuisine avec une lame de 18 cm, a été découvert dans son sac à dos, souillé de sang. (...)

Jeudi après-midi, ils seraient allés sur les berges de la Garonne pour effectuer une promenade en compagnie du fils de Véronique Soubiran, un garçon de 8 ans. Lors de la balade, la discussion se serait soudain envenimée. Le couple aurait donc décidé de rentrer à Bègles. Mais, une fois dans l'appartement situé au premier étage au niveau de l'entrée 3 de la résidence, le ton est à nouveau monté. Que s'est-il réellement passé ? Il semblerait que Véronique Soubiran, excédée, ait annoncé à son ami le désir de le quitter. (...)

La scène se serait en partie déroulée sous les yeux de l'enfant de Véronique Soubiran. Affolé, ce dernier a tenté d'alerter les secours par téléphone, mais c'est en criant par une fenêtre qu'une voisine s'est déplacée et a fait la macabre découverte. (source : Journal Sud-Ouest en ligne, 23 mai 2009, http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/598612/mil/4565233.html )

mercredi 20 mai 2009

20 mai 2009 Eure : il tue sa femme à coups de hache puis brule le corps

Où et quand : Domicile familial dans la nuit de lundi à mardi. Surville, près de Louviers (Eure).
Suspect : Le mari âgé de 36 ans moniteur d'auto-école.
Victime : Sa femme, une professeure des écoles âgée de 36 ans.
Mode opératoire : Dans la nuit il tue sa femme à coups de hache. Le matin, il conduit à l'école les deux enfants du couple, âgés de quatre et six ans, avant de revenir à la maison et de mettre le feu à la pièce où se trouve le corps.
Résultat : Le corps de la jeune femme a été découvert par les pompiers venus éteindre l'incendie.
Motif : «pour des raisons conjugales et professionnelles».
Informations complémentaires : Son mari s'est constitué prisonnier dans l'après-midi à la gendarmerie de Louviers, a été placé en garde à vue.

20 Mai : il tue sa voisine et la fille de celle-ci.

Description :
Un homme âgé de 62 ans a tiré sur sa voisine et sur la fille de celle-ci, mercredi 20 mai vers 7 h 30 à Châtillon (Hauts-de-Seine). La voisine, âgée d'une soixantaine d'années, a été mortellement atteinte par les coups de feu, tandis que la jeune femme, touchée également, a été évacuée par les secours vers un hôpital proche. La femme la plus âgée aurait également eu la gorge tranchée, mais on ignore lesquelles de ses blessures ont été mortelles. Sa fille, âgée d'une trentaine d'années, a été très grièvement blessée à l'abdomen et à la jambe. Elle a été transportée à l'hôpital Georges-Pompidou (Paris). Son pronostic vital est engagé. Sur place, un voisin donne sa version des faits et la personnalité de cet hommt qui a mis fin à ses jours en se jetant du huitième étage. Un conflit de voisinage entre sexagénaires dans un immeuble HLM de Châtillon, dans les Hauts-de-Seine, a dégénéré mercredi en une querelle meurtrière. Un homme d'une soixantaine d'années s'est rendu, armé, chez sa voisine du dessous à laquelle l'opposait un différend vieux de plusieurs années dont on ignore la nature.

mardi 19 mai 2009

19 Mai : le mari soupçonné de meurtre

Le retraité allemand qui aurait inventé le scénario d'une agression à Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône, et ce afin de masquer le suicide présumé de son épouse a été mis en examen lundi soir après l'ouverture d'une information judiciaire pour dénonciation de faits imaginaires.
Le juge d'instruction qui a mis en examen Hans Anschutz a suivi les réquisitions du parquet qui avait requis le placement sous contrôle judiciaire ainsi qu'une caution de 10.000 euros, a annoncé le procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli. Le retraité est donc dans l'obligation de se présenter aux convocations du juge en France, mais il reste libre de ses mouvements et peut donc rentrer en Allemagne, a précisé le procureur, ajoutant que l'homme est dorénavant pris en charge par son fils venu d'Allemagne ainsi que par le consulat d'Allemagne à Marseille.
Une enquête pour meurtre en Allemagne
Placé samedi soir en garde à vue dans les locaux de la section de recherche de la police judiciaire de Marseille à la suite de ses aveux, Hans Anschutz risque six mois de prison et une amende. De son côté, la justice allemande a annoncé lundi avoir ouvert une enquête pour meurtre contre le retraité de 65 ans, domicilié à Kaarst, tout près de Dusseldorf.
Hans Anschutz, qui avait signalé jeudi la disparition de son épouse près de Tarascon, après une mystérieuse agression, avait en fait inventé ce scénario pour masquer le suicide présumé de sa femme et préserver ses enfants, selon ses aveux aux enquêteurs.

vendredi 15 mai 2009

15 mai 2009 Pas-de-Calais : Il noie son ex dans un ruisseau.

