Le corps de son épouse avait été retrouvé, carbonisé, à l’intérieur d’une voiture dans laquelle le couple circulait, sur l’autoroute A75. Selon les premières déclarations du mari, la voiture aurait eu une panne et aurait pris feu, sa femme ne pouvant sortir du véhicule.
Mais une première autopsie du corps a montré que la femme était décédée avant l’incendie, suite à l’absorption de produits médicamenteux, avait révélé le quotidien Midi Libre. Confronté aux résultats de cette autopsie, le policier a par la suite assuré que sa femme s’était suicidée, par pendaison, et, selon une seconde source proche du dossier, qu’il avait déguisé ce suicide en mort accidentelle.
Ce sont ces déclarations contradictoires qui ont motivé la prolongation de la garde à vue du policier, prononcée hier soir. Selon cette autre source, une autre zone d’ombre subsiste avec une trace de coup à la tête. Une seconde autopsie a été pratiquée...
source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/09/01011-20090709FILWWW00367-un-policier-maquille-la-mort-de-sa-femme.php
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[complément d'info]
[complément d'info]
"Policière carbonisée : le mari en prison pour assassinat" :
Egalement policier, il voulait percevoir la prime d'assurance-vie. Il entretenait une liaison extra-conjugale avec une policière.
Un brigadier-chef âgé de 37 ans, Jacques P. en poste au commissariat central de Montpellier est placé en garde à vue mardi 7 juillet à 22h45 à l'hôtel de police de Sète dans l'enquête sur la mort suspecte de sa femme, brigadier au commissariat de Lattes. À l'issue de sa garde à vue, jeudi 9 juillet à 19h, il est mis en examen pour assassinat (meurtre avec préméditation), par un juge d'instruction. (...)
Suicide écarté
Durant sa garde à vue, mercredi 8 juillet, le policier avoue finalement avoir volontairement incendié la voiture avec le corps de sa femme à l'intérieur. Il a utilisé un liquide pour allumer des barbecues. Dans un premier temps, il a expliqué qu'elle s'était suicidée par pendaison, au terme d'une énième dispute conjugale dimanche soir, dans le pavillon du couple à Saint-Pargoire, alors que les deux enfants âgés de 7 et 8 ans étaient présents. Cette version est totalement exclue par les preuves scientifiques attestant que la victime a ingurgité à son insu une douzaine de puissants cachets de somnolence. Le mari reconnaît être à l'origine de ce geste, en révélant que la dispute dominicale portait sur la liaison extra-conjugale qu'il entretient depuis un an et demi avec une policière qui fait partie de son groupe au commissariat central. Il reconnaît avoir maquillé l'assassinat en accident, afin de percevoir la coquette prime d'assurance-vie, qui n'est pas versée en cas de décès volontaire et de crime.
Source : http://www.lagazettedemontpellier.fr/actualite/Policiere-carbonisee-:-le-mari-mis-en-examen-pour-assassinat-735.html
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[complément d'info sur l'identité du mari - également niveau de texte avec meurtre qualifié de "rocambolesque" dans le titre ("Un policier avoue le meurtre rocambolesque de sa femme") et l'article du journal le Figaro]
C'est un crime pour le moins rocambolesque que Jacques Prevosto, un brigadier-chef de l'unité de nuit du commissariat de Montpellier, est accusé d'avoir commis sur son épouse, également policière dans l'Hérault.
source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/10/01016-20090710ARTFIG00388-un-policier-avoue-le-meurtre-rocambolesque-de-sa-femme-.php
C'est un crime pour le moins rocambolesque que Jacques Prevosto, un brigadier-chef de l'unité de nuit du commissariat de Montpellier, est accusé d'avoir commis sur son épouse, également policière dans l'Hérault.
source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/10/01016-20090710ARTFIG00388-un-policier-avoue-le-meurtre-rocambolesque-de-sa-femme-.php