Où et quand : dans un ruisseau à Angres (Pas-de-Calais), près de Lens.
Suspect : L'ex-petit ami, un jeune homme âgé de 27 ans.
Victime : Céline une fille de 17 ans et demi.
Mode opératoire : L'autopsie de la jeune femme avait révélé que sa tête avait été maintenue sous l'eau, provoquant la noyade et donc la mort.
Résultat : Le corps sans vie de l'adolescente, à demi immergé dans 50 à 60 centimètres d'eau, avait été découvert dans la Souchez mercredi, en fin d'après-midi par des promeneurs.
Motif : Il a reconnu avoir tué Céline au cours d'un rendez-vous qu'il lui avait donné, une semaine après leur séparation. «Il vivait mal la rupture».
Informations complémentaires : Un couteau avait été également retrouvé à proximité mais l'examen du corps n'avait révélé aucunes traces de coups de couteau. Le jeune homme, interpellé jeudi soir chez un ami près de Lille, n'avait pas d'emploi et changeait souvent d'adresse, il n'était pas connu des services de police.

15 mai 2009 Victime dans un état critique

Marne : Le mari jaloux poignarde sa femme à trente reprises puis la jette du 7e étage.
Où et quand : Mercredi soir vers 21 heures au septième étage d'un immeuble de l'allée des Bourguignons, au n° 18 quartier Croix-Rouge à Reims.
Suspect : Le concubin âgé d'une vingtaine d'années, Junior C.
Victime : Sa femme, une étudiante originaire du Maroc.
Mode opératoire : ll lui porte une trentaine de coups de couteau. À l'arrivée de la police et des pompiers, il enjambe la fenêtre donnant sur l'allée des Landais, l'étudiante inconsciente portée sur une épaule, il menace de sauter avec elle dans le vide en cas d'intervention des secours. Postés sur un balcon voisin, les policiers tentent de le raisonner avec l'aide d'un ami, sans succès.
Résultat : « Quand les pompiers ont commencé à monter la nacelle vers lui, il a dit qu'il allait la lâcher » « Les pompiers ont redescendu la nacelle tout doucement, puis ils l'ont remontée d'un coup. Il a lâché la femme à ce moment-là. Tout le monde a crié. Elle est tombée dans la nacelle qui se trouvait juste en dessous. » Les policiers sont entrés dans l'appartement en cassant la porte. Surexcité, l'individu s'est débattu. Il a frappé un gardien de la paix, a craché sur les pompiers, a insulté tout le monde puis a fini par faire un malaise qui a nécessité son transport au CHU.
Motif : Décrit comme « quelqu'un de poli, courtois », il ne s'était jamais fait remarquer du voisinage. Leur couple donnait l'impression d'être sans histoire. D'après certains, il n'aurait pas supporté de surprendre sa compagne avec un homme au centre-ville de Reims.
Informations complémentaires : , la victime se trouvait toujours dans un état critique mais stationnaire.

mercredi 13 mai 2009

13 mai 2009 : un jeune homme (20 ans) tente de tuer sa compagne de trente coups de couteau,puis la jette du 7 ème étage

Un jeune homme d’une vingtaine d’années a blessé sa compagne, mercredi soir, d’une trentaine de coups de couteau.Puis il a tenté de la jeter par la fenêtre de leur appartement situé au 7ème étage d’un immeuble à Reims.Les pompiers alertés par une amie du couple, ont réussi à récupérer la jeune femme à l’aide d’une nacelle.La victime, une jeune femme de 19 ans, étudiante en droit à Reims a été « atteinte sur l’ensemble du corps par plus de trente coups portés à l’aide d’un petit couteau de cuisine » a précisé Madeleine Simoncello, procureur de la république de Reims.Selon la magistrate, il s’agirait d’un « drame de la jalousie ».La jeune femme a été hospitalisée au CHU de Reims dans un état grave. Son compagnon devait être déféré hier après-midi au parquet pour tentative d’homicide volontaire. (Sources: L'Union, Actu Orange)

mercredi 29 avril 2009

29 avril 2009 Il tue sa femme, sa fille et son chien

Seine-Maritime : Il tue sa femme, sa fille, son chien, puis se suicide.
Où et quand : Domicile familial dans une petite commune de Fontaine-le-Bourg, au nord de Rouen.
Suspect : Le père Francis, 57 ans.
Victimes : Charlotte Naslet, 16 ans, la fille et la mère, Catherine, 51 ans.
Mode opératoire : Le père aurait tué sa fille par étouffement et sa femme à l’arme à feu, avant de retourner son arme contre lui. La fille. Le chien de la famille a aussi été retrouvé abattu.
Résultat : Ils sont tous décédés.
Motif : D'après les premiers éléments de l'enquête, la famille était discrète et sans histoire, mais le père souffrait d'une maladie grave. Aucune lettre ou élément d'explication n'ont été retrouvé sur place.
Informations complémentaires : L'alerte a été donnée hier matin par des proches qui s'inquiétaient devant les volets clos du pavillon familial.

vendredi 24 avril 2009

24 avril 2009 . Une femme de 25 ans mortellement poignardée au pied de son immeuble

24 avril 2009 . Une femme de 25 ans mortellement poignardée au pied de son immeuble

Les faits se sont déroulés, aujourd’hui, à Champigneulles, en Meurthe-et-Moselle Une jeune femme âgée de 25 ans a été mortellement poignardée devant son domicile. Son corps a été retrouvé, ce matin, vers 9 heures, gisant au pied de son immeuble. Son ancien compagnon, âgé de 44 ans, a été interpellé à Bayon, à une quarantaine de kilomètres du lieu de l’agression mortelle. Placé en garde à vue, l’homme a nié les faits. Le couple s’était récemment séparé.

Le parquet de Nancy a indiqué que le médecin légiste a relevé sur le corps de la victime, sept coups de couteau à grosse lame.

mercredi 22 avril 2009

22 avril 2009 Une femme tuée à son domicile au Mans

27 avril 2009 - Le Mans (Sarthe)

Une dispute sur fond d’alcool serait à l’origine de la mort d’une Mancelle de 45 ans, retrouvée dimanche soir, à l’intérieur de sa maison, rue Montoise. Interpellé ce matin, sur son lieu de travail, son compagnon est actuellement en garde à vue. Il aurait reconnu l'avoir frappée, tout en minimisant la violence de ses coups. L'enquête a été confiée au service régional de police judiciaire (SRPJ) d'Angers.

* * *

(informations complémentaires : identité de la victime et marche en sa mémoire) :

Célestine Mengue est décédée le 22 avril 2009 dans son appartement rue Montoise. Elle était née au Cameroun en 1965 et avait donc 44 ans. Elle a été retrouvée morte le 26 avril. Elle avait été vue le 22 à une soirée de «fête» où elle a été raccompagnée par un compagnon violent. Elle habitait au Mans depuis 20 ans, elle avait été mariée et avait divorcé. Elle avait rencontré son dernier compagnon il y a quelques mois…Pour certain il était doux comme un agneau, pour les amies de la victime il était surtout soupçonneux et jaloux. (...)
Une Marche blanche contre les violences faites aux femmes en hommage à Célestine Mengue est organisée le samedi 27 juin 2009
rassemblement devant la préfecture à 10h, informations auprès de «SOS Femmes Accueil 72» (source : ECVF - Elu-es Contre les Violences faites aux Femmes / «SOS Femmes Accueil 72»)

samedi 18 avril 2009

18 avril 2009 Une femme et sa fille de 10 ans tuées à coups de sabre

18 avril 2009 Une femme et sa fille de 10 ans tuées à coups de sabre
Samedi, cet homme d'une quarantaine d'années s'est présenté aux Ayvelles, près de Charleville-Mézières (Ardennes), au domicile de son épouse, avec qui il était en instance de divorce.
Une explication qui a mal tourné (c'est le moins que l'on puisse dire)
Selon, Madeleine Simoncello, la procureure de la république de Reims, l'homme "a pris un sabre" qui se trouvait dans la maison, "et a porté plusieurs coups à son épouse et à sa fille."
Le père de famille aurait tenté de mettre fin à ses jours en se pendant.
En vain.

jeudi 16 avril 2009

Jeudi 16 avril 2009 Une femme morte dans le coffre d'une voiture

Que s'est il passé entre La Souterraine et Guéret dans la Creuse (19), une région pourtant tranquille ? Christophe Gabelle, 39 ans et Martine Batoux, 54 ans vivent en couple dans un appartement de la Creuse. Ils ont disparu depuis le 8 mars dernier, jour où leur appartement a été incendié. Dernièrement, le cadavre de Martine a été retrouvé dans le coffre d'une BMW grise, dans le parking d'une résidence du centre ville. Depuis, son compagnon a été retrouvé et interpellé.

mardi 14 avril 2009

14 avril 2009 Un policier a tué sa femme et ses deux enfants

14 avril 2009 Un policier a tué sa femme et ses deux enfants
avant de prendre la fuite à Cabanac, près de Tarbes (Hautes-Pyrénées),
Le drame s'est déroulé au domicile familial.

Les enfants étaient une fille de 11 ans et un garçon de quatre ans.

mardi 7 avril 2009

7 avril 2009 Il veut tuer sa femme car il n'obtient pas sont titre de séjour

Nédim Kocer a été condamné par contumace à 15 de prison pour avoir tiré deux balles en plein centre ville de Blois sur sa femme le 11 février 2004.
Selma Ornek, après son mariage en 2001 avec Nédim Kocer, se rend compte que son mari veut avant tout obtenir un titre de séjour. Elle entamme une procédure de divorce alors que leurs relations se dégradent. Quand la demande de titre de séjour est refusée, M. Kocer devient insupportable, contrôlant ses faits et gestes, la harcelant et la menançant.
Mais les gendarmes ne veulent pas prendre la painte de Selma Ornek et le 11 février, elle reçoit deux balles dans le ventre. Néanmoins, non dénuée de caractère, elle lui administre un bon coup de pied entre les jambes et lui fait lâcher son arme.
L'autre se réfigie immédiatement en Turquie, mais coninue tout de même à menacer la famille de son ex-femme, ce qui pousse d'autant plus Selma Ornek à poursuivre l'affaire.
Source : Nouvelle République du 7 avril 2009